Les Pythagoriciens

apprendre beaucoup. Par quoi souhaitez-vous commencer ? la numérologie peut-être ?F Ben : Pourquoi pas mon frère ! Le 5 est avant tout le chiffre du centre, celui qui est à équidistance du 1 et du 10. Il est considéré par les pythagoriciens comme un signe d’union. Il est même qualifié de nombre nuptial pour Plutarque. En effet, le 5 est la somme du 2, premier nombre pair rattaché à la féminité, et du 3, premier nombre impair rattaché à la masculinité. Le 5 est ainsi souvent présenté

l’élément masculin : la conception : « Isis ». La base 4 longueurs, est l’élément féminin, la naissance : « Horus » et l’hypoténuse représente 5 longueurs, la résultante, l’origine : « Osiris ». Ainsi, le nombre 3 serait supérieur et parfait. Les Pythagoriciens disaient que le triangle est le principe de toute génération et de la forme de toutes les choses engendrées. Les architectes arabes se servaient de 2 triangles sacrés accolés, pour tracer une ellipse servant de base à leurs coupoles. Dans la

espace à deux dimensions, d’une surface délimitée. Il me donne donc accès à un lieu bien particulier que je ne peux m’empêcher de comparer à l’intérieur du temple. Ou à l’intérieur de moi-même. Mais n’est-ce pas la même chose ? Dans le système des Pythagoriciens, il symbolisait la naissance cosmique. Plus tard, on fera référence au triangle, et à la lettre delta comme à une lettre universelle, synthèse de l’univers, figure de la création, donnant les premiers contours de ce qui est délimitable et donc

certaines ordonnances de la Loi comme la circoncision, le sabbat. Pour interpréter la Torah, également recours à une interprétation cosmologique qui déjà pratiquée par les stoïciens. Mais svt Philon utilise l’exégèse psychologique ou morale des néo-pythagoriciens : objet/personnage allégorisé représente passion, vertu, activité. -christia hellénisé : religions païennes : religion grecque fondée sur culte des morts. Religion d’art. 1ers Pères de l’Eglise (essentiellt grecs) s’efforcent trouver points

contrôlent ses évolutions, de nombreux philosophes grecs ont postulé l’existence d’un principe d’organisation fondé sur un dessein rationnel. Platon parle d’un «démiurge», Aristote d’un «premier moteur non mû». Platon, héritier fidèle de la tradition pythagoricienne, conçoit l’univers comme une manifestation du Nombre, agencé et combiné pour créer les harmonies perçues par les sens. La Créationévénement compte moins, au fond, que la capacité de la raison à appréhender le fonctionnement de la nature. Dans

infinis, un roseau pensant. Illustration difficult et temps que la thse hliocentrique a mis simposer. Longtemps avant lui, les pythagoriciens avaient dout de la position centrale de la terre et Aristarque de Samos avait nonc au IIIme sicle avant JC que la Terre tait bien plus petite que le soleil et quelle se mouvait autour de ce corps cleste. Evocation des pythagoriciens pas innocente du tout Pythagore est un philosophe pr-socratique, probablement linventeur du mot philosophie qui pensait que tout

fragmens que nous avons de leurs Ouvrages, ne faisant pas la moindre mention de la Philosophie naturelle. Platon, qui etoit le plus celebre de tous les Disciples de Socrate, & qui avoit encore profité des lumieres des Philosophes Egyptiens & Pythagoriciens, dans les differens voyages qu'il avoit fait en Egypte, en Italie, &c. tacha d'etablir deux principes eternels & coëxistans, Dieu & la matiere. Il disoit que la matiere agitée sans ordre ni régle, avoit ensuite été disposée, & mise en ordre par

Orphée et Eurydice Orphée est un héros de la mythologie grecque, fils du roi de Thrace Œagre et de la muse Calliope. Il a inspiré, en Grèce antique, un mouvement religieux appelé orphisme, qui était lié aux Pythagoriciens et aux mystères dionysiaques1. Poursuivie par Aristée, elle est mordue dans sa fuite par un serpent et meurt. Inconsolable, Orphée descend jusqu'aux Enfers pour la sauver. Il endort Cerbère, le chien des Enfers, grâce à sa lyre et sa musique

aux côtés d’Osiris. Ici-bas, celui qui la connaît sera semblable à Thot, dieu de la sagesse. » Dans la mythologie gréco-romaine, l’étoile à cinq branches orne la tête d’Hygie, déesse de la santé, de l’équilibre entre le corps et l’esprit. Les pythagoriciens, quant à eux, en font une des figures majeures de leurs recherches de l’harmonie universelle fondée sur les mathématiques. Et, si au 16ème siècle, le médecin Agrippa de Nettesheim inscrit le corps humain dans une étoile à cinq branches, l’architecte

les poètes et dans les croyances populaires des traces d’une révélation divine qui jetteraient quelque lueur sur nos origines et notre destinée après la mort. Les Égyptiens croyaient que les hommes sont jugés sur leurs actes après la mort et les Pythagoriciens que l’âme passe du corps d’un animal dans celui d’un autre. Platon n’a pas dédaigné de recueillir ces croyances, mais il se garde de les donner pour des certitudes. Ce sont pour lui des espérances ou des rêves qu’il expose dans des mythes d’une