Les Syndicalisme Et Les Mouvements Ouvriers 1880 1914

SEMESTRE 2 – L’HISTOIRE DE L’EUROPE AU XIXème SIECLE – Leçon 1 : Le XIXème siècle : siècle des révolutions ? Un profond mouvement de transformation Le rythme du XIXème siècle Le XIXè, une séquence historique encadrée par la défaite de Napoléon Ier et le congrès de Vienne ; et la 1GM. Un siècle fondateur, qui marque l’accélération de l’histoire de l’Europe. Lithographie de Frédéric Sorrier : La République universelle, démocratique et sociale, appartient à un ensemble de lithographies, représentant

amélioration du commerce international. Valeur brut de commerce inter 58 milliards $ en 1870 puis 200 milliards $ en 1914. Baisse relative de l’influence de l’Angleterre au profit de l’Allemagne en 1900 : 16% de la production mondiale et prend la 2e place en tant que puissance industrielle. Les exportations de l’Allemagne représentent 60% en 1900 tandis qu’elles représentent 84% en 1914 par rapport à l’Angleterre. Domination sur le plan monétaire et financier. A cette époque la finance mondiale

(1903), ouvrira de nouvelles possibilités offertes par le transport aérien. Son utilité militaire est vite reconnue de même que la possibilité offerte pour le transport des colis postaux et plus tard des passagers. Le premier vol commercial a lieu en 1914, mais il faudra attendre la fin de la première guerre mondiale pour que des services réguliers soient établis en Europe et aux États-Unis. L’apparition du DC-3 en 1936 offre au transport aérien un appareil efficace qui sera longtemps un des plus

La transition démographique européenne.    l'Europe occidentale : (de l'Autriche à l'atlantique.) o 80M/ sous Louis XIV, 250M/ en 1914' o La population a triplé en 150 ans = transition démographique. La Gb : o 10M/ vers 1750. 50M/ en 1914' (multiplié par 5 ! ) La France : o 20M/ sous Louis 14, le pays le plus peuplé d'Europe. 30M/ en 1800. 40M/ en 1914' (42M/ en 1936, la C/ s'arrête…) o Décollage démographique au 18° siècle, mais au 19°, on passe de 30M/ à 40M/, peu par rapport à la GB.

sont librement diffusables, à condition de ne pas altérer le contenu et la mise en forme. Il n’y a pas de droit d’usage commercial sans autorisation expresse des ECLM. campagnes en mouvement : un siècle d’organisations paysannes en France Dossier coordonné par Médard Lebot et Denis Pesche campagnes en mouvement : un siècle d’organisations paysannes en France D D 88 É D I T I Les Éditions Charles Léopold Mayer constituent l’une des activités de l’association « La librairie FPH » dont

proche de la machine) et nouveau lieu de travail => hausse des rendements (de plus en plus avec l’amélioration technique de la machine) Les fabriques restent de taille modeste mais on assiste à une concentration de travailleurs (favorisera le syndicalisme, la conscience de classe) Les entreprises hésitent à grandir (problèmes de gestion, de coalition ouvrière) La production n’est pas régulière (à-coups), flexibilité, on produit en fonction des commandes. Des fois les fabriques sont débordés alors

développement du commerce fondé sur l’exclusif. On présente l’économie de plantation, la traite et l’esclavage et leur remise en question au temps des Lumières et de la Révolution française. Orientations et mots-clés On présente la Renaissance comme un mouvement d’innovations dans tous les domaines de la culture, arts et savoirs, revendiquant des héritages de l’Antiquité. On en présente les grandes figures que sont l’artiste et l’humaniste et on en montre la diffusion notamment par l’imprimerie. On montre

Européenne dont la population Russe était de 26% alors qu’au XIXème siècle, elle n’était que de 22%. De nos jours, la population Européenne vaut environ 10% de la population mondiale. Mais aussi, il faut prendre en compte qu’il y a eut de nombreux mouvements migratoires de l’Europe vers les pays neufs (USA, Afrique du Sud, Canada, Australie). Depuis 1895, cette vague de migration ne concernait que 20 000 000 d’Européens jusqu’en 1913 où l’Italie du Sud, l’Espagne, les Empires Russes et Austro-hongrois

l’esclavage institutionnalisé est alors en voie de disparition : en 1783, le Massachusetts a aboli l’esclavage, tandis que les esclaves new-yorkais sont progressivement libérés par leurs maîtres entre 1785 et 1799 ; et dans chacun de ces Etats, des mouvements humanitaires et sociaux s’opposent à l’esclavage. Cependant, et malgré les idées abolitionnistes de Jefferson et Washington, la Constitution de 1787 est muette sur l’esclavage et le reconnaît en fait implicitement. Officiellement, le Congrès

plus éprouvante que celle des ouvriers ; son incapacité juridique, en particulier l’absence de droit de vote et d’élaboration des lois, l’empêche d’améliorer ses conditions de travail ; il convient donc de la protéger ; mais cette protection n’a pour but que de la mieux conserver pour la rendre à ses fonctions maternelles. Sans doute les législateurs ont-ils oublié les notations du docteur Louis-André Villermé, si souvent convoqué quand il s’agit de moraliser les ouvriers, lui qui, dans son Tableau