Les Précieuses Ridicules Satire

goût classique. La dimension morale présente dans la tragédie se retrouve également dans la comédie. Les comédies se moquent en effet des défauts des hommes. Les spectateurs devraient ainsi pouvoir s'éloigner des défauts représentés en riant du ridicule des personnages. Quand Molière ridiculise l'hypocrisie des faux dévots dans Tartuffe, il espère lutter contre cette hypocrisie. La célèbre formule « castigat ridendo mores »14 est d'origine incertaine mais elle a été reprise par Molière. Elle exprime

triomphant et les auteurs restent lucides : le combat est constant et ils y jouent le rôle fondamental d’agitateurs d’idées. Les œuvres importantes sont nombreuses et relèvent de différents genres comme le conte philosophique avec Voltaire Candide, la satire distanciée avec les Lettres persanes (1721) de Montesquieu et les essais comme De l'esprit des lois (1748) La littérature française du XVIIIe siècle montre une grande richesse d’œuvres dans tous les genres, en associant plus qu’en opposant l’engagement

Calderon avec La vie est un songe.  Le roman : L’Astrée d’Honoré d’Urfé, Le roman comique de Scarron, Clélie avec Madeleine de Scudéry.  En poésie : Une production baroque considérable 4 formes poétiques dominent : l’épopée, la poésie religieuse, la satire et enfin la poésie lyrique. (Retenez Agrippa d’Aubigné avec Les Tragiques (1616) ; Jean de Sponde avec Poèmes chrétiens (1588) ; Théophile de Viau, Pierre de Marbeuf.  L’apport du courant baroque en littérature est assez réduit. En revanche grande

“il faut maigrir pour manger moins” → impératif → Momo lui donne des conseils “Lorsqu'il y a personne pour vous aimer autour, ça devient de la graisse” → effet de sentence → il essaye de comprendre sa condition et son manque d'affection B. Satire d'une société discriminante a. La discrimination sociale “la faim, ça ne pardonne pas” “il faut maigrir pour manger moins” → effet de maxime → montre la pauvrété “il n'était pas de bonne qualité” → réification de l'enfant → on le compare à un

petit livre moisi qui contient la généalogie Gargantua. Chapitre 2 Rabelais cite la fin du livre. Il s’agit d’un traité nommé « les Fanfreluches antidotées ». C’est en fait une énigme très difficile à déchiffrer. On suppose qu’il s’agit d’une satire contre Charles Quint et peut être le pape. Ce texte n’est pas une narration suivie. Chapitre 3 Grandgousier, le père de Gargantua adore manger. Il épouse Gargamelle, fille du roi des Papillons. Gargamelle porte Gargantua pendant 12 mois. D’après

prose et le théâtre), trois seulement ne comportent pas de personnages de veuves. Les veuves sont personnages secondaires, mais aussi souvent personnages principaux. Chez Mme de Villedieu on trouve des veuves amoureuses, coquettes, hypocrites, ridicules, vertueuses, intelligentes, entreprenantes, ambitieuses, violentes. Dans les pages qui suivent je vais tracer le portrait de quelques-uns de ces personnages avant de tirer des conclusions synthétiques sur l'image de la veuve chez Mme de Villedieu

portées sur la situation matérielle et morale de la société, et notamment sur le droit à l’instruction du beau sexe, Molière apportait déjà, une quinzaine d’années plus tôt, sa conception des rapports des deux sexes. Le dédain qu’il affichait pour les précieuses s’expliquait par le rejet de celles-ci pour l’union conjugale. Le mariage était pour lui d’ordre « naturel », les enfants et la famille, une destinée en soi pour la femme. Aussi lorsqu’on déclare, en cette fin de XVIIe, qu’à la place de l’acquisition

suffisance et d’oisiveté où régnaient la corruption, l'hypocrisie, les rivalités, les coups bas, cette presse donnait l’image d’une société dégradée. La peinture réaliste de Maupassant était aussi une dénonciation d’une ironie cruelle, une véritable satire. De la petite presse que Balzac avait décrite à la grande dépeinte par Maupassant, en un demi-siècle, s’était opérée une évolution qui fut une révolution. À travers ‘’Bel-Ami’’, la presse apparaît comme un quatrième pouvoir qui fait et défait les

suffisance et d’oisiveté où régnaient la corruption, l'hypocrisie, les rivalités, les coups bas, cette presse donnait l’image d’une société dégradée. La peinture réaliste de Maupassant était aussi une dénonciation d’une ironie cruelle, une véritable satire. De la petite presse que Balzac avait décrite à la grande dépeinte par Maupassant, en un demi-siècle, s’était opérée une évolution qui fut une révolution. À travers ‘’Bel-Ami’’, la presse apparaît comme un quatrième pouvoir qui fait et défait les

de Bergerac, un extravagant cadet de Gascogne, poète, physicien, musicien plein d'énergie, de verve et de bons sentiments, qui se plaît à provoquer et flambe comme étoupe dans des joutes oratoires du plus bel aloi, qui excelle dans le domaine de la satire et est incapable de supporter le gros acteur et la bêtise en général. Dame Nature l'a affublé d'un appendice nasal des plus proéminents et, comme il est susceptible sur ce point, il provoque en duel qui y fait allusion. Aussi collectionne-t-il les