Les Vieux Mariés

pas bannis par la même occasion que leur mère. De son côté, Médée invoque de nombreuses divinités afin de leur demander de l’aide, dans l’optique de se venger. Elle souhaite la mort de celle qui à volé le cœur de son mari, ainsi que celle de son père Créon. Elle souhaite pour son mari, qu’il soit quand à lui condamné à vagabonder de lieu en lieu, banni de tout endroit où il se rend, privé de toute forme d’aide d’autrui, et que ses derniers soufflent soit empli du regret de ses décisions. Mais cette

faire d’autre que retouner quand son amour tant cherchée est retrouvée. Donc ils sont rentré a Vieux Nançay ensemble, ou ils sont invités pour la partie de campagne. Yvonne et Augustin sur le point de se revoir enfin. Mais un vide, une distance au moment ils se sont rencontré; quand meme il demanda marriage a Yvonne dans la soirée. Bonheur parfait, mais tres court… Attendu si longtemps, ils se sont mariés dans 5 mois et vivent a Sablonnieres, François est devenu institeur tres proche de chez eux

Il regardait les gens heureux et joyeux, les enfants qui jouaient dans le bac à sable et qui couraient comme des fous. Le vieux clochard scruta deux jeunes amoureux s’embrassaient. Il soupira. Il se retourna et rebroussa chemin. Il se paralysa tout à coup. Il vit une dame luxueuse qui se promenait avec son chien. Il sentit son cœur battre vigoureusement. Le vieux se souvint de son abominable passé. Depuis une trentaine d’années, Il s’était rencontré avec une jeune femme. Malheureusement

des Phéaciens, qui ont le rôle de passeurs entre le monde merveilleux, surnaturel, d’où Ulysse vient et le monde des hommes, où se trouve la Grèce et Ithaque, sa patrie. Sur l’île, habite Nausicaa, la fille du roi des Phéaciens, qui est en âge de se marier. La nuit, Athéna vient la visiter en rêve et lui dit d’aller laver son linge près de la rivière en vue du mariage. Le lendemain, Nausicaa va donc laver le linge avec plusieurs des ses servantes. Une fois se travail fait, elles jouent à la balle et

la même : on a une personne âgée appartenant au clan des vieux qui symbolise le pouvoir en place, un jeune qui est opprimé par ce pouvoir et des valets, esclaves, serviteurs ou employés qui sont au service des deux. Le personnage du jeune, le héros est construite par opposition au personnage du vieux qui est le méchant : si le vieux est avare, le jeune est généreux, si le vieux est brutal alors le jeune est doux et ainsi de suite. Les vieux et les jeunes participent peu à l’action, ils ne sont là

Desroches, Madame de la Carlière avait déjà épouser un homme cupide et jaloux, bien plus vieux qu'elle, pour lequel elle avait des attentions sans limites. Suite au désastre de ce premier mariage et aux douleurs endurées, lorsque Desroches demande Madame de la Carlière en mariage, celle-ci refuse. Elle finira par accepter de l'épouser. Or, alors que le mariage vient d'avoir lieu, Madame de la Carlière explique à son mari ce qui l'attend si jamais il lui est infidèle. Nous pouvons dire que cette scène

par Agota Kristof en 2005. Il s'agit d'un dialogue entre un mari et sa femme Madeleine encré dans le présent. Le texte n'a pas d'effet littéraire particulier ce qui lui donne une visée réalise. La narrateur est externe car il est témoin de la scène. Celui ci fait quelques commentaires sur la situation et les personnages mais est peu présent dans le récit. La plus grande part du texte étant réservée au dialogue. Il s'agit d'un mari qui pour l'anniversaire de sa femme souhaite lui organiser d'un

le comte Hervé de Ker soupçonne sa femme de tromperie conjugale; il est blessé dans son amour propre et dans son orgueil de mâle; il décide de se venger - « Les doutes et les soupçons infondés » basés sur les ouïe-dires, les médisances, puisque le mari a été influencé par les allusions de son garde. Car après qu’il aura compris son erreur, il dit : « c’est mon garde qui m’a trompé. » Mais c’est trop tard, le pire est arrivé et on ne eut plus revenir en arrière. - « L’absence de communication dans

ainsi dans le texte l’acceptation de tous les préjugés, de tous les « on-dit ». Lisette semble très sensible à l’apparence extérieure, à la beauté (l.61) et surtout à la bonne mine (l.66-67). En fait, Lisette semble être réaliste car elle accepte un mari avec tous ses défauts, elle ne recherche pas une image idéale. B. Silvia ou l’obsession du malheur conjugal Silvia est au contraire obsédée voire hantée par le malheur conjugal. Le malheur des autres femmes (l.83 à 90, l.93 à 98, l.103 à 111)

la famille d'un forgeron, le fils procurait du vieux fer et s'occupait du soufflet de forge). La fille apprenait avant tout à devenir bonne épouse et future belle-fille. Elle aidait sa mère à s'occuper des garçons et soeurs plus jeunes, préparait des repas, vendait avec la mère des produits sur le marché, etc. Avant de se marier, la fille avait le droit de sortir uniquement quand elle était accompagnée de son père, de son frère ou de son futur mari. Après le mariage, elle quittait d'habitude