Les Tragiques Livre 6

Beckett 1953 L’auteur : Samuel Beckett (1906 – 1989) Il est né en Irlande, à Dublin, en 1906. Il poursuit des études de philosophie et de lettres. Dans les années 30, il se rend à Paris où il rencontre James Joyce, un grand romancier qui écrivit un livre appelé Ulysse. Il entre dans la Résistance et, pendant la guerre, commence à écrire des romans. D’abord en anglais, il finit par écrire en français. Ils ont une audience très limitée mais, en 1953 avec la pièce « En attendant Godot » (Ecrite en Français)

– dans son traité De la Colère2, il décrit ce que peut être le théâtre de la vengeance : Il faut montrer sa rage effrénée et foudroyante, il faut lui rendre ses apprêts habituels garrots, croix, feux allumés autour des corps empalés. Chez lui, le tragique réside dans le « spectacle des souffrances »3 qu’infligent à l’homme toutes les circonstances malheureuses de la vie. Mais l’homme possède le moyen d’atténuer les ravages des passions humaines en les maîtrisant, par l’exercice de la raison, par l’application

G.T : La fatalité tragique Texte 1 : Le Cid, Corneille Acte I, scène 6, vers 291-350 Tragi-comedie : ses caractéristiques sont toutes les caractéristiques de la tragédie classique du XVIIème (personnages nobles, écriture en vers, pièce en 5 actes)et pourtant la fin est heureuse (Ici, Rodrigue e Chimène ne meurent pas). Cf. : différence entre la tragédie et la comédie livre de méthodes p.198 et 199. Corneille n’a donc pas respecte la règle de l’unité de ton. La structure particulière

: Ruy Blas de Victor Hugo : le personnage romantique Objet d’étude : Le théâtre, texte et représentation Problématique choisie : Ruy Blas, un modèle d’héroïsme. Etudes transversales et/ou thématiques : Le drame romantique Le personnage romantique Tragique et pathétique Grotesque et sublime Le théâtre des années cinquante Œuvre intégrale : Ruy Blas de Victor Hugo LECTURE COMPLEMENTAIRE : extraits • La préface de Cromwell de Hugo • Préface de Ruy Blas de Hugo • Texte 1 : acte I scène 1 • Un article

pas reconnaître que cet effort, rendu toujours vain par l’absurde auquel se heurtent tous les personnages, prend pour certains d’entre eux une coloration entièrement positive, à laquelle l’auteur donne sa préférence et qui constitue le message du livre. Celuici privilégie évidemment la lutte contre le destin menée dans un combat commun où s’exalte le sentiment de la fraternité virile. Ce sentiment apparaissait dès Les conquérants et La Voie royale, mais d’une manière encore limitée, en raison des

à Molière Types comiques => personnages de plusieurs comédies, reprise par plusieurs autres n° 2, 5, 6, p 64 • Amplification des traits de caractère => modalités ! et ? chez Molière : ponctuation expressive à la folie. Monologue => 2ème personne pour désigner le personnage imaginé => soi-même ( la dégustation du monologue tragique ) geste et situation : ligne 6 : « Il se prend lui-même le bras » ligne 34 . • réécriture par changement de type de texte : dialogue =>

____________________________________________________________ _____ Tout les matins du monde «Chaque souvenir, attend l'écho qui le révélera à lui-même» (Quignard) → la quête de St. Colombe est de donner l'écho au souvenir de sa femme En effet, ce livre porte essentiellement sur la dévotion d'un seigneur pour la musique depuis la mort de sa femme. → Ce roman marque la fin des certitudes, même si il nous renvoi au XVIIe, qui est à l'origine le siècle de la mouvance classique (la cour, grandiose

poétique avec la publication des Contemplations en 1856. Ce recueil poétique que l’on pourrait qualifier d’autobiographie poétique est composé de 6 livres qui couvrent 25 années de la vie de Victor Hugo. Le livre IV intitulé « Pauca Meae » (quelques vers pour ma fille) appartient à la deuxième partie du recueil intitulé « Aujourd’hui ». Ce quatrième livre est consacré à sa fille Léopoldine morte noyée dans la Seine le 4/09/1843. Dans le poème en alexandrins « Oh ! je fus comme fou », Victor Hugo

amour, il prêtera sa voix à Christian, lui aussi épris de Roxane, afin que celle-ci soit heureuse. La pièce représente une difficulté importante à jouer mais remporte un succès considérable. La tirade du nez est un des passages les plus connus du livre, elle nous présente Cyrano et est à la fois démonstratrice de son talent. Observer la complexité de la scène pour l’acteur. Une exposition en marche. I. Cyrano, un portrait en action • Tirade vertueuse -> talent • 1er véritable portrait de Cyrano

d’Athènes» comme le dit Arlequin. Au début de cette scène d’exposition, Iphicrate, personnage grec, semble incarner la tragédie. C’est tout d’abord sa gestuelle qui est tragique : les didascalies indiquent qu’Iphicrate «s’avance tristement» , ce qui accentue la noblesse tragique du personnage. Ensuite, il utilise un registre tragique :«péri», «sort», «je suis perdu», «je ne reverrai jamais», «perdre la liberté et peut-être la vie». A côté de lui, Arlequin est le personnage type du valet de comédie