Libéralisation Des échanges

pour supprimer les entraves au libre-échange. I. Les effets positifs du commerce mondial A. Le commerce mondial, source de croissance économique * 1. L’effet du libre-échange La mise en œuvre d’une libéralisation des échanges, inspirée par la théorie de Ricardo sur les avantages comparatifs, est un facteur de croissance des économies. La croissance du commerce mondial, c’est-à-dire des exportations de l’ensemble des pays qui participent aux échanges internationaux, entraîne celle du PIB

commerciales et financières. Il est lié à la libéralisation des échanges et à leur intensification. Comme phénomène d'intégration économique, la globalisation contribue à rendre les pays interdépendants notamment à cause de la libre circulation des biens et des services, des capitaux, des hommes, des idées et de la technologie. La globalisation économique se traduit par un effacement progressif des frontières nationales et par un accroissement : - des échanges de biens et de services, - des mouvements

| Office des changes :Missions et attributions | Mai 2013 Table des matières Introduction 2 Partie préliminaire : la libéralisation des opérations de change 2 A. Les apports et les limites de la réforme du marché des changes. 3 1. les apports du nouveau système des changes 3 2. les limites du marché des changes marocain 4 B. LA NOUVELLE ORGANISATION DU MARCHE DES CHANGES MAROCAIN 5 1. les textes de base réglementant le marché des changes 6 2. Les intervenants sur le

société japonaise. Les marchandises, les personnes et les capitaux : une mondialisation inégale Le plus frappant, dans la globalisation, c’est l’intensification des échanges. Les marchandises, les capitaux et les personnes sont de plus en plus nombreux à circuler de plus en plus vite dans le monde entier. Le niveau de libéralisation de ces trois types de mouvements est inégal : élevé pour les marchandises, que l’on transporte à des tarifs très bas et sans difficultés d’un continent à l’autre, il

domination commerciale des pays du nord. -L'omc pourrait faire en sorte que les populations pauvres ne supportent pas seules et de manière excessive, le poids de l'ajustement, mais qu'elles profitent plutot au maximum des bénéfices de la libéralisation des échanges et des disciplines commerciales. -Mettre des strattégies pour que les populations pauvres des pays en developpement atteignent un niveau de productivité et qu'ils réunissent des moyens nécessaires pour être concurrentiels sur le marché

fois d'évolutions technologiques et d'efforts concertés pour réduire les obstacles aux échanges. 03 3 Problématique Bien que les effets de ces changements soient profonds dans l'ensemble de l'économie, il est particulièrement urgent de comprendre dans quelle mesure cela touche le secteur des services ? 04 4 I- Définition de commerce international : Le commerce international  désigne l’ensemble des échanges internationaux de biens et de services. Le commerce international annuel est mesuré par

Les enjeux de la régulation du commerce mondial I. Les effets positifs de la libéralisation du commerce mondial : a. La libéralisation des échanges, source de croissance économique : 1 . Rappelez la théorie des avantages comparatifs. Théorie des avantages comparatifs a été développée pas David Ricardo. Alors que pour Adam Smith, chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production pour laquelle ses coûts de production sont plus faibles que ceux de ses concurrents (théorie de l’avantage absolu)

E N J E U X É C O N O M I Q U E S I N T E R N AT I O N AU X Septembre 2003 Les accords commerciaux régionaux Au-delà de la rapide croissance du commerce mondial, on observe sur les vingt dernières années un phénomène de régionalisation des échanges en Amérique, en Europe ainsi qu’en Asie de l’Est. Près de 50 % du commerce mondial (soit environ 6 300 milliards de dollars) s’effectue aujourd’hui au sein d’accords commerciaux régionaux (ACR). La multiplication des ACR depuis une décennie (la moitié

des marchés financiers. Jacques Lévy: définition:" c'est l'émergence dans tous les domaines d'un espace de niveau mondial". (prix pétrole est un prix mondial fixé au US). Cette mondialisation est plus large que la 1° concernant exclusivement les échanges. Si notre mondialisation est relativement récente (fin 70° car taux ouvertures de 13). Essor dans les 80° avec dérégulation des flux de capitaux et 90° après chute communisme, néanmoins le phénomène de mondialisation est plus ancien (Emmanuel Bourdel):

globalisation des échanges, force est de constater que tous les continents n’y entrent pas à la même vitesse et surtout que l’Afrique apparaît pour l’heure très à la marge de ce processus, présenté par l’ensemble des institutions internationales comme LA voie du développement. Avec plus de 10 % de la population mondiale, les pays d’Afrique subsaharienne, qui assuraient 3,5 % du commerce mondial en 1980, n’en assurent plus qu’a peine 1,5 % en 1995. Sur la même période, le volume des échanges internationaux