Liberté église Gallicane

pouvoir. À la fin du Moyen Age, le Roi, en favorisant le Gallicanisme (Pragmatique Sanction de Bourge de 1438 et Concordat de Bologne de 1515), permet au clergé de France d'échapper en partie à l'autorité du Pape. Le Roi devient le protecteur de cette église nationale, et cette dernière est placée sous son contrôle. Conséquence lointaine de le Réforme luthérienne, le Catholicisme devient religion d'État en 1685 (révocation de l'édit de Nantes). Les autres cultes, notamment le protestantisme et le judaïsme

religion également du XVIème siècle jusqu’en 1790, voir 1791, la France est soumise à un système de religion unique qui est le catholicisme avec exclusions depuis 1985 du culte protestant. Après les guerres de religions 1562 jusqu’en 1598, édit de liberté de culte encadré avec des particularités militaires et une organisation dans les cours de justices pour les affaires protestants. En 1785, Louis XIV abroge cette règle, qui chasse les pasteurs. Elle ne chasse pas les protestants de France, c’est

qui exalte l pouvoir des grands selon les qualités du roi et de la royauté. Le modèle royal est utilisé dans la pratique du pouvoir de ces grands. Il y a un attachement viscéral à cette royauté. Il n’empêche que ces grands veulent disposer d’une liberté d’action. Ils n’hésitent pas à s’opposer militairement au roi s’il menace leurs intérêts et peuvent aussi soutenir la royauté si ça sauvegarde leurs intérêts. La politique du roi = jeux d’alliance avec les grands selon les différents rapports de puissance

optimisme. Dans une lettre enthousiaste du 26 février 1517, Érasme affirme pressentir « les approches d’un âge d’or » : au fer succéderait l’or de la paix, aux ténèbres de l’ignorance la lumière des lettres, des sciences et du droit, à la décadence des églises le renouveau de la piété. L’humanisme est né, c’est-à-dire cette foi en l’homme, cette conviction que l’esprit humain, le savoir, les arts, l’élégance des formes, alliés à la charité chrétienne, donneraient aux hommes une civilisation magnifique,

moment, il y a dans le monde deux Papes en activité. → dépérissement des institutions ecclésiastiques → profitent au particularismes nationaux qui après avoir entretenu le schisme se manifestent même sur le terrai Religieux en cherchant à établir des Eglises Nationales. A cela s'ajoute la victoire des Turcs dans les Balkans. Des victoires musulmanes qui marquent la fin d'une ère, celle des dominations Chrétienne dans le Proche)Orient et de l'universalisme Chrétien, qui fait l'affaire des Monarchies Nationales

touchent au roi , à sa personne ou ses biens. Il y a la possibilité du serment des ordalies sauf que la procédure est enclenchée par le roi. c'est à dire le roi. Le juge demande au défendeur de comparaître : c'est une procédure inquisitoire. §2 : Une église en pleine évolution A.La fixation des règles hiérarchiques Hiérarchie très stricte et organisée. La tête du clergé est le Pape, seul élément d’unité du monde occidental. La papauté a beaucoup de prestige à cette époque. (Grégoire le Grand)

de Troyes à Blois et le confisque peu près, et réunit une assemblée pour juger le litige. Eudes rappelle que le comté de Troyes provient de ses ancêtres. Deux principes. La charge publique est gouvernée par le principe héréditaire, elle annule la liberté d’action du roi. Les obligations vassaliques à l’égard du roi ne se comprennent qu’en rapport avec la situation de paix qui existe entre le roi et le vassal. Par ce biais, Eudes justifie ses actes d’hostilité à l’égard du roi et qu’il rappelle les

augmentée'', porte le nombre à cent quinze -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- X Ces cheveux d'or sont les liens, Madame, Dont fut premier ma liberté surprise, Amour la flamme autour du coeur éprise, Ces yeux le trait qui me transperce l'âme. Forts sont les noeuds, âpre et vive la flamme, Le coup de main à tirer bien apprise, Et toutefois j'aime, j'adore et prise

l’Eglise de France reste soumise au pape, lequel demeure le gardien du dogme. Le roi ne prétend pas intervenir dans le domaine théologique, en revanche, il est le protecteur des libertés de l’Eglise de France, de l’Eglise Gallicane, contre les prétentions centralisatrices des souverains pontifes. Cette politique Gallicane se trouve confortée par les événements. En 1417, l’unité de l’Eglise est restaurée à l’occasion du concile de Constance. Les membres de ce concile de Constance parviennent à se mettre

imposent l’arianisme, il apparaît aux Gallo-Romains persécutés en raison de leur foi comme un libérateur. (Collaboration entre la dynastie mérovingienne et l’Eglise. Très fructueuse : • Pour l’Eglise : qui préserve alors sa structure, ses libertés, sa structure et ses biens pour poursuivre son œuvre spirituelle • Pour les mérovingiens : établissent la concorde dans le royaume et bénéficient d’un soutien politique. 2. L’Eglise mérovingienne Sa structure reste la même que celle de