Les Politiques Contra Cycliques

.......................................................................... 44 Les contreparties de la masse monétaire ............................................................................................. 45 Paragraphe B/ stratégie et politique monétaire ........................................................ 46 1. a) 1) a) 2) Les caractéristiques de système de financement français ........................................... 46 Typologie des modes de financement ................

n’intervient pas dans l’allocation des ressources. Elle ne sert qu’à fixer les prix absolus, les prix relatifs sont fixés par le marché Ceux qui considèrent la monnaie active : elle est intégrée au raisonnement parce qu’elle agit sur les comportements  politiques monétaires possibles I)Le quantitativisme monétaire A)Les prémices de la théorie quantitative Balbutiements au XVIe S, débat entre Bodin et Malestroit au sujet de l’inflation : Malestroit : elle est due à une dépréciation de la monnaie du

concernés par les crises. La crise financière mondiale actuelle a donné lieu à une coordination importante des banques centrales engagées dans des opérations massives et durables se sauvetage et de fournitures de liquidités, mais la coordination des politiques monétaires reste relative et le système est loin d’être optimal. Des acteurs financiers de dimension internationale ont joué sur l’arbitrage réglementaire et fiscal. Les paradis fiscaux, l’insuffisance de la réglementation encadrant les hedge-funds

La politique monétaire Objectifs, instruments et limites. Réalisé par: Khadija ELMAJDOUBI Hanan BEN MALEK Oumnia ARABI ELMIZANI Nabila BOUALLOU Manal Dina Encadré par : Sommaire Introduction………………………………………… ……………...3 I. II. III. IV. V. Présentation de la politique monétaire………….4 Les objectifs de la politique monétaire…………..5 Les instruments de la politique monétaire.......7 Efficacité et limites de la politique monétaire.10 Cas pratique : Le Maroc…………………………………13 Conclusion……………………………………………

Au cours de l’entre 2 guerres : contrastes entre Kondratieff et Trotski, comment expliquer la crise éco de l’entre 2 guerre, Kondratieff évoquant une explication endogène, Trotski proposant une explication semi-exogène, une crise due à des chocs politiques et dc pas de renaissance automatique assurée. Trotski a gagné son combat contre Kondratieff mais paradoxal car c’est une thèse exogène als que tt la force de l’analyse marxiste sont ??? L’analyse renait ds les années 70 pr expliquer la fin du Kisme

entre la demande et l’offre de monnaie. L’équilibre général est assuré quand le marché des B&S et celui de la monnaie sont simultanément en équilibre Ce schéma permet de déterminé le PIB d’équilibre et de dégager les principaux effets des politiques monétaires et budgétaire Section 2 : L’analyse néo-classique Paragraphe 1 : Objectifs Ils critiquent et actualisent la pensée classique. Friedman et Walras Paragraphe 2 : L’équilibre macro-économique classique Des le 18ème on s’était

d’obligations. De ce fait, le ministère de l’économie argentine dégageait 7 milliards par des debts swaps. Pour éviter que le pays s’effondre, il est tributaire de cette aide car il n’est plus en mesure d’intervenir pour mettre en place une politique de relance contra-cyclique car la quasidollarisation interdit tout ajustement de change et ses engagements vis-à-vis des institutions internationales l’empêchent d’avoir recours à un quelconque coup de pouce fiscal pour relancer la consommation. Ainsi, depuis

contournement du marché et de détournement des sirènes du commerce: les systèmes d'échange locaux, le troc, le bricolage plutôt que l'achat clé en main sont des pratiques plus répandues en période de "crise": la propension au système D semble bien contra-cyclique par rapport à la prospérité économique. Qu'en est-il des mouvances de type « No Logo » bien mises en évidences par Naomi Klein? Les marques déjà suspectes sont elles d'autant plus radicalement reléguées au rang de fétiches superflus par un consommateur

Les économies occidentales redoutent donc que la volonté de contrôle des fonds souverains ne soit exercée uniquement dans des buts économiques mais également à des fins politiques ou géostratégiques. En effet, un des objectifs des fonds souverains est bien évidemment de développer une politique d’influence mondiale. Les Etats occidentaux redoutent les menées obscures de ces masses financières pilotées par des États très souvent non démocratique, affichant des objectifs de puissance

MISE EN SITUATION : LES POLITIQUES ECONOMIQUES La politique économique est une manière pour l’Etat de gérer l’économie générale et de choisir les mesures à prendre.(ou exprime l’ intervention active de lEtat dans l’éco) Il y a deux grandes tendances : la politique de relance par la demande (Keynésienne) et la politique de relance par l’offre (les libéraux) ce n’est pas plutôt l’autorégulation du marché pr les libéraux ; la flexibilité des prix se suffit à elle-même, pas besoin de plan ? j’écrirai