Libido

méconnaissent le principe de réalité ([pic] principe de plaisir). Elles ignorent le temps qui passe, la logique, la morale et elles n’obéissent qu’au seul principe de plaisir. Ces pulsions sont de 2 ordres : la pulsion de vie (pulsion sexuelle, Eros ou libido) et la pulsion de mort (agressivité, Thanatos). Ce qui caractérise cette vie pulsionnelle est son ambivalence (elle cherche deux choses en même temps) entre l’amour et la haine. Elles relèvent à la fois de l’envie de vivre et de l’envie de tuer

désirs soient maîtrisés s’oppose à l'expansion dee la vie sensible. Vouloir épargner à l’homme les souffrances, c’est le condamner à ne ressentir jamais aucun plaisir. Principe de plaisir et principe de réalité : Pour Freud, la pulsion sexuelle, la libido est la source des désirs qui cherchent à s’affirmer. Mais la réalité impose sa nécessité et ce sont les pulsions du moi, visant à la conservation de ce dernier qui conduise à refuser ou différer certains plaisirs dangereux et à accepter certaines

pulsion, il s'agit d'essayer de penser les implications du fait que nous avons un corps sur notre vie psychique. II.)LES TROIS THEORIES DES PULSIONS Théories dichotomiques : – – – Pulsion du moi ou d'auto-conservation / pulsion sexuelle Libido du moi / libido de l'objet Pulsion de vie (Eros) / Pulsion de mort (Thanatos) Le changement des théories des pulsions va à chaque fois changé la conception des phases de la sexualité infantile. On serait en présence de grandes tendances en provenance du

pulsion de mort, qui tendrait vers la stabilité inorganique, vers la disparition totale des tensions. Il le distingue du principe de plaisir qui serait une transformation du premier, transformation trouvant son origine dans la pulsion de vie, dans la libido. Il ajoute à la caractéristique exclusivement quantitative du principe de nirvana, une caractéristique qualitative avec le principe de plaisir. Si l'on conçoit qu'une charge d'excitation possède à la fois une caractéristique quantitative et qualitative

inconsciemment le désir de faire, il s’attendait toujours qu’on lui infligeât les mêmes traitements. Les envies sadiques liées au désir qu’il éprouvait pour sa mère le poussèrent à s’éloigner d’elle, et à établir avec elle d’assez mauvaises relations. Sa libido s’orienta vers son père, mais comme il avait également très peur de lui, la seule relation véritable qu’il put maintenir était celle qui le liait à son petit frère. Cette relation était évidemment très ambivalente, elle aussi. La manière dont cet

inscrit la schizophrénie dans sa théorie de l’évolution de la libido. Pour Freud, la libido est « la manifestation dynamique dans la vie psychique de la pulsion sexuelle ». Il a forgé cette conception de par son travail sur les névroses où il a remarqué «  qu’à la racine de toute formation de symptômes on peut trouver des impressions traumatiques nées de la vie sexuelle des toutes premières années ». Freud oppose ces pulsions sexuelles (libido), ou pulsions de conservation de l’espèce, aux pulsions du

pensait que la schizophrénie était un trouble du narcissisme. Pour Freud, le narcissisme s’apparente à une perversion dans la mesure où il peut absorber la totalité de la vie sexuelle de l’individu. Il constitue cependant un stade de développement de la libido (énergie sexuelle qui part du corps et qui investit les objets), intermédiaire entre l’auto-érotisme et le choix de l’objet, dont seules les fixations et les formes excessives relèvent de la pathologie. Peut-être ce stade est-il inévitable au cours

(erreurs, lapsus, manies de la vie quotidienne …) peuvent être également des symptômes de la vie psychique inconsciente. 4ème leçon Thèse: Les complexes pathogènes Synthèse: Freud n’était pas seul à y travailler. Plusieurs stades: l’auto-érotisme, la libido, le sadismemasochisme, le complexe d’ Œdipe, le désir pour un autre que ses parents. Les pathologies liées à la sexualité sont les perversions et les dérivés du complexe d’ Œdipe. Analyse: les symptômes morbides sont lié a la vie amoureuse et aux

proviennent les pulsions, il répond principalement au domaine de l’instinctif et de l’inconscient. De plus, le ça, dans l’Interprétation des Rêves notamment, ne connaît aucune règle, ni de temps ni d’espace, ni d’interdit ; il est seulement régit par sa libido, c’est à dire l’énergie psychique souvent liée à la sexualité ou a l’agressivité, dans le but final d’atteindre le plaisir immédiat. Enfin, le surmoi représente l’agent critique, l’intériorisation des interdits et les exigences parentales, sociales

des composantes de la personnalité Comme nous l’avons déjà envisagé, dans l’approche générale de la psychanalyse : ∂ La personnalité selon Freud possède une structure qui évolue avec le temps. • Freud en définit trois composantes, le ça siège de la libido, le moi beaucoup plus conscient qui dirige la personnalitéet enfin le surmoi centre de la moralité qui intègre les normes imposées par la famille et la société. ÷ Apparition de ces composantes Nourrisson et trottineur Vers l’âge de2 ans et jusqu’à