Libre-pensée

que nous pouvons retenir son « mécanique » et « pensée fanatique ». Le mécanisme étant une attitude constituant à concevoir le réel à l'image d'une machine soumise à des lois matérielles. Une conception mécaniste du vivant (de Descartes) pose que le vivant n'est qu'un « animal machine », composé de rouages reliés les uns aux autres sur le même modèle que ceux d'une horloge. L'étymologie du mot fanatisme étant fatum, signifiant le temple, la pensée fanatique est le fait de se renfermer dans le temple

Nos pensées sont elles en notre pouvoir ? S’il est un milieu où l’opinion publique ne remet pas en cause l’existence de liberté, c’est celui de la réflexion. On parle souvent de « liberté de penser », comme si l’esprit était un terrain où nul ne pourrait imposer sa censure. Avec son « Cogito ergo sum », « je pense donc je suis » Descartes affirmait même que la pensée était la condition sine qua non de l’existence et de l’individualité. Pourtant, force est de constater que certaines idées apparaissent

l’idée d’un inconscient. D’ailleurs cet inconscient est guidé par notre appareil psychique. Toute pensée et tout acte ne sont pas pensés par moi mais par cet appareil dit psychique, le ça représente le neuf dixième de cet appareil (libido). L’inconscient est donc inaccessible à la conscience puisque celle-ci a défini comme vérité première « je pense donc je suis » donc toutes mes pensées sont pensées par moi. Freud affirme alors que les données de celles-ci sont insuffisantes pour expliquer certains

qui en ont mart de passer pour des glandu alors ils partent faire un tour , et puis voila penser libre penser De tous les esclavages, l'un des moins évidents, c'est celui de la pensée. C'est aussi pour cela l'un des plus graves puisque, le plus souvent, nous n'en avons pas conscience. C'est pourquoi la philosophie s'est toujours donné pour tâche d'aider l'être humain à maîtriser ses pensées. Mais cette ambition n'est-elle pas bien difficile à réaliser ? Est-il facile de penser librement ?

d'agir selon sa volonté en fonction des moyens dont on dispose sans être entravé par le pouvoir d'autrui ». La liberté désigne la possibilité de pouvoir faire ce que nous voulons, ce qu’il nous plait, sans aucune contrainte extérieure. Pour être libre, il faut pouvoir faire un choix entre plusieurs possibilités. Nous pouvons donc nous demander si l’on peut ôter à l’homme sa liberté. D’une part, certaines contraintes nous empêchent d’être totalement libres. Nous avons l’obligation d’aller

dix-huit premières lignes que nous allons effectuer un commentaire qui sera composé de deux parties, que nous appellerons plutôt « axe ». Dans le premier axe, nous tenterons démontrer le tragique de la condamnation à mort par l’impact que cette « pensée » à sur le narrateur. Nous essaierons également de montrer que cette « conviction », cette « certitude » sont accompagnées d’un sentiment majeur celui de l’inéluctable, et d’une dégradation aussi bien physique que mentale et le besoin de pouvoir

étrangers. « Au moins » : Modalisateur pour atténuer sa demande en faveur de la liberté d’expression. Caractère argumentatif pour réduire la voilure de la censure et augmenter les livres diffusant les idées des Lumières II-Défense de la libre circulation des idées des Lumières. 1-Réduire la censure. 1er aspect de la thèse voltairienne : Voltaire veut plus de souplesse et réduire la censure car trop de censures produit une littérature de plus mauvaise qualité (L2 : « Volailles de basse-cour » :

Avoir conscience de soi, c’est avoir conscience de notre propre existence, et le savoir. Comme le dit Descartes dans ses Méditations métaphysiques, « cogito ergo sum » (je pense, donc je suis) ; le sujet existe, et il sait qu’il existe, il sait aussi qu’il sait qu’il existe et il le pense. Cette célèbre conclusion du philosophe est le résultat d’une profonde réflexion sur les sens au moyen du doute. En imaginant qu’un esprit malin l’abuse sur ses sens, il conclut qu’il existe.

intellectuel de l’Europe vers la fin du 16e siècle, un philosophe nommé René Descartes tenta d’ériger une méthode pour contrer ce manque de clarté intellectuel. Descartes érigea donc un argument nommé «Cogito Ergo Sum» qui veut plus simplement dire : Je pense donc, je suis. Cela représente la conscience que l’humain a de lui-même. Pour commencer, Descartes voulu partir sur des bases nouvelles. Il feignit donc de douter de tout ce qui nous entoure pour bâtir quelque chose de véritable. C’est comme si

référer à une autorité quelconque. Dès lors nous pouvons nous poser certaines questions. L’homme est-il vraiment libre d’agir selon ces propre choix ? Peut-il ce déterminer en dehors de toute pression ? Je vais tenter de répondre à ces questions à l’aide d’exemples et d’arguments concernant mon avis personnel. Tout d’abord, pour moi la première chose qui fait de l’homme un être non libre, c’est la loi et les différentes règles que l’on nous impose dans la société. Elle nous empêche de vivre pleinement