Les Trois Frères

guerre imposant Rome à Albe durant le règne du roi Tullus Hostilius avait lieu. Afin de régler leur conflit, ils décidèrent d’un commun accord de désigner trois champions de chaques villes, qui s’affronteront en duel afin de désigner le vainqueur et le vaincu. Les trois champions de Rome étaient les trois Horace et ceux d’Albe étaient les trois Curiace. C’était deux familles liées, étant donné que Sabine la sœur des Curiace était mariée à un Horace et que Camille la sœur d’Horace était l’amante d’un

& ses enfants. C’était trois jeunes et beaux petits enfants d’à peine 8 ans, ouverts au monde qui les entourait, ils étaient énormément intéressés par la faune et la flore. Parallèlement à cette famille tout à fait ordinaire, se trouvait non loin de là une autre famille peu ordinaire : c’était des ours qui parlent. Malgré tout, la famille Ours connaissait un problème majeur, un des oursons n’arrivait pas à s’exprimer comme il le faut et se faisait rejeter par ses frères, mais tout aller changer

l'admission des femmes dans les premières loges opératives (celles des bâtisseurs) : L'article dix vous fait connaître, A tous, petits et grands dans le métier, Qu'un maître n'en doit jamais évincer un autre, Mais que doivent vivre ensemble comme frères et sœurs, Dans notre métier exigeant, tous ceux, tant qu'ils sont, Qui travaillent sous l'autorité d'un maître maçon.   Le Regius, d'origine anglaise est également appelé Manuscrit royal. Il renseigne sur l'organisation du métier de maçon sans

peuvent être abreuvés, Vénéralbe Grand Poivrot. VÉNÉRABLE MAÎTRE. Frères 1er et 2e Poivrots, assurez-vous-en sur vos colonnes respectives et rendez- m'en compte. Frères Poivrots, levez-vous et tournez-vous vers l'Orient. Frères qui êtes sur les colonnes, mettez-vous au signe d'Apprenti Poivrot (*) au passage des 1er et 2e Poivrots. 2nd SURVEILLANT. Frères de la colonne du Nord, levez vos verres. Frère 1er Poivrot, tous les Frères de la colonne du Nord sont debout au signe d'Apprenti Poivrot et

manière allégorique un épisode de l’histoire de Rome : les frères Horaces jurent devant leur père de mourir pour défendre la cité face aux Curiaces, leurs frères rivaux. La scène conjugue tous les éléments du drame antique : l’honneur guerrier porté au paroxysme, pour le premier groupe de personnages à gauche ; l’exaltation du sacrifice total pour le personnage central, et enfin l’accablement face à la fatalité pour le groupe de femmes, à droite. Trois notions bien distinctes que l’on pourrait résumer ainsi

l'approuva" (Test 15). Nous n'en possédons pas le texte. Pendant douze ans, l'expérience de la vie en fraternité amena les frères à préciser leur idéal, leurs structures, leurs activités. Les chapitres généraux étaient l'occasion annuelle d'affiner et d'enrichir le texte simple des débuts. Ce nouveau texte, ou Première Règle, fut sans doute présenté à tous les frères de l'Ordre au cœur du Chapitre de la Pentecôte 1221. Pour qui veut connaître l'esprit authentique de saint François et la dynamique

cités rivales d'Albe et de Rome , plutôt que de s'épuiser dans des luttes stériles , préfèrent nommer les champions qui combattront pour elles. Dans chaque armée , trois frères sont désignés par le sort: les Horaces pour Rome , les Curiaces pour Albe. Au premier affrontement , deux des Horaces sont tués , tandis que les Albains sont tout trois blessés , mais de blessures inégalement graves. Le troisième Horace , resté indemne , simule alors la fuite , puis , faisant soudain volte-face , triomphe l'un

où, via la signature du traité du Verdun, le royaume est divisé en trois parts égales. Le traité met fin au conflit entre les 3 frères Carolingiens, il établit la mainmise de Louis sur la France Orientale, le royaume de Germanie, sur laquelle il règnera jusqu’à sa mort, tandis que Charles obtient la France Occidentale et Lothaire est reconnu comme empereur de l’Est , embouchure du Rhin à l’Italie. 842 : Réunion des frères Charles le Chauve et Louis le Germanique à Worms, 843 : les problèmes

Tenues : après les diverses cérémonies de réception, le repas réunissait les Frères qui pouvaient alors exprimer leurs idées dans une ambiance plus libre. En effet, au XVIII siècle les repas étaient les supports principaux de toute convivialité organisée. De plus, les Loges se réunissaient la plupart du temps dans des auberges ou des demeures particulières où l'on savait «traiter» les invités : en «salle humide» où les Frères servants avaient dressé la table, on se plaisait alors à retrouver un ordonnancement

caractère mythique de ce récit a) Un traditionnel «ils étaient trois frères» Il signale d’abord qu’on entre dans un autre monde, immémorial et légendaire b) Les personnages en outre ne reçoivent aucun nom propre On ne sait rien de leur vie, de leur passé. c) La triade et le chiffre d’or L’histoire présente trois frères et leurs trois épouses Comme dans tous les contes populaires, c’est