Lien Entre Déficit Public Et Croissance

l’ensemble des dépenses. 2 règles : règle de non compensation c'est-à-dire qu’il n’est pas possible de soustraire certaines dépenses de certaines recettes (car on peut dissimuler des charges) ; principe de non affectation : il ne doit pas avoir de lien entre recettes et dépenses (ex : on ne peut pas dire prélèvements de la TVA pour le financement de la centrale nucléaire). Toutes les recettes sont versées dans une caisse unique où l’origine des fonds est indéterminée. Mais il y a toujours des exceptions

Réduction des dépenses ou hausse des impôts ? Comment épargner la croissance en réduisant dette et déficit Par Gaëlle MackeVoir tous ses articles Publié le 05-10-2012 à 16h40 A+A- DECRYPTAGE La plupart des économistes soutiennent qu'un plan de rigueur épargne davantage la croissance quand il repose sur une baisse des dépenses publiques. Mais une étude du FMI reconnaît que la règle ne vaut pas pour... la France. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault à gauche, les ministres de l'Economie et

potentiel (en termes de croissance potentielle, de recettes fiscales, de développement et d’innovation). L’État Providence et la protection sociale sont donc des exigences économiques et sociales. Un État indispensable à la cohésion sociale La cohésion sociale et le sentiment d’appartenance à une nation passe obligatoirement par une certaine solidarité entre ses membres. L’État Providence joue un rôle de redistribution des richesses de tout premier ordre. Lorsque le lien social entre les individus commence

qui est provisoirement admise et que l’on va tester par expérimentation - Etape de modélisation : un modèle est une représentation très simplifiée de la réalité. Raisonnement logique, mathématiques. On va analyser toutes les interdépendances entre tous les éléments de la réalité économique, on va les mettre en équation. Equation de Fisher : modèle monétaire ( MV = PT Le modèle peut être théorique c'est-à-dire littéraire, non chiffré ; ou économétrique c'est-à-dire chiffré, avec équations comptables

br + Io Y – cY = -br + Co + Io Y (1-c) = -br + Co + Io [Y (1-c) – (Co + Io)]/ -b = r r = 1-c/-b x Y – (Co + Io)/-b <=> Y = ax +b La pente correspond a (1-c)/-b < 0 puisque 1-c toujours positif. C est la proportion marginale à consommer, comprise entre 0 et 1 La pente de la droite IS est donc négative. Section 2 : La fonction LM M = Mo C’est une offre exogène, déterminée par la banque centrale, extérieure à notre analyse. L = L1 + L2 C’est la demande de liquidité (3 types de liquidités : motif

travail (hausse des salaires), d’une hausse des taux d’intérêt (coût de l’argent) ou du prix de l’énergie. ← Le risque dans ce cas est de voir se mettre en place une spirale inflationniste. L’inflation par la demande : déséquilibre entre la quantité de monnaie disponible et la quantité de produits (B&S) disponibles. Si la monnaie disponible augmente, on va acheter + => augmentation de la consommation mais attention l’offre restera la même => sera insuffisante. O(B&S)

Sujet n°6 : Endettement et croissance Analyse du sujet : Sujet de “ mise en relation ” Mots-clés : • “ Endettement ” : → Moyen de répondre à un “ besoin de financement ” (Gurley et Shaw) → On distingue l’endettement : des ménages, des entreprises (privées), de l’Etat Objet : financement de la consommation, de l’investissement (productif, logement), des besoins de trésorerie, du déficit public. A l’échelle de la Nation, l’endettement extérieur vient financer le déficit courant. Une progression de

riches : La France va taxer les plus riches DÉFICIT :  La France va créer une taxe "exceptionnelle": à hauteur de 3%, elle touchera les revenus du travail et du capital dépassant les 500'000 euros. Le gouvernement français va créer une taxe «exceptionnelle» de 3% sur les revenus du travail et du capital dépassant 500’000 euros (573'000 francs) par an, a annoncé le Premier ministre, François Fillon. Cette taxe sera en vigueur jusqu’au retour du déficit public français dans les normes des traités européens

plus les économistes au sein des entreprises, des banques et des administrations, en raison principalement de son lien avec la rentabilité des investissements, le prix des actifs financiers et les taux de change. Cependant, il n'existe pas un, mais une multitude de taux d'intérêt : taux nominaux ou réels, à court ou à long terme, qui diffèrent selon les catégories d'emprunteurs (publics ou privés, grandes entreprises, PME ou ménages), selon le canal utilisé (finance directe ou intermédiée) et selon

constate pour les PD un certain découplage conjoncturel. a) Cycle, croissance à long terme et politique économique : On parle souvent des cycles d’affaires de JUGLAR d’une durée moyenne entre 6-7 ans et 9-10 ans. Les cycles courts ont été mis en avant par KITCHIN, et dure entre 2 et 3 ans. On a connu dans les années 1980 une reprise économique, en particulier dans la seconde moitié des années 1980. REAGAN a accepté un très gros déficit budgétaire, ce qui a permis une reprise économique assez rapide