Les Troubadours

sentiments, notamment par le biais du registre lyrique. Elle lui permet d'exprimer l'authenticité de ses émotions, de sa sensibilité, de son intimité. Le lyrisme est ainsi une tonalité majeure de la poésie, et se retrouve partout, du Moyen Age où les troubadours chantaient l'amour, jusqu'au XXème siècle avec des poètes tels qu'Aragon ou Eluard. La poésie lyrique est centrée sur le "moi", chante le malheur, le bonheur, les doutes et les craintes de l'auteur. Elle permet à l'auteur de faire part des émotions

chasse et célébrer certains rites comme les enterrements. |- IXème siècle : art poétique, musiques profanes et musiques troubadours ( elles épousent les rythmes des vers et participent à la progression | | |de l’idée de « mesure »). Accompagnés de leur luth et de leur harpe, les troubadours chantent avant tout l’amour et l’adoration de la femme et | |

France, des hommes inventent un art nouveau : la poésie courtoise, qui tire donc son nom des cours seigneuriales où elle est chantée. • On les appelle les troubadours/trouvères, car ils sont ceux qui trouvent , qui inventent des récits qu’ils mettent en musique et qu’ils récitent dans les châteaux devant le seigneur et sa cour • Les troubadours s'expriment en langue d'oc, c'est-à-dire en dialecte du sud de la France • Les trouvères s'expriment en langue d'oil, qui est un dialecte du nord de la France

chanson populaire faite pour être répétée, chanson dite vieille Opposition : jeune temps ≠ vieille chanson strophe courte heptasyllabe (7) : plus dynamique allitération en « en » ; assonance en « i », « u » référence troubadour, amour courtois B) Le thème du cadre bucolique nature idyllique, parfaite, idéalisé topos de l’amour courtois C) Les noms des deux personnages Je lyrique = le poète, jeune homme anonymat Rose : prénom emblématique

s’exprime dans des formes fixes comme le sonnet, l’ode, la ballade, la chanson, le madrigal … et chante principalement le « Fin’Amor », c'est-à-dire l’amour courtois, l’amour noble et pur entre un jeune chevalier et sa dame, inspiré des chants des troubadours du Moyen-âge. Au départ mis en musique, le poème lyrique perd peu à peu son accompagnement. La musique n’est plus concrète mais se retrouve dans la musicalité du texte. |

transmise de bouche à oreille et anonyme à la littérature écrite et signée d'auteur. Le roman courtois est l’aboutissement littéraire d’un idéal très en vogue aux XIIè et XIIIè siècles : l’idéal de corteisia, ou « courtoisie », né de la poésie des troubadours. Il est d’abord nécessaire de rappeler que la France actuelle est, à l’époque, divisée linguistiquement. En effet, il n’y a pas une seule langue, mais plusieurs dialectes regroupés en deux grandes familles : la langue d’oïl parlée au nord de la

courtoise, il est troubadour et définit les règles du trobar (poème chanté). Il est imité dans le nord de la France où le troubadour s’appelle trouvère, son chant est plus doux, plus léger (trobar leu) Seulement onze pièces et des chansons nous sont parvenues. Guillaume en fin de vie se consacre à la religion et meurt en février 1127. II Présentation de l’œuvre : Composée vers 1120 c’est une chanson de troubadour. Apparus au XIIème

texte, un sirventes de Bertran de Born et de trois iconographies. Le premier document est un texte ou plus précisément un sirventes. Un des genres de chansons pratiqués par les troubadours. Le terme vient de « servir » et signifie que la chanson a été écrite par le serviteur d'un seigneur. Les sirventès de troubadours de langue d'oc ont un contenu polémique, satirique, politique, ou servent parfois à attaquer un adversaire. Passé ensuite chez les trouvères de langue d'oïl, le sirventès a rapidement

Troyes : il est né vers 1135 et son nom semble désigner sa ville d’origine , il a fait des études littéraires et scientifiques c’est donc un lettré qui lit le latin..Il écrit des fables et des chansons courtoises, c’est un des premiers trouvères (troubadours dans le Sud) ;Il meurt en 1190 Analyser une image fixe : la miniature Rechercher :- les couleurs : le rouge symbolise en général la violence et la passion, le jaune peut symboliser La Provence et le gris couleur plus triste symbolise

(Abbassa, 2008). En effet, un des précurseurs de l'amour courtois des troubadours est Guillaume IX, duc d'Aquitaine (1071-1127) et grand-père d'Aliénor d'Aquitaine. Son activité poétique naquit après la croisade qu'il mena en Orient et son séjour à Antioche (1101-1102). Il est le premier troubadour et le premier poète à écrire en langue d'oc la poésie lyrique inspirée aussi des poètes arabo-andaloux. Henri-Irénée Marrou (Les troubadours, Paris, Seuil, 1971) s'est cependant opposé brillamment à cette thèse