Les Positions Européennes En 1914 En Afrique

V : Effets de la colonisation d’après la révolution industrielle (19ème – 20ème s.) o Sur les économies métropolitaines : études de cas (Grande-Bretagne, France, Pays-Bas, Belgique, Portugal) o Sur les économies coloniales : études de cas (Afrique noire)  Partie VI : En guise de conclusion : les relations économiques actuelles entre ex-métropoles et ex-colonies   HISTOIRE ECONOMIE DES TIERS MONDE Partie I : Introduction général La colonisation constitue une rupture dans l’histoire

en 1798-99, un geste précurseur de l’intérêt méditerranéen. Elle annonce la grande poussée de l’Europe qui, vapeur, capitaux, libertés et missions chrétiennes aidant, réinvente une Méditerranée, objet de l’impérialisme et aliment de l’imaginaire européen de Chateaubriand à Delacroix, de Flaubert à Cézanne. En 1815, l’Empire ottoman domine encore la plus grande partie des Balkans et la quasi-totalité des pays arabes du Machrek et du Maghreb : seul le Maroc échappe à la suzeraineté du sultan d’Istanbul

XIXème s : * Qu’est-ce que la croissance économique ? La croissance est une augmentation de la production d’un pays et de ses profits, en général par le PIB et assurant l’élévation générale du niveau de vie. * Avant 1850, les pays européens avaient un taux de croissance autour de 0,2% par an * Entre 1850 et 1930, ces taux de croissance moyens sont passé à 3 où 4% par an. La croissance économique a été particulièrement intense pendant 4 phases : 1850-1873 : 1ere industrialisation

I – Tableau de l’économie mondiale au début du XXe siècle aux années 1970 I. Tableau de l’économie mondiale au début du XXe siècle (1896-1914) 5 1.Un monde dominé par l’Europe. 5 1.Les fondements de la domination. 5 2.Comment cette emprise a-t-elle eu lieu ? 6 3.Le cas particulier des colonies. 7 4.Les nouvelles hiérarchies. 9 2.Les flux internationaux. 10 1) Une hiérarchie à peine remise en question. 10 2) Les produits les plus échangés. 10 3) La concurrence

meurtre de la pensée nationaliste par son extrémisme, l’extrême besoin de se reconstruire ; le lendemain de la seconde grande guerre laisse rayonner le nouvel ordre mondial. Inventé par Herbert George WELLS l'expression « nouvel ordre mondial » paraît en 1914, dans son livre « La destruction libératrice » qui raconte l'histoire d'une guerre mondiale qui débouchera à une gouvernance internationale régis par des institutions généralisées à tous les états. Renonçant à sa politique précédente, qui visait à

Bretagne. Elle s’exerce alors dans tous les domaines ; à la fois industrielle, commerciale, politique, militaire, coloniale et même culturelle, la suprématie britannique est reconnue et respectée au début puis au cours du XIXe siècle par tous les Etats européens et mondiaux. L’époque victorienne porte ainsi le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande, unifié en 1801, sur le sommet du monde. Mais cette mise en valeur de la société victorienne prendra progressivement fin, jusqu’à la fin du Règne de la Reine

est supérieure à celle des pays colonisés grâce à un recul marqué de la mortalité, et à une stagnation ou une légère baisse de la natalité (cf. transition démographique). Mais cela n’est pas observé en France. Au début du XIXème, 1 homme sur 5 est européen, et 1 sur 4 à la fin du siècle Ces observations permettent de justifier le choix de la modernisation comme fil directeur du cours, la modernisation comme problème, comme processus dont il faut interroger toutes les modalités (économiques, politiques

En 1896, la France est sous la troisième république sous la présidence de Félix Faure. La France est en pleine expansion colonial, principalement en Asie avec l'obtention d'un protectorat au Cambodge et l'occupation de Cochinchin, et en Afrique avec l'occupation de l'Algérie, du Sénégal et de la Tunisie. De plus cette expansion colonial est accentuer depuis la Conférence international de Berlin de 1885 dans lequel les pays d'Europe se sont partagé la conquête de l'Afrique. Le 17 mai 1896

États-majors, au profit d'autres approches du monde. D'ailleurs, les disciplines géographiques ont renoncé à réutiliser ces approches jusqu'aux années 1970-1980. L'École américaine[modifier] Les géopoliticiens américains - l'amiral Alfred Mahan (1840-1914) ou le journaliste et professeur de science politique Nicholas Spykman (1893-1943) - se sont intéressés aux relations entre le développement technologique des civilisations et la domination de l'espace par les États. Fortement influencés par l'école

Partie : Un monde déséquilibré à la recherche de solutions Chapitre 1 : La première guerre mondiale Problématique : « La mise en place des alliances entre les grandes puissances européennes est-elle aux sources du premier conflit mondial ? » Tâche 1 : Tu dois expliquer le système des alliances entre les pays européens à la veille de la Grande guerre. Crée un schéma (= dessin, tracé figurant les éléments essentiels d’un phénomène, d’un processus… qui permet de comprendre son fonctionnement.) de