Lettre 127 Laclos

Fiche de révision : Les Liaisons Dangereuses, Lettre 127 par Choderlos de Laclos (lecture analytique) Au XVIII° siècle, l'individu s'impose peu à peu dans sa particularité, et non plus seulement en tant que membre de l'ordre social. Le personnage de roman devient alors un être au caractère propre et au destin unique. Dans Les Liaisons Dangereuse, roman épistolaire de Choderlos de Laclos publié en 1782, la marquise de Merteuil incarne cette nouvelle approche du personnage : elle incarne une femme

Lecture analyctique 2 – Les Liaisons Dangereuses, Laclos Intro : Le texte que nous allons étudier est la lettre 127 de la marquise de Merteuil issue du roman épistolaire Les Liaisons Dangereuses ecrit par Laclos en 1782. Ce roman, principalement basé sur le pouvoir, l'intrigue et la séduction met en lumière deux libertins de la haute société : Le vicomte de Vlamont et la marquise de Merteuil, anciens amants et toujours complices, excellent dans l'art de la manipulation pour débaucher (salir

Fiche de révision : Les Liaisons Dangereuses, Lettre 127 par Choderlos de Laclos (lecture analytique) Au XVIII° siècle, l'individu s'impose peu à peu dans sa particularité, et non plus seulement en tant que membre de l'ordre social. Le personnage de roman devient alors un être au caractère propre et au destin unique. Dans Les Liaisons Dangereuse, roman épistolaire de Choderlos de Laclos publié en 1782, la marquise de Merteuil incarne cette nouvelle approche du personnage : elle incarne une

épistolaire : Les liaisons dangereuses, de Laclos Perspectives d’étude • Le libertinage • L’épistolarité Extraits choisis • • • • • Lettre 4 : autoportrait de Valmont Lettre 48 : lettre libertine écrite « sur le dos d’Emilie » Lettre 81 (de « sans doute » à « je suis mon ouvrage ») : autoportrait de Merteuil Lettre 100 (jusqu’à « mon sang bout dans mes veines ») : désespoir de Valmont Lettre 161 : désespoir de Tourvel Etude comparée des lettres 21 et 22 → la polyphonie et les effets

liaisons dangereuses, de Laclos Perspectives d’étude  • Le libertinage • L’épistolarité Extraits choisis  • Lettre 4 : autoportrait de Valmont • Lettre 48 : lettre libertine écrite « sur le dos d’Emilie » • Lettre 81 (de « sans doute » à « je suis mon ouvrage ») : autoportrait de Merteuil • Lettre 100 (jusqu’à « mon sang bout dans mes veines ») : désespoir de Valmont • Lettre 161 : désespoir de Tourvel Etude comparée des lettres 21 et 22 ( la polyphonie

d’un roman épistolaire : Les liaisons dangereuses, de Laclos Perspectives d’étude  Le libertinage L’épistolarité Extraits choisis  Lettre 4 : autoportrait de Valmont Lettre 48 : lettre libertine écrite « sur le dos d’Emilie » Lettre 81 (de « sans doute » à « je suis mon ouvrage ») : autoportrait de Merteuil Lettre 100 (jusqu’à « mon sang bout dans mes veines ») : désespoir de Valmont Lettre 161 : désespoir de Tourvel Etude comparée des lettres 21 et 22  la polyphonie et les effets de structure

Devoir sur table du 12 mai 09 : proposition de corrigé 1) Quelle est la place de l’ironie dans Les Liaisons dangereuses de Laclos et dans son adaptation par Stephen Frears. Les liaisons dangereuses de Laclos et son adaptation par Stephen Frears mettent en scène deux libertins qui s’emploient à pervertir leurs victimes. Ils comparent souvent leur entreprise à une guerre ou à une partie de chasse. L’ironie est une de leurs armes et l’insigne par lequel ils se reconnaissent. Nous verrons donc

En face des partisans des lettres, la marquise est chargée par l'auteur d'introduire le doute et de souligner les risques auxquels s'expose toute correspondance amoureuse et, par delà, le romancier lui-même [...]. Risques doubles dans un roman comme Les liaisons : au problème général - l'écriture peut-elle communiquer la pensée et le sentiment, les mots ne trahissent-ils pas toujours les intentions, ou le signifiant, le signifié - s'ajoute le problème particulier des hypocrites : comment persuader

de Laclos est né dans une famille de petite noblesse de robe, qui récemment a été anoblie, le 18 octobre 1741 à Amiens. Son père l’a toujours poussé vers une formation et une militaire, mais comme, sauf dans l’artillerie, il faut quatre quartiers de noblesse (et Laclos n’en a que trois) pour devenir officier, il fait l’école d’artillerie de la Fère, la future École polytechnique et en sort sous-lieutenant en mars 1761. Il suivit alors une carrière militaire en garnison. Il est dit que Laclos s’ennuyait

dans la société de l’Ancien Régime. Dans ses essais sur l’éducation des femmes, Laclos constate l’aliénation engendrée par leur dépendance née de leur ignorance. Pour Laclos, il faut traiter le problème en profondeur, car aucune solution ne pourrait être trouvée dans l’état actuel des choses. Dans Les Liaisons, les femmes écrivent beaucoup parce qu’elles expriment leurs sentiments de manière privilégiée dans les lettres qu’elles s’adressent l’une l’autre. En effet, le souci de leur réputation leur