Léviathan

d'incroyables Floride Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux ! J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces, Et des lointains vers les gouffres cataractant ! Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés des punaises

de factions, l’autre vivait dans le monde et parmi les savants. Autre temps, autres circonstances, autre philosophie » comme si la philosophie s’adaptait à son milieu historique et social… ». La thèse de Hobbes telle qu’elle est décrite dans le Léviathan est que l’homme n’est pas méchant mais la situation dans laquelle il est mis dans l’état de nature, cette situation de rareté dans laquelle il faut survivre, le rend méchant. Pour survivre, on peut évidemment travailler, sauf que les hommes ont beau

chacun lutte pour sa survie et par conséquent met en danger la vie de tous. Par contrat, il entend que chacun se dessaisit au profit d’un tiers, le souverain (qu’il appellera le Léviathan), de sa liberté naturelle. Le souverain dispose alors d’une autorité absolue qu’il exerce en vue de la sécurité des citoyens. Le Léviathan, par la peur qu’il inspire, doit décourager quiconque de violer les termes du contrat social afin d’assurer le bien commun et de faire en sorte que chacun agisse dans l’intérêt

! ! ! ! ! Jeudi 12 Mars ! ! Commentaire de texte ! Léviathan, chapitre XXX, HOBBES Dans le chapitre XXX du Léviathan, publié en 1651, Hobbes aborde la question des fonctions attribuées au représentant souverain. Dans l’état civil, les citoyens dans le cadre d’un contrat, renoncent à leur droits afin d’assurer leur sécurité et leur bien-être. Chaque citoyen s’accorde à abandonner le droit de se diriger lui-même et à mettre tout son pouvoir dans les mains d’un seul homme. Ils transmettent alors

On considère que MACHIAVEL et HOBBS (« Le Léviathan ») représentent la première vague de modernité. LA BOHÉCIE (« Discours de la servitude volontaire), LOKE, ROUSSEAU. La philosophie politique[1] : On va s’interroger sur la politique. C’est la rencontre entre la pensée politique et un domaine non philosophique. L’expression, la sortie de la religion, veut dire que la croyance religieuse ne structure plus le monde politique, la citée. Avec la modernité, on assiste à un passage de société

deux sortes d'hommes ! ceux qui transféreraient leur droit de nature et ceux qui le conserveraient. Il n'est pas question de la moindre exception. On est dans un type de pacte tout autre que celui de Hobbes. Cet auteur dans son De Cive et dans son Léviathan (première partie, chapitre XVII [1]) plaide pour la tyrannie et veut que tous sauf un ou tous sauf quelques uns aliènent leurs droits. Ici au contraire le sort est identique pour tous, l'égalité est complète. Le transfert de plus se fait au profit

pour assurer la paix civile, l’ordre de sécurité des biens et personnes. Selon Hobbes, l’Etat doit inspirer la terreur, son oeuvre majeure Léviathan le décrit bien. Hobbes a donné ce titre à son oeuvre parce que le sujet d’un Etat doit être terrorisé par la puissance étatique et parce que celle-ci doit tenir en respect la nature indocile de l’homme. Le Léviathan, dans la Bible, est un monstre marin qui terrorise les hommes. L’Etat a, en effet, un pouvoir fort, autoritaire qui capable de dompter

est un loup pour l’homme ». Pour ces philosophes, il est évident que l’homme doit vivre en société pour s’épanouir. Mais pour cela, il faut qu’un Etat soit à la tête de la société et l’organise par le droit (Hobbes développe cette idée dans le Léviathan). Le droit est donc l’instrument indispensable de tout Etat. Sans droit, il n’y a pas d’Etat, et il n’y a donc pas de société. L’Etat dispose du droit pour s’organiser d’abord lui-même (le droit constitutionnel). L’Etat va également utiliser le

car chaque individu a sa notion de liberté, de raison de justice et d’injustice, et grâce à plusieurs courants philosophiques notre société a énormément grandi d’autant plus qu’elle continue son essors. C’est ce que Hobbes montre dans son œuvre Léviathan, ou il fait un portait de ce qu’est un être humain a son état de nature et comment un état politique en serais la solution. Tout d’abord, un état politique serait une bonne solution car à la base un être humain dans son état de nature c’est un être

nom de la sécurité des individus et explication de la double opposition nature/société et homme/citoyen. On peut rappeler ici la thèse de Hobbes l'homme serait capable d'être un loup pour l'homme. Sans le pouvoir absolu d'un maître (l'état Léviathan), selon Hobbes, les hommes s'entre-dévoreraient. En effet, dit-il, dans De Cive (Du citoyen) : « Et certainement il est également vrai, et qu’un homme est un dieu à un autre homme, et qu’un homme est aussi un loup à un autre homme. » Rousseau