Les Pierres Sauvages Fernand Pouillon

Les pierres sauvages de Fernand Pouillon est un roman datant de 1964. C’est un roman écrit à la première personne du singulier qui représente le journal de bord de l’architecte Guillaume Balz qui fut chargé de la construction de l’abbaye du Thoronet. Fernand Pouillon est un architecte français né en 1912, il a construit principalement des bâtiments publics, il fera de la prison après avoir été accusé de détournements de fonds, c’est à cette période qu’il a écrit le livre Les Pierres Sauvages

Né en 1912 à Cancon, c’est en Provence que Fernand Pouillon établit les bases de son savoir-faire et sa notoriété. En 50 ans, il conçoit et exécute plus de deux millions de mètres carrés, principalement en France et en Algérie. Mais cette carrière fulgurante va connaître un revers en 1960, avec l’affaire du CNL, il sera ruiné, emprisonné et radié de l’Ordre. Pendant ses années en prison, Fernand Pouillon écrit Les Pierres Sauvages, qui reçoit le prix des Deux Magots. «Les plus nombreux considèrent

Révolution. Paris : Mengès ; Paris : Éditions du patrimoine, 2003, 511 p. POTIER Nicolas. Patrimoine hospitalier en Bourgogne. Paris : Somogy Editions d'art ; Dijon : Région Bourgogne, service patrimoine et inventaire, 2011, 399 p. POUILLON Fernand. Les pierres sauvages. Paris : Le Seuil, 1964, 231 p. Centre d'information et de documentation du patrimoine (CIDPAT) - Drac Midi-Pyrénées - cidpat.midi@culture.gouv.fr 17 E 34 17 C 86 17 H 13 17 B 100 17 F 42 17 B 99 17 E 33 17 B 89 5/8 Acquisitions

de l’Art pour l’Art, ni de l’Art contre l’Art. Je suis pour l’Art, mais pour l’art qui n’a rien à voir avec l’Art, car l’art a tout à voir avec la vie ». Robert Rauschenberg. « L’art est un refuge, mais comme tout refuge peut devenir une prison ». Pierre Hebey. 14 « La vie n’imite pas l’art, elle imite la mauvaise télévision ». Woody Allen, dans le film « Maris et femmes ». « L’art est sans doute la seule forme de progrès qui utilise aussi bien les voies de la vérité que celles du mensonge

l’Association Ouvrière des Compagnons du Devoir de Paris. Je me suis permis d’abonder ce texte de toutes sortes de trouvailles, depuis une dizaine d’années… Et la disparition du Frère Isidore DUCASSE qui m’avait fait me passionner pour les vieilles pierres de « son » abbaye de Boscodon, non loin de là où vivait le Papet, j’ai appris à présenter, à sa manière, à tous ceux qui me le demandent, de façon historique et compagnonnique, l’abbaye du Val de Bénédiction de Villeneuve les Avignon, à l’entrée de

hypothétiques sans qu’aucune ne nous dispense de ce moment fatidique. Dès lors, on comprend pourquoi « la mort, redoutable dans ce qu’elle a d’unique et de nécessairement improvisé, résiste à nous devenir quotidienne, familière, naturelle ».7 Cette mort sauvage semble d’autant moins apprivoisable qu’elle va venir « en voleuse »8 subtiliser des personnes hostiles à l’inopportunité de sa venue scandaleuse. Mais nulle anathématisation n’empêchera la Faucheuse de s’adonner à sa tuerie journalière selon des

question d’éthique mais surtout un problème qui ne peut se résoudre qu’en intégrant tous les facteurs qui permettrons la résilience écologique de notre environnement. Il ne s’agit pas de déplacer le problème, mais bel et bien de le traiter. Selon Jean-Pierre Oliva et de Samuel Courgey, trois raisons principales poussent les maîtres d’ouvrages Français à limiter les consommations d’énergie de leur bâtiment : « Sans baisse des émissions de gaz à effet de serre, la terre connaîtra une hausse de température

interpellé par ailleurs par l’actualité tragique de son pays et par le terrorisme d’Etat sioniste qui ensanglante la Palestine. Dib rattrapé par le boomerang de l’histoire immédiate et incandescente de l’Algérie, on le rencontre dans La Nuit sauvage (1995) où les mots cisaillent et ferraillent pour signifier la violence qui «ensauvage», ou dans le 12ème chapitre de l’essai intitulé Le Retour d’Abraham (participant de L’Arbre à dires) et dans lequel l’auteur, pour donner à comprendre le surgissement

Section Pétanque M.Jean Pierre SERVEAUX Mme Sylvaine GAILLETON Mr Hervé GOUJON Mr Patrick PERRIN Mr Gérard GRINGUE Mr Patrick BADOUX Mr Manuel MATOS-AZEVEDO Mr Eric BEREZIAT Mme Valérie PLANUS Mme Colette DECHAIX Mr Gérard CIVIDIN RUBIO Tony Mme Pascale HEBERT Mr Daniel MORRIER Mr Jean SNEL Mr Gilles BERTOLO Mr Eric JUGNET Mr Patrice BRIEL Mr René TRIBOLET Mr Laurent MOLINA Mr Rémi MAIGRET Mme Josiane DARNAND Mr Guy JARRET Mr LAMBERT Didier Mr Christian MALOD Mr Emmanuel FERNANDES Mr Thierry DRAPIER Mr

ou à l’importance symbolique du lieu. Par exemple : Nous pouvons dire d'une chambre, qu'en terme spatial, elle fait « 6m de long par 3 m de large par 3m de haut. Les murs sont des parois pleines, peintes en rose bonbon, que le sol est en pierre polie grise, le plafond blanc. Un mur est percé d'une porte en chêne, l'autre mur est percé d'une fenêtre carrée. » Bien. Ceci est de la description. Qu'est ce qui la distingue d'une autre chambre à la forme identique ? Qu’est ce qui la qualifie