Les Risques L Individualisation Des Salaires

seulement dans sa mise en œuvre. En pratique, une GSRH se traduit par la mise en œuvre de « bonnes pratiques »: - Veiller à la qualité du recrutement - Investir en formation continue - Promouvoir la polyvalence - Assurer un bon niveau des salaires - Personnaliser la rémunération - Eviter les écarts excessifs - Défendre la sécurité de l’emploi - Favoriser la promotion interne - Développer la participation au capital - Adopter une perspective à long terme - Partager l’information

Personnalisation : cf précédemment. Exemples : en terme de rémunération, individualisation des salaires (plus toujours // qualification). Cette logique s’applique du recrutement à la gestion de carrières, à la rémunération, à la formation, au temps de travail (individualisation // aux personnes, mais aussi pour « arranger » l’entreprise), ce qui implique l’appar$^ P*l :ition de nouvelles pratiques, comme les systèmes d’évaluation des personnes, des performances, des potentiels, et les bilans de

de consommer et de s’intégrer par là à notre société de consommation dans laquelle ne pas posséder certains objets est source d’exclusion (le téléphone portable, internet aujourd’hui par exemple) Pendant les 30 Glorieuses, le plein-emploi et les salaires en hausse ont favorisé la consommation de toutes les catégories sociales et uniformisé les comportements de consommation. C_ L’emploi est à l’origine de droits sociaux 1. Les cotisations sociales reposent encore aujourd’hui essentiellement sur

libre négociation des salaires. Le développement du pouvoir syndical, les législations sur le salaire minimum, les conventions collectives, le droit du travail en général, limitent les possibilités d’ajustement instantané des salaires pour corriger les déséquilibres entre l’offre et la demande de travail. C’est donc la rigidité des salaires et leur niveau trop élevé qui sont principalement responsables du chômage. Dans l’incapacité de négocier librement les salaires, les entreprises privilégient

problèmes de la protection sociale. Ses œuvres les plus récentes «Métamorphoses de la question sociale », « Propriété privée, propriété sociale, propriété de soi », « L’insécurité sociale »  constatent la montée croissante des incertitudes et des risques dans les sociétés contemporaines, qui sont la conséquence du passage à un "nouveau régime du capitalisme" auquel la précarité croissante serait consubstantielle. L’insécurité sociale est un ouvrage qui retrace les évolutions de notre politique sociale

productions de rester compétitives (sur celles intenses en travail non qualifié) d’où une baisse des cotisations entre 1990 et 2003 - Comment financer le système de protection sociale ? > Développement du CSG (ROCARD) = impôt ne portant pas sur les salaires mais sur tous les revenus du capital et progressivement on augmente son taux permettant de faire des recettes - La crise de financement va se poursuivre du fait du choc du papy-boom > Entre 2005-30, la population vieillira : les classes nombreuses

mondialisation et la marchandisation : tout fini en marchandise. Selon Marx, le capitalisme connaît des crises. L’accumulation du capital n’est pas toujours possible : donc crise. 3 types de crises : - crise de surproduction : Elle apparaît lorsque les salaires sont inférieurs à la productivité du travail car la consommation est inférieur au volume qui est produit (excès de production) -crise de rentabilité : Les entreprises vont réduire leur production et se mettre à licencier -crise d’efficacité :

un aménagement plus rationnel du travail. Les conditions de travail évoluent selon les transformations de l’organisation du travail, les conditions de travail désigne l’environnement dans lequel les employé vivent dans l’entreprise (pénibilité et risque). Quelles ont été les principales transformations de l’organisation du travail et comment ont-elles influencées les conditions de travail ? Nous verrons dans un premier temps, les changements dans l’organisation du travail depuis les années 70, puis

une seule société. Ces conflits ont pour origine généralement une dissension entre la direction et les salariés. Question 4 Les principaux motifs de conflits sont les conditions de travail, les conflits du droit, les salaires et l’emploi. Si durant les années 80 les salaires étaient la principale cause de conflit, durant les années 90 c’est l’emploi qui prend la place de numéro 1. Question 5 Les indicateurs de la crise de syndicalisme sont les termes d’adhésion et d’audience. Ils sont très

conditions de travail des salariés. Tout d’abord, le toyotisme a permis aux salariés d’avoir des emplois plus qualifié que ceux existant durant le fordisme et le toyotisme, ce qui peut leur permettre une hausse de salaire et peut rendre le travail plus motivant pour le salarié. Cette hausse du salaire leur permet aussi d’avoir une hausse du niveau de vie. La hausse des qualifications permet aux salariés également d’améliorer leur condition de travail en évitant les travaux répétitifs qui ne nécessite pas