Les Troubadours

la transmission orale, apparaît avec les réçits d'Homer sur la guerre de Trois ( l'illiade ) et le retour d'ulysse ( l'odyssée ) . Ainsi , la poésie sera d'abord descriptive, narrative et philosophique. Elle va se développer au myen age avec les troubadours puis au XVI ème avec notamment Ronssard qui va faire naitre la poésie lyrique et l'expression des sentiments. La genre s'est constamment renouvelée au cours des siècles avec des orientations différentes selon les époques, les courants culturelles

l'Antiquité. Elles sont rédigées en ancien français et en ancien occitan. Elles diffèrent d'un autre grand genre littéraire médiéval : la poésie lyrique, dont la langue cette fois-ci est uniquement l'occitan. Souvent anonyme, l'auteur de la geste est un troubadour (appelé aussi trouvère) qui la destinait à être chantée et accompagnée musicalement, devant un public large, populaire ou noble.

concrets rendent particulièrement vivant. Nouveauté supplémentaire, sont adroitement intégrées au récit, sans qu'elles en rompent le déroulement, quarante-six chansons de genres très variés, chansons de toile, pastourelles, chansons de trouvères et de troubadours, ce qui fait de ce texte la plus ancienne anthologie de chansons en français. La rareté des manuscrits conservés de Jean Renart ne permet pas de savoir si son œuvre a connu la célébrité en son temps, mais le procédé d'insertion de chansons a

Troubadours et trouvères Chez les troubadours du XIIe siècle, chanter de la femme n’est pas toujours chanter la femme. Les poètes proclament, unanimement et anonymement, l’infidélité de la femme, en tant qu’épouse (le mari faisant corps avec les envieux) ou en tant qu’amie (le jaloux étant alors l’amant-poète). Avec Guillaume IX d’Aquitaine, cette parole est traitée d’ « estraing lati » avant d’être congédiée ; seul le corps s’avère parlant, et nourrissant : il constitue « la pessa

l'utilisation du « je », se place en position centrale. Cela permet d'exprimer l'authenticité de ses émotions, et ainsi, toucher le lecteur. Le lyrisme a donc une place prépondérante dans la poésie, et se retrouve partout, du Moyen Age où les troubadours chantaient l'amour, jusqu'au XXème siècle avec des poètes tels qu'Aragon ou Eluard. La poésie est en effet souvent reliée à des sentiments mélancoliques. Mais le thème principale, surtout chez les romantiques mais aussi chez les poètes des courants

Il a souvent utilisé cette dernière grâce au registre lyrique. Il lui permet l'authenticité des sentiments, l'exposition des sentiments, l'intimité et la sensibilité. Le lyrisme est ainsi une tonalité majeure de la poésie. Déjà au Moyen Age les troubadours chantaient l'amour, et même au 20 siècle avec Eluard ou Aragon ce registre se perpetue. Le registre lyrique est basé sur le "moi" personnel car il permet à l'auteur une totale ouverture par rapport à ses sentiments : il chante ses malheurs, ses

conteur se différencie donc à la fois de celui de l'écriture, de la lecture à voix haute, et de la simple récitation), bardes (Barde, dans l'Antiquité celtique, un membre de la classe sacerdotale, spécialisé dans la poésie orale et chantée) ou troubadours (un troubadour (de l'occitan trobador, prononcé [truβa'δu]: trouveur) est un compositeur, poète, et musicien médiéval de langue d'oc, qui interprétait ou faisait interpréter par des jongleurs (très vite beaucoup plus spécialisés, voir ménestrier et ménestrel

sentiments, notamment par le biais du registre lyrique. Elle lui permet d'exprimer l'authenticité de ses émotions, de sa sensibilité, de son intimité. Le lyrisme est ainsi une tonalité majeure de la poésie, et se retrouve partout, du Moyen Age où les troubadours chantaient l'amour, jusqu'au XXème siècle avec des poètes tels qu'Aragon ou Eluard. On peut néanmoins se demander si l’expression des sentiments amoureux rend compte de toute la littérature poétique. Car, certes la poésie sert souvent à l’expression

Moyen Âge dans la poésie et la littérature. I. Les origines de la poésie courtoise : La poésie courtoise est apparue au XIIe siècle. Elle trouve son origine dans l’Antiquité. Elle apparaît plus précisément dans le midi de la France, avec les troubadours occitans. Le terme « courtoise » vient du mot « cour » qui fait référence à la cour seigneuriale. Elle a pour thème principal le culte de l’amour unique, parfait et souvent malheureux. En Effet, la fidélité a une Dame, l’art de bien parler et

(Abbassa, 2008). En effet, un des précurseurs de l'amour courtois des troubadours est Guillaume IX, duc d'Aquitaine (1071-1127) et grand-père d'Aliénor d'Aquitaine. Son activité poétique naquit après la croisade qu'il mena en Orient et son séjour à Antioche (1101-1102). Il est le premier troubadour et le premier poète à écrire en langue d'oc la poésie lyrique inspirée aussi des poètes arabo-andalous. Henri-Irénée Marrou (Les troubadours, Paris, Seuil, 1971) s'est cependant opposé à cette thèse, autant