Liberté Freud

l’extermination de peuples ciblés a été pensée et actée au nom d’un idéal politique et social), montre le déchaînement le plus absolu des pulsions de destruction tournées contre le monde extérieur, tel que l’inventeur de la métapsychologie, Sigmund Freud, l’avait énoncé, dès 1920, dans « au-delà du principe de plaisir » , et alors même que ce dernier ne connaîtra ni la Seconde Guerre mondiale, ni les camps d’extermination du IIIème Reich. L’histoire et l’actualité apportent ainsi la preuve de la cruauté

qui lui permettaient de réfléchir aux conséquences de ses actes et dévoiler sa nature fondée sur ses pulsions et ses envies. Sigmund Freud, médecin neurologue autrichien et principal théoricien de la psychanalyse[3], proposait lui-même que l’être humain est fondamentalement un être de désirs et non un être rationnel. Allant à l’encontre de la psychologie classique, Freud avançait que l’être humain se définit plus pas l’inconscient que par la conscience. Il écrit d’ailleurs dans l’une des ses ouvrages :

 Fiche de synthèse Philosophe étudié : ….. Texte(s) utilisé(s) :……… 1) Sur quoi le philosophe s’appuie-t-il pour élaborer sa pensée? Fondement de sa pensée C’est grâce à son métier que Freud pourra établir sa théorie. En effet, suite à ses observations, il découvrira que l’homme est habité par des pulsions enfui profondément en lui. 2) Quel est le sujet traité par le philosophe? Sujet Le narrateur explore plusieurs sujet, il se penche

moyens qu’ils emploient  ». D’après Kant, «  Le bonheur étant un idéal à atteindre de l’imagination et non de la raison, il est objet d’espérance car le devoir prime sur le bonheur  ». Le bonheur peut être perçu comme une idéologie sociale. Freud a souligné que la civilisation serait - elle par définition hostile au bonheur ? C’est pourquoi il ne peut donner qu’une vision psychologique du bonheur. « Les hommes veulent être heureux et le rester »., mais cela est irréalisable. « Tout l’ordre

le déplaisir est nécessaire à l’homme social, en opposition à l’homme original. La vie en société, qui est caractéristique de l’ « animal politique » qu’est l’homme, érige des contraintes à ses membres. Ces contraintes nous restreignent dans nos libertés et peuvent donc mener à des situations de frustration, de déplaisir. Le déplaisir est donc inhérent et utile aux sociétés humaines. Effectivement, sans ces contraintes de la société, tous les hommes ne serait qu’à la recherche de leur bonheur, de

Si on prend le mot liberté, au sens premier du terme, c'est faire ce que l'on veut. Or pour décider de ce que l'on veut, il faut savoir ce que l’on veut, donc qu’on y soit conscient. Ces deux notions de liberté et de conscience sont donc liées. Cependant le raisonnement ne s'arrête pas là car d’après Freud, on peut dire que l’inconscient à sa part de responsabilité dans ses choix, malgré le fait de savoir ce que l’on veut, on ne peut pas toujours savoir pourquoi on le veut et c’est ainsi qu’intervient

L’explication de texte – texte de Freud sur l’hypothèse de l’inconscient La conclusion Ce que je fais Je récapitule ce que mon explication ainsi que ma réflexion a fait apparaitre : je résume l’idée générale du texte ; je résume l’intérêt positif du texte ainsi que les limites qu’il présente. Plan suivi conclusion dans cette Exemple Nous avons pu à travers ce texte découvrir certaines des raisons qui poussaient à admettre la validité de l’hypothèse de l’inconscient

quelles sont les conditions de l'accès à cette lucidité ? N'est-il pas nécessaire de lutter contre un certain nombre de puissances trompeuses qui risquent d'aveugler l'homme et de l'empêcher d'accéder à une maîtrise de lui-même qui lui assure sa liberté ? Les limites de la connaissance, dans le domaine particulier de l'action. Est-il possible, en effet, de ne pas saisir, de façon précise et adéquate, dans toute leur ampleur et leurs conséquences, les actions que nous exerçons nous-mêmes sur la

lui-même. C'est ce que Freud appelle « refoulement », une mise à l’écart de pulsions ou de souvenirs honteux ou dérangeants, et dont le siège serait l'inconscient. Par conséquent, s'il n'est pas l'effet d'une intention, c’est-à-dire un acte délibéré, s'il ne résulte pas d'une volonté consciente de tromper, ce qui est le cas de tout mensonge, l'acte par lequel nous refoulons sans le savoir certaines de nos pensées, ne peut être qualifié de « mensonge à soi ». Selon Freud, le psychisme humain

La technique dramatique représente l'existence dans sa plus simple expression. Profondeur psychologique des personnages est développé par techniques nouvelles. Deuil et mélancolie selon Freud Selon Freud, l'image de soi consciente que nous avons se contruit par rapport à l'autre. Chaque individu prend de l'extérieur et l'intériorise comme si ça venait de lui. L'identification à l'autre est essentielle au développement de soi, même si on n'en est que partiellement conscient. Il s'agit du phénomène