Les Prélèvements Obligatoires Croissance économique

des politiques de redistribution des revenus. Elle se traduit notamment par une hausse importante de la part des prélèvements obligatoires dans la richesse nationale dont le taux passe ainsi de 10 % du PIB, au début du XXème siècle, à plus de 50 % du PIB dans certains pays européens. Mais le ralentissement de la croissance au milieu des années 1970 et la modification du contexte économique suscitent des interrogations sur cette intervention, qui semble confrontée à une crise d’un triple nature : une

contexte de la mondialisation ; elle implique que, pour remédier en profondeur aux problèmes qui se posent, on discute et on réaffirme les grandes finalités de l’Etat : lutte contre les inégalités, cohésion sociale, protection sociale, politique économique. Le problème de la réforme de l'administration est alors bien distinct de ces interrogations fondamentales ; pour résumer, on peut dire qu’il consiste en effet à s’intéresser non aux fins mais aux moyens de l’action publique, c'est-à-dire à cet

d'objet d'étude du thème 6.2 I - La place du budget dans les politiques économiques A - La politique économique conjoncturelle B - La politique économique structurelle II - Le budget de l'État A - Les recettes de l'État Typologie de l'impôt Les deux paradoxes de l'IRPP Objet d'étude : la progressivité de l'IRPP B - Les dépenses de l'État La représentation des dépenses L'utilisation du budget dans la politique économique "Tous les citoyens ont le droit de constater par eux-mêmes ou par leurs

l’accroissement des prélèvements obligatoires par rapport aux richesses nationales produites. En effet, la croissance des dépenses publiques liées aux politiques sociales et de redistribution, est principalement depuis 1974 supérieure à la croissance économique. Cet accroissement des dépenses sociales est dû à deux facteurs : 1° facteur : La crise qui a généré des dépenses supplémentaires. 2° facteur : Le vieillissement de la population. Parallèlement le taux de croissance économique a régressé

réelle soif de croissance économique. Cette derniere correspond à l’augmentation à long terme de la production de biens et services d’un pays, elle se mesure par la variation du PIB. On sait également que la croissance joue un role majeur dans le développement d’un pays ou plus précisément dans l’ensemble des transformations économiques, sociales et démographiques qui accompagnent la croissance et la rendent irréversible. Ainsi il est légitime de se demander en quoi la croissance favorise t’elle

travail et de la propriété des facteurs de production) par l’intermédiaire de contributions obligatoires et à les redistribuer aux pauvres et aux plus défavorisés. Cette répartition personnelle prend deux formes. La redistribution verticale englobe l’effet sur les positions relatives de l’ensemble des catégories sociales (ouvriers, agriculteurs, employés, cadres…) en termes de réduction des inégalités. Côté prélèvement les cotisations sociales (avec le système de plafond) effectuent une redistribution régressive

INTRODUCTION D’une manière générale, l’économie de marché peut se définir comme un système économique ou les biens et services sont échangés sur la base de prix déterminé grâce aux mécanismes de l’offre et de la demande. Or notre pays est caractérisé par la forte intervention de l’Etat dans l’économie, il contribue au juste développement économique. De plus il corrige et complète les carences du marché. En effet, nous pouvons nous demande quel doit être la place de l’Etat dans cette économie

transports, etc) 5) L’évolution des dépenses de l’Etat L’accroissement des dépenses publiques en France s’est effectué en 3 vagues successives 6) Les prélèvement obligatoires PO: ensemble des impôts et cotisations sociales →Sert à financer l’Etat, les collectivités locales et la sécurité sociale. Taux de prélèvements obligatoires : part des prélèvements sur la richesse créée →TPO = [( impôts Etat et collectivités locales + cotisations sociales) / PIB)] * 100 Les TPO ont augmentés chaque années

n’a pas été régulière : elle a été particulièrement marquée lorsque les finances publiques ont été sollicitées pour soutenir la conjoncture (après les relances de 1974 et 1981). Sur le long-terme, elle est imputable principalement à la forte croissance des dépenses sociales liée à des facteurs structurels, en particulier le vieillissement de la population : cette dernière tendance devrait se poursuivre à l’horizon 2050. La problématique budgétaire de nos jours est la maitrise des dépenses

ECONOMIE La Pensée Economique. I) INTRODUCTION A LA SCIENCE ECONOMIQUE Pour Aristote, il y’a 3 branches : L’étique, l’économie, et la politique. Pour lui, l’étique relève de l’individu. La politique de ce qui conserve la cité. Et l’économie, de ce qui se rapporte à la cellule familiale. Economie budgétaire. Economie (Grec) : Oïkos = Maison et de Nomos = Représente les règles. Soit l’ensemble des règles de conduite des activités domestiques. Aristote ajoute que la science de l’acquisition