Les Prélèvements Obligatoires Croissance économique

 et  d'effets  pervers.  »     Notions   obligatoires  :   Égalité,   équité,   discrimination,   méritocratie,   assurance/assistance,   services   collectifs,   fiscalité,  prestations  et  cotisations  sociales,  redistribution,  protection  sociale.     Acquis  de  première  :  État-­‐providence,  prélèvements  obligatoires,  revenus  de  transfert       Notions  complémentaires

interrompue en 2007. Tableau 1 – Le déficit et l’endettement publics % du PIB 1 2002 3,1 58,8 1,0 2003 4,1 62,9 1,1 2004 3,6 64,9 2,5 2005 2,9 66,4 1,9 2006 2,4 63,6 2,2 2007 2,7 63,9 2,2 Déficit public Dette publique p.m. croissance du PIB (%) Source : INSEE L’examen de la situation des finances publiques françaises à fin 2007 permet d’en préciser les causes et les conséquences sur la dette publique. Les comparaisons internationales montrent que la situation de la France

__________________________________________________________________________________________ ECONOMIE GENERALE __________________________________________________________________________________________ 3ème PARTIE : LES MOTEURS DE LA CROISSANCE CHAPITRE 12 LA POLITIQUE ECONOMIQUE DE L’ETAT MOTS CLES - Déficit budgétaire - Dette publique - Effet d’éviction - Effet Boule de neige - Effet multiplicateur - Fonctions allocation, redistribution, stabilisation - Friedman M. - Keynes J.M - Hayek F.

__________________________________________________________________________________________ ECONOMIE GENERALE __________________________________________________________________________________________ 3ème PARTIE : LES MOTEURS DE LA CROISSANCE CHAPITRE 12 LA POLITIQUE ECONOMIQUE DE L’ETAT MOTS CLES - Déficit budgétaire - Dette publique - Effet d’éviction - Effet Boule de neige - Effet multiplicateur - Fonctions allocation, redistribution, stabilisation - Friedman M. - Keynes J.M - Hayek F. - Laffer A.

prévisions bâties sur l'hypothèse d'une croissance économique de 0,3% cette année, 1,2% l'an prochain, puis de 2% par an entre 2014 et 2017. Comte tenu de ces nouvelles prévisions, le gouvernement a annoncé une série de mesures. 3.1. L'augmentation des impôts pour les "revenus les plus élevés" C'est l'une des plus mesures les plus conséquentes : le gouvernement prévoit des hausses d'impôts de 7,2 milliards d'euros en 2012. Ces augmentations de prélèvements porteront cette année à 53% sur les

on va parler ici du théoreme HOS (Hecksche, Ohlin, Samuelson) ou théorie des dotations de facteurs. -de manière traditionnelle -une nouvelle approche Le developpement économique : Distinction entre : -Croissance= l’augm durable de la prod° globale d’une économie, mesurer par le PIB ; lien etroit entre croissance et PMA et croiss et pauvreté. -Developpement= désigne l’expansion des activités éco qui enrichisse un pays et augm. Conditions de vie. Il est étudié a partir du PIB/hab, l’espérance

2/ Nomenclature et définitions Observation, taxinomie et hétérogénéité 3/ Estimations : méthodes et biais Directes (enquêtes) et indirectes (écarts) 4/ Les explications Prélèvements, réglementation, marché du travail 5/ Quels remèdes? 1/ Les enjeux Enjeu socio-fiscal : la fraude sur les prélèvements engendre un manque à gagner, induit une mauvaise allocation des ressources et une réduction du bienêtre collectif. Enjeu éthique : l’économie non-observée recouvre une distorsion

l’inflation mais aussi un ralentissement de la croissance économique Les limites de la politique budgétaire de rigueur sont : - Les fuites dans le circuit économique limitent les efforts de la relance budgétaire - Les effets pervers de la relance budgétaire Politique budgétaire de relances Si l’on met en place une politique de relance il y’a une baise des taux d’intérêt, elle entraine une hausse de l’inflation mais stimule la croissance économique. Les limites de la politique budgétaire de

rôle de répartition. Bien que la croissance économique soit une constante depuis des décennies, la misère progresse même dans les pays riches. Ces dernières années, la droite libérale a réduit fortement toutes les formes de prélèvements sur les plus fortunés. Le taux marginal d’imposition sur les revenus est plafonné à 40% et l’ISF (Impôts de Solidarité sur la Fortune) est rendu insignifiant grâce au bouclier fiscal. Celui-ci limitant l’ensemble des prélèvements à 50% des revenus. Ceci sans compter

réservé à certains types de contributeurs Après la seconde guerre mondiale, et pendant de longues années, les politiques monétaire et budgétaire étaient privilégiées par les économistes. A partir de la fin de la décennie 1970 alors que la crise économique s'installait, les attitudes à l'égard de la fiscalité ont changé, principalement en raison de l'échec des politiques contacycliques de stabilisation et de l'émergence de l'économie de l'offre. L'intérêt pour la politique fiscale s'est accru durant