Les Vitelloni

réalise sa première véritable mise en scène en 1950 : « Les feux du music hall », une œuvre fortement influencée par le Néoréalisme italien. En 1952, il assure seul la réalisation de la comédie : « Le Cheik blanc », puis tourne en 1953 : « Les Vitelloni », imposant l’univers fellinien. C’est à La Strada en 1954, que Fellini doit sa renommée internationale. Dans ce film, comme dans Il Bidone, ou les Nuits de Cabiria, il met en vedette sa femme. Dans la Strada, elle joue Gelsominia, une artiste

côtés de Lattuada, en 1951, dans une œuvre co-signée, Les Feux du music-hall, qu’il signe sa première véritable mise en scène. L’œuvre est imprégnée du courant néoréaliste. Viennent ensuite, successivement, en 1952, le Cheik Blanc et en 1953, Les Vitelloni. Mais c’est avec La Strada, en 1954, que Fellini, réalisant un authentique joyau du septième art, accède à la reconnaissance internationale et inaugure une prodigieuse collection de récompenses internationales. En 1955, Fellini réalise Il Bidone

séquences. 1948 La terre Tremble de Luchino Visconti L’histoire se concentre sur une famille traditionnelle italienne et a pour thème l’exploitation des pêcheurs par les grossistes. Réalisme et critique sociale sont la force de ce film. • 1953 Les Vitelloni de Frederico Fellini Histoire d’une bande de 5 jeunes cherchant un but à leur existence. Ils cherchent leur avenir, leur rêve, leur amour… Réalité d’une jeunesse désœuvrée qui trouve encore écho de nos jours. • CINEMA EN FRANCE DES ANNEES 1960

proximité de la côte, les centres artistiques et surtout une très bonne cuisine ! Elle a une culture particulière. L'Emilie-Romagne est enfin un lieu de prédilection pour les tournages de films. Fellini est resté attaché à Rimini avec Amarcord et les Vitelloni, Antonioni à Ferrare avec Par-delà les nuages. Près de Ferrare également a été tourné Ossessione de Visconti. C'est une région très agréable à visiter car ses paysages sont variés à tous points de vue.Elle s'appuie sur une agriculture dynamique et

à laquelle son cousin Coppola a octroyé le traitement que l’on sait. La découverte du livre de Nicholas Pileggi, qui raconte l’histoire vraie de Henry Hill, lui a forcément causé un choc: ce pourrait être la suite de Mean streets, où de jeunes vitelloni de Little Italy tentaient en vain de se faire accepter dans la mafia. «J’avais toujours voulu être gangster», s’écrie Henry Hill. Et son itinéraire commence comme celui de Harvey Keitel, profitant d’un vague cousinage avec un mafioso redoutable et

 Cet emploi se fixe au XIIIe siècle; l'Optique de Vitellion, inspirée par Alhazen et qui deviendra un classique, dit semblablement : « Imago dicitur forma in speculo comprehensa [on appelle image la forme qu'on appréhende dans un miroir] » (ibid., Vitellonis libri decem, 5, def. 13, p. 190). III. Image optique et image mentale A. «  Imago » selon Kepler La notion d' image évolue à nouveau à l'âge classique avec les progrès de l'optique. Pour Kepler l'image vue dans un miroir ou à travers

EXTRAIT : De Sica le voleur de bicyclette (le vol du vélo jusqu’à la fin) Démarcation, champ contre-champ, découpage, Le néoréalisme connaîtra des évolutions diverses au cours des années 1950, puisqu'en émergeront aussi bien Federico Fellini (les Vitelloni , 1953; La strada , 1954) que Michelangelo Antonioni (le Cri, 1957; l'Avventura , 1960). Il connaîtra un nouveau départ avec Salvatore Giuliano, que réalise Francesco Rosi en 1961. -> Influence sur Bergman, Fellini, Scorsese, … I.6 Populisme américain

 » (interview donnée à Alain Louyot et publiée dans L'Express le 27/09/2004). La même année 1954, Hélène Gordon-Lazareff, la directrice du magazine Elle, lui commande une série d'articles sur l'Italie. On ne sait si elle en profite pour voir Les Vitelloni, le film de Federico Fellini qui décrit la jeunesse dorée de Rimini, mais elle joue au reporter du sud au nord de la péninsule. L'hebdomadaire titre ses reportages « Bonjour Naples », « Bonjour Capri », « Bonjour Venise »... Dans ces petits textes

: Clint EASTWOOD : Serge M. EISENSTEIN : Robert ENRICO : Pierre ETAIX : Le vieux fusil (1978) Le Soupirant (1963) Yoyo (1965) Le Grand Amour (1969) La Rosière de Pessac (1969) La Maman et la Putain (1973) Mes petites Amoureuses (1974) Vitelloni (1953) La Strada (1954) Les Nuits de Cabiria (1957) La Dolce Vita (1960) Huit et Demi (1963) Fellini Satyricon (1969) Amarcord (1973) Prova d’Orchestra (1978) La cité des Femmes (1980) Et vogue le navire (1983) Frankenstein s’est échappé (1957) La

Rome ville ouverte (1945), Paisá (1946), Onze Fioretti de François d'Assise (1950), et joua même le rôle central de Miracle (1948), aux côtés d'Anna Magnani. Ses premières réalisations: les Feux du musichall, 1951 ; Courrier du cœur, 1952 ; les Vitelloni, 1953. Influencé par le cirque, la caricature et le néoréalisme, il tourne: la Strada (1954), Nuits de Cabiria (1957), la Dolce Vita (1960, dénonçant les monstruosités de la société), Huit et demi (1963, histoire d'un metteur en scène en panne d'inspiration)