Les Terres creuses

1918)+Chars+Avions=> Entente gagne la guerre ! -Armistice (= Accord qui suspend les combats avant les négociations de paix) signée le 11 Novembre 1918 II/L’horreur de la guerre A/Les conditions de vie dans les tranchées - tranchée : Grand fossé creusé dans la terre, aménagé de bois et de terre, dans lequel les soldats se protègent des ennemis, et tirent sur leurs adversaires. Vie quotidienne terrible (pluie, boue, froid, peur, saleté, rats, poux, faim, fatigue, difficultés psychologiques…) B/La

être creusé. Le sillon constituera le fossé. Trois autres symboles viennent enrichir la légende. La charrue tirée par 2 animaux: le taureau qui était situé à l'extérieur du sillon. Et de l'autre coté une géni du coté intérieur du sillon. Il ya eu le sacrifice d'un bélier, un port et un taureau. Les dépouilles ont été enterrées dans un fossé. Ce sacrifice d'animaux permet de donner de la force à la ville. Remus voyant son frère à la tache, il va ironiser et franchir le sillon que va creuser Romulus

soleils; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Voilà que j'ai touché l'automne des idées, Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux Pour rassembler à neuf les terres inondées, Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux. Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve Trouveront dans ce sol lavé comme une grève Le mystique aliment qui ferait leur vigueur? - O douleur! o douleur! Le temps mange la vie. Et l'obscur

soleils ; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Voilà que j'ai touché l'automne des idées, Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux Pour rassembler à neuf les terres inondées, Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux. Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve Trouveront dans ce sol lavé comme une grève Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ? - Ô douleur ! ô douleur ! Le Temps mange la vie, Et

d'elles-mêmes, des cultures piétinées, d'institutions minées, de terres confisquées, de religions assassinées, de magnificences artistiques anéanties, d'extraordinaires possibilités supprimées. On me lance à la tête des faits, des statistiques, des kilométrages de routes, de canaux, de chemins de fer. Moi, je parle de milliers d'hommes sacrifiés au Congo-Océan. Je parle de ceux qui, à l'heure où j'écris, sont en train de creuser à la main le port d'Abidjan. Je parle de millions d'hommes arrachés

qu’ils commencent à creuser des refuges, c’est le début de la guerre des tranchées. 3) Construction Les tranchées s’étendent sur des milliers de kilomètres. Les combattants les creusent face à leur ennemi, où quelques mètres les séparent. La distance entre les tranchées des deux camps n’est jamais supérieure à un kilomètre et quelques fois inférieure à 20 mètres. Le territoire qui les sépare se nomme le « no man’s land ». Il y a deux moyens pour les creuser : -La première est

I/ Une Europe meurtrie et affaiblie: 1. saignée démographique: 8M morts (90% d'Européens) 1,5M en France, 3,5M blessés. déficit des naissances = classes creuses: risques pour l'avenir. 2. désastre économique: destructions: régions du front (France, Italie): coût 55Md F pour la France. productions se sont effondrées: blé, acier, ...

d’elles-mêmes, des cultures piétinées, d’institutions minées, de terres confisquées, de religions assassinées, de magnificences artistiques anéanties, d’extraordinaires possibilités supprimées. On me lance à la tête des faits, des statistiques, des kilométrages de routes, de canaux, de chemins de fer. 30 Moi, je parle de milliers d’hommes sacrifiés au Congo-Océan. Je parle de ceux qui, à l’heure où j’écris, sont en train de creuser à la main le port d’Abidjan. Je parle de millions d’hommes

d’elles-mêmes, des cultures piétinées, d’institutions minées, de terres confisquées, de religions assassinées, de magnificences artistiques anéanties, d’extraordinaires possibilités supprimées. On me lance à la tête des faits, des statistiques, des kilométrages de routes, de canaux, de chemins de fer. Moi, je parle de milliers d’hommes sacrifiés au Congo-Océan. Je parle de ceux qui, à l’heure où j’écris, sont en train de creuser à la main le port d’Abidjan. Je parle de millions d’hommes arrachés

soleils ; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu’il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Voilà que j’ai touché l’automne des idées, Et qu’il faut employer la pelle et les râteaux Pour rassembler à neuf les terres inondées, Où l’eau creuse des trous grands comme des tombeaux. Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve Trouveront dans ce sol lavé comme une grève Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ? — Ô douleur! ô douleur! Le Temps mange la vie, Et