Les âmes Fortes Giono

Rousseau, Profession de foi du vicaire savoyard Jean Giono, Les Âmes fortes Les ouvrages seront étudiés dans les éditions suivantes : William Shakespeare, Macbeth Présentation par G.Wilson Knight, traduction par Pierre Jean Jouve, Édition GF Flammarion n° 1449, ISBN 978-2-0812-3156 -6 Jean-Jacques Rousseau, Profession de foi du vicaire savoyard Édition de Bruno Bernardi Édition GF Flammarion n° 1448, ISBN 978-2-0812-3137 -5 Jean Giono, Les Âmes fortes Édition Gallimard FOLIO n° 249, ISBN 978-2-07- 03624

Audeguy dans le magasine littéraire en Aout 2009 : « Le méchant c’est toujours l’autre ». En appuyant notre réflexion sur la tragédie de Shakespeare, Macbeth, sur « La profession de foi du vicaire savoyard » de Rousseau et sur le roman de Giono, Les Ames fortes, nous étudierons la relation qu’entretien chaque individu avec l’autre. De ce point vu sociale, nous étudierons alors le sens que peuvent prendre nos actes et si au fond, a toujours vouloir accuser les autres, ce n’est pas notre étroitesse

Synthèse : La mort du loup, un roi sans divertissement, GIONO Introduction : Après la mort de M-V, c'est un Langlois différent qui retourne au village pour essayer de s'installer et de mener la vie paisible des villageois. Dans cet univers où les activités sont dictées par l'austérité des lieux et du climat;, l'ennui risque vite de gagner certaines âmes éprises de sensations fortes et nouvelles ( voir Langlois après avoir tué M-V ). Dans ce cadre apaisé et peut être trop calme, les agressions

Les œuvres citées en exemple sont : Profession de foi du vicaire savoyard de Rousseau Mac Beth de Shakespeare Les âmes fortes de Giono Sujet : Le mal réside-t-il dans l’excès et le bien dans la mesure ? I. On peut légitimement affirmer que le bien requiert une certaine mesure et le mal un excès. 1) Le bien est synonyme de tempérance. A.F : L’épisode de la veillée confirme ce constat

Séquence n°4: Un roi sans divertissement. Giono. Le roman et ses personnages | | |Perspectives dominante : le roman comme une forme littéraire privilégiée de représentation de l'homme et du monde | | | |Perspective complémentaire :

quelle mesure est-il possible de combattre le mal ce fléau omniprésent et protéiforme ? Annonce du plan :pour tenter de répondre a cette question et à la lumière de Macbeth de Shakespeare de Profession de foi du vicaire savoyard de rousseau les Ames fortes de Giono, l’intérêt sera porté d’abord sur les possibilités de corriger le mal par le mal avant de mettre l’accent sur d’autres voies susceptibles de faire face au mal pour voir in fine l’impossibilité d’éradiquer le mal complètement. D’où la nécessite

| | | |Macbeth : Shakespeare |Profession de foi du vicaire savoyard : J.J Rousseau |Les âmes fortes : J.Giono | |1- Le point de vue générique | | |La voix

camélias FLAUBERT, Madame Bovary; L’Education sentimentale GAUTIER , Le Capitaine Fracasse HUGO, Quatre-vingt-treize ; Le Dernier jour d’un condamné ; Notre-Dame de Paris ; Les Misérables (en partie) MAUPASSANT, Une Vie ; Bel-Ami ; Pierre et Jean ; Fort comme la mort SAND, Indiana ; Lélia ; La Mare au diable ; La Petite Fadette STENDHAL, Le Rouge et le noir ; La Chartreuse de Parme VALLES, L’Enfant ; Le Bachelier ; L’Insurgé VERNE, Le château des Carpathes ; Voyage au centre de la terre VILLIERS DE

peut poser la conception du mal selon chacun. En effet, le mal d’un individu à un autre peut prendre différentes formes, différents sens et engendrer diverses réactions. On peut donner l’exemple de Thérèse, personnage principal dans Les âmes fortes de Jean Giono, qui se révèle être une manipulatrice, exerçant son pouvoir de séduction sur ses victimes par distraction, soif de pouvoir et appât du gain. On voit dans ce cas l’amoralité du personnage, qui d’ailleurs n’exprimera jamais de remord pour ses

pièce de Shakespeare au programme en 2002-203, dans le cadre de « La paix »… et non « La Paix »….). Dérisoire encore le fait de situer Lalley, cadre de la veillée inaugurale des Ames fortes, dans la Drôme, alors que c’est bien dans l’Isère (Dunod, page 109). Pareil pour Sédes, page 112, toujours à propos du roman de Giono : « une autre cache à son mari ce qu’elle donne à sa mère puis évoque longuement son oncle maternel, Emile, vieux garçon qui fit fortune dans les coupes de bois ». Or, Emile est