Lettre 48 Lettres Persanes

Lettres Persanes, Montesquieu Commentaire de la lettre XXIV De « Ne crois pas que je puisse… » l.27 A «…c’est proprement leur Alcoran. » l.70 Les Lettres Persanes est un roman épistolaire écrit en 1721 par Montesquieu, mais qui parut dans un premier temps de manière anonyme à Amsterdam. Usbek et Rica sont deux persans ayant quitté la Perse pour se rendre à Paris. Durant le roman ils y découvrent les parisiens, la politique, leur religion, qu’ils critiqueront dans des lettres destinées

Les lettres persanes Lettre 30 (1721) Introduction Présenter l'auteur : Montesquieu et l'œuvre. C'est une satire de la réaction des parisiens vis à vis des étrangers et du snobisme des Parisiens (engouement pour une mode). Il introduit une nouvelle forme de jugement en considérant les autres peuples. La tonalité satirique du texte est donnée dès la première ligne avec l'emploi du mot "extravagance" Cette lettre se présente en 2 volets opposés : "Je fus regardé" /" Sans qu'on

doigts crochus ». C – Une critique implicite de la Cour : Bien plus que de simples paysans, il semble donc que ce soit Fénelon qui parle ici. La critique ne peut que nous rappeler le mode de vie de la Cour de Louis XIV. Montesquieu dans les Lettres persanes reprendra les mêmes critiques de désœuvrement, de futilité, de tyrannie de la mode, notant combien la cour fait vivre un nombre incalculable d’artisans. La noblesse, domptée par Louis XIV, se cantonne à un rôle décoratif. La critique se poursuit

three structures, this article seeks to answer questions similar to the one posed by Montesquieu in his 18th-century Lettres Persanes : "How can one be Persian?" Une analyse de film n’a jamais lieu sans raison. L’enjeu de la nôtre fut la découverte de l’étranger comme lieu possible de l’interculturalité par le film et, à travers le film, dans le réel, comment on peut être Persan ». Répondre à l’interrogation de Montesquieu, dans le film et par lui, signifie d’abord reconnaître dans le film un

L’écrit garde un grand impact sur l’esprit et l’écria même marginalisé et garde valeur 2. Parole dangereuse et œuvre d’art dangereuse aussi pour les pouvoirs .Au-delà de toutes les critiques cela nous amuse car pas perdu force de convaincre (les lettres persanes et Hugo)

sans cesses la développer. Montesquieu va fonder sa conception de l’organisation des pouvoirs sur des analyses comparatives. (Le voyage qui amène à la découverte d’autres régimes politiques, regarde nos institutions avec le regard d’autres, les Lettres Persanes). Il constate que les différents régimes de gouvernement peuvent être classés en deux catégories (séparation / confusion). I. Théories et méthodes de l’analyse comparative 1. Pourquoi comparer ? A. Trouver les preuves Comparer

l’expéditeur peut en s’adressant à un destinataire, s’adresser à tous les destinataires, nous voyons la lettre passer du domaine privé au domaine public, forme commode pour exposer des idées. Nous pouvons citer quelques grands modèles de cette forme particulière de la correspondance : Le « J’accuse » de Zola qui reste un modèle de lettre ouverte, l’oeuvre de Montesquieu, Les Lettres Persanes qui multiplie les points de vue de deux étrangers sur la société française et Les Liaisons Dangereuses, oeuvre

diversité de son talent et de sa curiosité : Les causes de l'écho, Les glandes rénales et La cause de la pesanteur des corps. Puis il s'oriente vers la politique et l'analyse de la société à travers la littérature et la philosophie. Dans les Lettres persanes, qu'il publie anonymement (bien que personne ne s'y trompe) en 1721 à Amsterdam, il dépeint admirablement, sur un ton humoristique et satirique, la société française à travers le regard de visiteurs perses. Cette œuvre connaît un succès considérable :

Les Lettres Persanes de Montesquieu. Lettre 151 (page 331), De Solim à Usbek. Situation initiale : * L’émetteur de la lettre est Solim, c’est un esclave sous l’ordre du seigneur persan Usbek, il est en poste au Sérail d’Ispahan. * Le récepteur de la lettre est Usbek, grand seigneur de Perse et propriétaire du Sérail d’Ispahan. * Elle est rédigée le 6 de la lune de Rebiab de l’année 1719, directement envoyée du Sérail d’Ispahan en direction de Paris. Résumé : Avant cette lettre : on

ne pas se comporter de façon hypocrite et fausse. C'est cette sincérité qui séduit le Vicomte de Valmont. En effet, elle ne porte aucun masque, elle sait qui elle est, et selon le Vicomte, "toute parure lui nuit ; tout ce qui la cache la dépare" (lettre VI). La Marquise de Merteuil, au contraire, se sert de son intelligence afin "d'en profiter pour observer et réfléchir" (LXXXI) et de contrôler ses passions et celles des autres, tout en préservant sa réputation. Aristocrate libertine, elle ne peut