Lettre Mac Mahon A Jules Simon

de la IIIe République en France. Après un grand débat entre les monarchistes orléanistes et les monarchistes légitimistes pour savoir qui du comte de Paris ou du comte de Chambord devait monter sur le trône, Mac-Mahon est placé au pouvoir pendant sept ans en tant que Président de la République à titre personnel. Les 24 et 25 février 1875 et le 16 juillet 1875, trois lois constitutionnelles sont adoptées afin d’organiser le régime politique de la France. Ces lois sont le fruit d’un compromis entre les

totale après la défaite de sedan. Dans les faits et politiquement il a débuté en 1870. Mais d'un point de vue strictement formel, il est né officiellement en 1875 avec l'adoption des lois constitutionnelles. La 3ème rep a pris fin le 10 juillet 1940, lorsque les pleins pouvoirs furent donnés à Pétain pour élaborer une nouvelle c°, pour beaucoup il perdure jusqu'en 46. Ce qui caractérise la 3è rep c'est le décalage entre la lettre de la c° et sa pratique. SECTION 1. LA MISE EN PLACE DE LA 3ème

la fin de la république Malgré le coup de force de de Brogue, et le remplacement de ce dernier par Mac Mahon, l'espoir d'aboutir à un comprimis entre monarchistes & légitimistes s'éloinge de + en +. Il apparait de + en + la véritable solution, la mort du prétendant légitimiste. C'est pourquoi par une nouvelle résolution du 20 novembre 1873, que l'assemblée constituante décide de nommer Mac Mahon président pour une période de 7 ans. Cette période marque le début du principe qui va devenir intangible

malheureuses, la troisième République n’en a pas moins été le régime français le plus durable, au moins jusqu’à nos jours, le plus libéral aussi et celui qui a permis au pays de surmonter de redoutables épreuves, dont celle de la Première guerre mondiale. La troisième République voit le jour après la chute du second Empire et au lendemain de la défaite contre le jeune Empire Allemand en 1871. Adolphe Thiers en est le premier président. La défaite à Sedan avait fragilisé la nation française

la IIIème République en France. Après un grand débat entre les monarchistes orléanistes et les monarchistes légitimistes pour savoir qui du comte de Paris ou du comte de Chambord devait monter sur le trône, Mac-Mahon est placé au pouvoir pendant sept ans en tant que Président de la République à titre personnel. Les 24 et 25 février 1875 et le 16 juillet 1875, trois lois constitutionnelles sont adoptées afin d'organiser le régime politique de la France. Ces lois sont le fruit d'un compromis entre les

Message de Jules Grévy adressé au Sénat le 6 février 1879 : « Soumis avec sincérité à la grande loi du régime parlementaire, je n'entrerai jamais en lutte contre la volonté nationale, exprimée par ses organes constitutionnels. » Le 6 février 1879, Jules Grévy, Président de la République depuis un mois seulement, s'adresse au Sénat et dit « Soumis avec sincérité à la grande loi du régime parlementaire, je n'entrerai jamais en lutte contre a volonté nationale, exprimée par ses organes constitutionnels

L’année terrible » (1870-1871) A. De la défaite de Sedan à l’armistice du 28 janvier 1871 Le 4 septembre 1870, la République est proclamée à Paris dans des circonstances troubles : elle avait déjà été proclamée en province (Lyon) dès la nouvelle de la capture de l’empereur ; le peuple a fait irruption en criant « déchéance ! » dans la Chambre (mais qui ? blanquistes) convoquée par le compte de Palikao le 3 ; un gouvernement de facto de Défense nationale se constitue à la suite de Gambetta et Favre

posé au citoyen est de se prononcer sur l'avenir des institutions ou continuer la guerre. Deux camps vont s'affronter. Des monarchistes favorable à l'instauration de la paix et des républicains qui poussent à la résistance. Les monarchistes vont gagner les élections et l'assemblée qui est élu est majoritairement monarchiste. Ils ne veulent pas un retour à la monarchie mais l'arrêt de la guerre. Le rôle de cette assemblée nationale va être de faire la paix avec les prussiens. Mais aussi elle va être

caractérisé notamment par une forte instabilité ministérielle puisque le chef d’Etat va peu à peu s’effacer pour évoluer certes mais dans deux directions opposées. De plus, on va assister à la disparition du fait de droit de dissolution ce qui va priver l’exécutif de ses moyens d’action sur le Parlement. Les députés pourront désormais renverser le gouvernement sans peur d’être renvoyés devant les électeurs. On est alors face à un régime totalement déséquilibré. Une tentative de rationalisation du régime parlementaire

Introduction lundi 20 janvier 2014 13:58   Objectif: acquérir des connaissances sur l'histoire politique de la IIIe république à la Ve république. Analyse des institutions politiques dans un contexte qui prend en compte aussi bien l'évolution des courants politiques que les luttes sociales et idéologiques.   Connaitre le passé permet: De comprendre si certains évènements sont inédits ou non De mieux comprendre les choix politiques et institutionnels sous la Ve république (ex: Crainte d'un pouvoir