Léviathan

souverain. 2°) Théorie classique. * Idéal de démocratie directe (peu réalisable car compliquée) * Maurice Haurioux : théorie de l’Etat-puissance (suffrage universel direct) B) Souveraineté et République. 1°) Hobbes, Léviathan * bellum omnium contra omnes (« guerre de tous contre tous » en latin) = nécessité d’avoir un gouvernement. Peuple cède sa souveraineté à un seul souverain. * Chaque individu doit accepter souveraineté de décisions du souverain.

Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D’hommes! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l’horizon des mers, à de glauques troupeaux! J’ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan! Des écroulements d’eaux au milieu des bonaces Et les lointains vers les gouffres cataractant! Glaciers, soleils d’argent, flots nacreux, cieux de braises! Echouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés des

a beaucoup plus de monde que n’importe quel « pointer et cliquer » ennuyeux sur la guerre de Troie ou l’odyssée d’Ulysse. Ces jeux nous aurons rendu familiers avec beaucoup de figures mythiques marquantes tel Chiva, béhémot, Odin, Gilgamesh ou Léviathan ! Vu dans les jeux tel que final fantasy. Autant de noms qu’on retrouvera amusés dans les mille et une nuits le maha barata ou l’ancien testament, les récits fondateurs de la culture. Plus simplement on peut penser au cyclope aux méduses aux centaures

hideux » (comme L.) - Marquise, image compatissante  « Tu es belle mais que tu es triste ! » C) Images de la vie et de la vérité Métaphore filée de l’océan faite par Lorenzo pr décrire le monde des hô  « débris des naufrages, les ossements et les Léviathans » au fond de l’océan. Autre métaphore révèle horreur de la vérité du monde en utilisant le thème de la mise à nue  « l’humanité souleva sa robe et me montra […] sa monstrueuse nudité » ; « la main qui a soulevé le voile de la vérité […] reste

Florides Mêlant aux fleurs des yeux des panthères à peaux D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux ! J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulement d'eau au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant ! Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés de punaises

choses, ou encore au réel. L'approche expressive est celle de Hobbes, qui affirme ainsi que « l'usage général de la parole est de transformer notre discours mental en discours verbal et l'enchaînement de nos pensées en un enchaînement de mots » (Léviathan, I, 4 1). Cette théorie classique du langage repose sur une théorie des signes et des idées. Or, la théorie classique du signe distingue entre « signes naturels » (la fumée est le signe du feu) et « signes conventionnels » (le mot « chien » est le

l’alcool, les deux plus grands agents de corruption » · Argument 2 : la religion conduit au fanatisme, à la violence et aux conflits · Illustration, Hobbes, Léviathan , P aris, Ed Sirey, 1994, P.145 : « Le royaume de Dieu s’obtient par la violence » · Illustration, Rou hollah Khomeyni, Le nouvel observateur, N°11

humaines. Effectivement, sans ces contraintes de la société, tous les hommes ne serait qu’à la recherche de leur bonheur, de leur plaisir, sans prendre en compte les autres, ce qui ramènerait l’homme à l’état de nature décrit par Hobbes dans son Léviathan. Le déplaisir est donc propre à l’homme et lui est nécessaire au bon déroulement de la vie sociale. Néanmoins le plaisir fait aussi partie de la vie sociale de l’homme, et le lien entre plaisir et déplaisir existe et peut apparaître très étroit

C’est pour sortir de cette guerre perpétuelle où nul ne peut être assuré de préserver sa vie et ses biens que les Hommes passent un contrat qui repose sur l’abandon réciproque de la liberté naturelle à une autorité supérieure. - L’Etat : Le Léviathan : Le droit naturel n’est qu’une illusion, il n’existe pas de morale. La seule chose qui définit ce qui est juste : la loi juridique. Nous avons vu dans cette partie que les lois sont nécessairement justes en effet, il semblerait que la justice

 coll. « Droit fondamental ». Antoine LECA, La genèse du droit, P.U.A.M. Jean-Louis THIREAU, Introduction historique au droit, Flammation, coll. « Champs université ». Michel VILLEY, La formation de la pensée juridique moderne, rééd. P.U.F., coll. « Léviathan ». Jean-Paul ANDRIEUX, Histoire de la jurisprudence, Vuibert. Jean-Pierre ROYER, Histoire de la justice en France, éd. P.U.F., coll. « Droit fondamental ». Jean-Marie CARBASSE, Histoire du droit pénal et de la justice criminelle, éd. P.U.F., coll