Les Valeurs Des Temps De Verbe

     La photo me dit qu'il faisait beau, qu'il y avait du vent dans mes cheveux, que la lumière de la côte normande devait être magnifique ce jour-là.      Et entre mes deux parents à moi, si naturellement et si complètement à moi pour quelque temps encore, j'ai dû me plaindre des coquillages qui piquent les pieds, comme le font tous les enfants ignorants de leurs richesses. Anny Duperey, Le voile noir.   PREMIÈRE PARTIE : QUESTIONS, REECRITURE, DICTÉE (25 points)  QUESTIONS (15 points)

1 Grammaire Grammaire Conjugaison Conjugaison Orthographe Vocabulaire Vocabulaire Reconnaître une phrase . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Reconnaître le verbe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Distinguer le passé, le présent et le futur . . . . . . . . . Reconnaître les changements de forme du verbe (1) Différencier les points . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Connaître les mots de l’école . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Connaître les catégories

ils déterminent un verbe; -ils indiquent les circonstances de la réalisation d’une action -d’origine rhetorique, ‘les circonstances” < lat. circumstantia=ce qui se tient autour, désignaient au XVIII s. un ensemble d’idées « accessoires pouvant s’ajouter à la proposition minimale constituée de termes nécessaires »(Arrivé, Gadet, Galmiche, La Grammaire d’aujourd’hui, 1986) Grévisse (XIe éd.) ils précisent l’idée du verbe « en marquant la connexion de l’action avec un repère (temps, lieu, etc.) situé

l’impression d’une grande monotonie. Celle-ci provient d’une structure répétitive, des temps des verbes et des sonorités qui reviennent d’un bout à l’autre du texte. A. Une structure répétitive : composé de vers irréguliers, le poème est construit sur une énumération d’actions, chacune étant exprimée par un vers de structure semblable : sujet (« la mère », « le fils », « elle », « il », « le père »...), verbe, complément d’objet direct. On observe que les sujets sont constitués par les personnages

Recul, recule Attention, il y a « recul » le nom commun et « recule » le verbe conjugué au présent de l’indicatif première ou troisième personne du singulier. Comment les distinguer ? On vérifie si c’est le verbe en tentant l’imparfait de l’indicatif. Ca marche c’est le verbe, ça ne marche pas c’est le no, commun qui ne peut que prendre un « s » au pluriel. Grammaire tout, tous Lorsque « tout » signifie « chaque », il est singulier et le nom, qu’il détermine est au singulier, lorsque

elle est familiale ou personnelle ( familiale si on pense que le père est déjà mort, personnelle si l’on pense à la vie de Lagarce et à la mort de son compagnon) une rupture, information principale livrée comme une information secondaire emploi du verbe aller à l’imparfait : associé au CC l’année d’après, pose problème: mort à la fois donnée comme acquise et en train de s’exprimer devant nous, un personnage mort ou vivant ? La mort à venir d’un personnage : un élément traditionnel de la tragédie

est trѐs important pour une bonne intégration de la subordonnée dans la principale ,pour éviter de rendre la phrase asyntaxique.La valeur sémantique du subordonnant indique souvent le sens de la subordonnée. Ex.Je préfѐre argumenter quand j’ai raison. C'est le subordonnant quand qui permet de bien enchâsser la subordonnée quand j’ai raison, indiquant une valeur de temps. Il existe plusieurs types de subordonnées : 1. La subordonnée relative 2. La subordonnée complétive 3. La subordonnée complément

le poulailler : subordonnée infinitive, COD de ai vu 8) Le repas fini : subordonnée participiale, CC temps de firent - les invités firent la sieste : principale 9) Ayant franchi la barrière, nous nous trouvâmes dans le jardin : indépendante (le participe détaché n'a pas de sujet propre) Rappel : les compléments circonstanciels sont en fait des compléments de phrase, non des compléments de verbe. éé Exercice II 1) Je vais me retirer : principale - si vous n'y voyez pas d'inconvénient : subordonnée

en son troisième terme). § La thèse de Sganarelle est absolue, renforcée dans son caractère assertif (présent de vérité générale du verbe être), par la construction attributive complexe. La première structure attributive est celle utilisant explicitement le verbe être sous une forme impersonnelle (il n’est rien…), qui rejette le sujet réel derrière le verbe (rien). Cela entraîne l’apparition de la préposition de qui manifeste syntaxiquement le lien prédicatif entre le mot et l’adjectif qui lui

perturbateur représenter par la retraite du rat, est évoquée par le verbe « retira » (v.4). S'en suivent les péripéties montrant le évolution du rat dans son autarcie et l'arrivée de la délégation .Puis arrivent le dénouement évoquée par le refus du Rat à leur requête du vers 24 au vers 29. Enfin la situation finale clôt alors le récit (v.30-31) avec le repli du rat qui « ferma sa porte ». Cette fable se caractérise aussi par l'emploi des temps du passé tout au long du récit avec le passé simple « fit »