Les Villes Tentaculaires

de saules. Émile Verhaeren, né à Saint-Amand le 21 mai 1855 et mort à Rouen le 27 novembre 1916, est un poète belge flamand, d'expression française. Dans ses poèmes influencés par le symbolisme, sa conscience sociale lui fait évoquer les grandes villes dont il parle avec lyrisme et grande musicalité. Il a su traduire dans son œuvre la beauté de l'effort humain. Voici la première partie du poème sur lequel s’ouvre le recueil Campagnes hallucinées. La ville Tous les chemins vont vers la ville

extrait du recueil Les Villes Tentaculaires publié en 1895. Il est composé de 104 vers, et de 12 strophes (douzain) et est écrit en vers libres. Emile Verhaeren est un poète belge flamand né à Saint-Armand près d’Anvers en 1855 et est mort en 1916 écrasé par un train à Rouen. Son entreprise s’est essentiellement consacrée à la description des villes ainsi qu’à la critique du développement industriel de celles-ci, comme on peut le voir dans son recueil « Les Villes Tentaculaires ». Il s’illustre en majorité

harmonieux. Le souvenir de cette campagne belge inspirera largement son œuvre. Ainsi, dans le recueil Les Campagnes hallucinées, le poète exprime à la fois sa fascination et son inquiétude face au développement fulgurant des villes modernes, au détriment des campagnes. Dans le poème La Ville, qui ouvre le recueil et que nous allons étudier, il brosse le tableau d'un lieu gigantesque et vertigineux, véritable monstre animal, qui dévore êtres humains et

Verhaeren, poète belge de la fin du XIXème siècle, publie en 1893 Les Campagnes hallucinées dans lequel il décrit les changements autour de lui à travers une tonalité épique: la mort des campagnes et la naissance des villes. Dans « La ville », inquiet du développement fulgurant des villes au détriment des campagnes, le poète se tourne vers un aspect fantastique. Quelle image donne-t-il de la ville moderne et pourquoi ? Nous tenterons de répondre à cette problématique en analysant dans un premier temps

une partie de la ville. Etymologie : ceinture (maintien) Connotation liées à zone : enfermement, limite : lieu de marginalité + en marge du recueil : ouverture, prologue  zone est en marge de la poésie traditionnelle = modernité expension des villes I/ une revendication de nouveauté/ de la modernité A. Une ville, source d’inspiration qui n’est autre qu’une mise en scène de la modernité L’intégration de la ville Les symboles de PARIS Une structure libre à l’image de la modernité de

catégorie, la révolte. Cette anthologie sera scindée en trois parties, une sur le soulèvement du peuple avec deux poèmes et une chanson. Le premier s’intitule « la révolte » et fut écrit par Emile Verhaeren en 1890 dans le cadre du recueil  les villes tentaculaires. Le second fut publié au XXI (2010) par un poète peu connu Edgar Gorges et se nomme « a cage ». Enfin nous continuerons avec notre hymne national « La Marseillaise »écrite à l’occasion de la Révolution Française par Rouget Delisle à la fin

Los Angeles Les quartiers Les quartiers de Los Angeles forment, en eux-même, des villes quasi-indépendantes, avec leurs mairies, leurs polices, etc... Ils sont au nombre de 88 et sont très différents les uns des autres. Pour n'en citer que quelques uns, évoquons tout d'abord HOLLYWOOD, dont le simple nom éveille en nous toute sorte de rêves magiques...Ce quartier étonne par la diversité des gens qui y habitent...de la richesse à l'exclusion,...tout y est représenté ! En fait, HOLLYWOOD attire

De Songdo à Buenos Aires en passant par Canton, Shenzhen, Hô Chi Minh-Ville, Hyderabad, Istanbul et São Paulo : c'est principalement dans ces villes que se concentrent actuellement plus de 3,3 milliards d'hommes La croissance urbaine avance à un rythme très rapide. SONGDO : Sur 53 kilomètres carrés émerge une ville nouvelle, Songdo. Cette cité du futur, l'une des plus grandes poldérisations du monde, ne sera achevée qu'en 2020. Elle constituera l'un des éléments qui permettra à Incheon, la troisième

mais aussi pour les réfugiés politiques, notamment à partir des années 30. Paris est donc une ville mosaïque, une ville composite, de plus en plus diverse et tentaculaire au fil des années, et dont le rayonnement ne faiblit pas malgré les crises que subit le pays de 1870 à 1940. On peut se demander ce qu'est donc réellement cette villes, en quoi consiste sa puissance et son originalité, mais également ce que c'est que d'être parisien dans une ville qui ne cesse d'évoluer pendant ces soixante-dix

Commentaire composé Emile Verhaeren – Le Moulin Emile Verhaeren poète Belge de langue Française, nous entraîne dans son poème au pays de Flandre. Mais contrairement à son habitude, cette fois ci nous ne sommes pas au milieu des villes tentaculaires ou des campagnes mangées par le projet des hommes. Il nous propose ici, un tableau typiquement et même banalement flamand : une plaine, des nuages et un moulin. Immédiatement se dégage de ce texte une tristesse et une mélancolie incommensurable :