Lettre De Claude Gueux

décembre 1969 un inédit de • arl e Le père de Jacquou le Croquant ·Claude Roy. Le Journal d'Anaïs Nin SOMMAIRE a LE LIVRE DE LA QUINZAINE Claude Roy Moi Je par Maurice Nadeau 5 TELEVISION Eugène Le Roy Jacquou le Croquant L'Ennemi de la mort par Michèle Albrand 8 ROMANS FRANÇAIS Jacques Henric Michel Huriet Rachel Mizrahi Archées La Fête de la dédicR('e Harry par Josane Duranteau . par Alain Clerval par Marie-Claude de Brunhoff MEMOIRES Anais Nin Journal 1931-1934 par Diane Fernandez

1848 devant l'Assemblée nationale, sont rejetés. Victor Hugo a donc lui aussi été un abolitionniste. Son combat contre la peine de mort est d'abord mené au moyen de son œuvre littéraire. Dans deux romans, Le dernier jour d'un condamné (1829) et Claude Gueux (1834), il dépeint la cruauté des exécutions capitales auxquelles il a assisté dans son enfance. Victor Hugo tente sans succès de convaincre ses collègues d'écarter le châtiment suprême lors du procès de Pierre Lecomte, accusé de tentative d'assassinat

d’embauche d’une jeune provinciale ( Zola ) p.50-51 + questions p.51 no.1-6 L’entrée d’un ambitieux dans la noblesse parisienne ( Balzac ) p.52-53 + questions p.53 no.1-6 Le vocabulaire du héros de roman au XIXe siècle p.55 no.8-14 Écriture : Rédiger une lettre p.53 no.8 Rédiger un monologue intérieur d’un personnage p.57 no.1 Imaginer une explication : Grammaire p.293 no.8 Oralement : Lecture de l’image p.51 no.8 Préparé par Sylvie Brûlé : http://unebellefacon.wordpress.com/ Lecture de l’image p.53

roman[modifier] Genèse[modifier] Préoccupé par l'adéquat entre la justice sociale et la dignité humaine, Victor Hugo a déjà écrit en 1829 Le Dernier Jour d'un condamné, long monologue et réquisitoire contre la peine de mort. Il poursuit en 1834 avec Claude Gueux. En 1845, il entreprend une grande fresque épique qu'il intitule d'abord Les Misères, dans laquelle le personnage principal se nomme Jean Tréjean. Il interrompt sa tâche en février 1848, mais écrit à la même époque son Discours sur la misère (1849)

l'anoblissement. Mais c'est grâce au succès du Cid que Corneille reçoit en 1637 son quartier de noblesse. En 1641, Richelieu intervient pour favoriser son mariage avec une jeune aristocrate, Marie de Lampérière. Mais, en 1664, Louis XIV révoque les lettres de noblesse accordées depuis 1630. Et ce n'est qu'en 1669 que Corneille obtient enfin confirmation de son anoblissement. Corneille se montre un homme à la piété réelle mais jamais puritaine. Chez les jésuites où il est élevé, il apprend à écrire

un chef-d’œuvre, c’est bien l’utilisation qui est faite du langage par l’écrivain, c’est-à-dire son style mais aussi le travail de l’écrivain pour renouveler les formes. A ce propos, Flaubert avait émis le projet d’écrire un livre sur rien dans sa lettre du 16 janvier 1852 adressée à Louise Collet : « Ce qui me semble beau, ce que je voudrais faire, c’est un livre sur rien, un livre sans attache extérieure, qui se tiendrait de lui-même par la force interne de son style ». Par ailleurs, si le

individuelle. * Quant à la culture française, elle ne nous est pas étrangère. Les romans des plus grands écrivains ,Balzac, Stendhal, Le Vampire, Hugo, ils attirent toujours de nombreux lecteurs. Les peintures de Delacroix（欧仁·德拉克洛瓦）, Paul Cézanne(塞尚), Claude Monet sont bien connues. Au sujet des musiques de Hector Berlioz（柏辽兹） et Georges Bizet, le peuple qui apprécient leurs talents ne manquent jamais. En totale, on n’est pas étranger à la culture française. Mais, ne pas être étranger ne peut pas dire

d'éducation. D'origine vendéenne, elle lui inculte l'amour de la monarchie. Il lit beaucoup et s'éprend à la fois de vers et de mathématiques. 1816: Se préparant à l'École polytechnique, il suit ses études au lycée Louis le Grand et s'adonne aux lettres. Alors qu'il n'a que quatorze ans, il note: "Je veux être Chateaubriand ou rien". .1817: L'Académie française organise un concours et pense lui décerner le prix. Mais le titre du poème de Victor Hugo, "Trois lustres à peine", suggère

que Valmont rencontre la vertu incarnée : la présidente de Tourvel. Elle est belle, douce, mariée et chaste : en un mot, intouchable. Voilà une proie de choix pour Valmont : saura-t-il relever ce défi sans tomber dans les pièges de l'amour ? De lettre en lettre, les héros dévoilent leurs aventures, échangent leurs impressions et nous entraînent dans un tourbillon de plaisirs qui semble n'avoir pas de fin. Ce sulfureux roman a longtemps été censuré, ce qui ne l'a pas empêché de fasciner des générations

on ne doit pas concevoir de haine a priori, Benoît Lambert fait de Tartuffe « une crapule charmante », « une sorte d’Arsène Lupin, dont l’entreprise malhonnête » prend, pour lui, « des allures de revanche de classe ». Jusqu’où peut-on sauver « ce gueux », victime, à la fin de la pièce, de l’ordre bourgeois rétabli ? s’interroge le metteur en scène. On l’aura compris, Benoît Lambert tourne le dos à la tradition et nous invite de façon stimulante à revisiter notre classique : la question qui travaille