Lièvre

d’activité possibles, qui sont ceux dans lesquels les autres sont « relativement » moins performants. Par exemple, si un pays est plus efficace à la fois dans la production de blé et dans celle de moutons, il n’a pas intérêt à poursuivre ces deux lièvres à la fois, mais à concentrer ses efforts sur la production où sa supériorité est la plus forte, laissant au concurrent moins performant le soin de se spécialiser dans l’autre. Einstein, même s’il avait été nettement meilleur cuisinier que sa femme

scène des animaux qui ont une double nature, animale et humaine : ils se comportent comme des humains (ils parlent, ils vivent comme les hommes par exemple), mais gardent des caractéristiques animales : le corbeau vole et se perche par exemple, le lièvre court très vite, etc… A mon tour, je vais imaginer une fable qui aura ces caractéristiques. Critères de réussite : mon texte sera une fable si : - il illustre une morale, qui doit figurer dans le texte - il met en scène des animaux à double nature

peinture Bougereau « Oreste poursuivi par les Erynies » ou « les remords d’Oreste » Dans ce tableau, on voit un paysage sombre qui pourrait s’apparentait à une partie aquatique ou terrestre. On perçoit au premier plan une longue branche du lièvre. Je vois une femme à moitié-nu portant une torche allumée. Dans ces cheveux, on peut observer un serpent. On voit la tête d’une deuxième femme, elle tient un serpent dans sa main droite. On ne voit pas son corps. Au milieu, on voit un homme couvert

siècles à venir. La littérature sert à faire passer des messages. Elle transmet des idées par le biais de textes. André Malraux a dit “Il faut reconnaitre à la littérature le pouvoir qu’elle a de déranger, d’inquiéter et d’éveiller”. Dans la fable du lièvre et la tortue, par exemple, Jean de la Fontaine veut faire passer plusieurs messages, tels que ne pas sous-estimer autrui, ne pas se reposer sur ses lauriers, ne pas attendre la dernière minute pour entamer la réalisation d’un projet, etc. Certains

de Lycurgue, “législateur de Sparte” qui élève deux chiens, frères, l’un habitué au confort et à manger, l’autre, habitué à la chasse et donc à courir dans les champs. Lorsque Lycurgue met devant eux une soupe et un lièvre, le premier choisit la soupe, le second court après le lièvre. Bien qu’ils soient frères, ce n’est pas la nature et leurs gènes en commun qui les ont poussé dans leur choix, mais bien l’éducation qui les a façonnés et finalement différenciés. Il en est donc de même avec les hommes

cages face aux hautes températures et ils sont d’ailleurs facilement sujets aux coups de chaleur. Dans son travail de sélection artificielle, l’homme a créé des races aux oreilles encore plus grandes que les oreilles d’origine (comme celles de la race Lièvre), très petites (comme celles des races naines), ou même aberrantes (comme les oreilles pendantes et incapables du moindre mouvement des races Bélier)."

civilisation de l'Universel, discours, en 1977 Ex: Liberté 4: Socialisme et planification, discours, en 1983 Ex: Liberté 5: Le Dialogue des cultures, en 1992 Ex: La Poésie de l'action, en 1980 littérature de jeunesse Ex: La Belle Histoire de Leuk-le-Lièvre, en 1953

vent, la neige, le soleil, le froid, jour plus chaud, 11- Les animaux Champ lexical des animaux : les koulanes, l'âne sauvage, les chameaux, la pie, un poney, des moutons, yaks, chevaux, chiens noirs, la perdrix, l'alouette, des moutons, un lièvre, un faisan, du gibier, antilope, des agneaux, une oie, un canard, des cigognes, de chèvres. (Pages 111 - 112 - 113 - 114 - 115 - 117 - 127.) .

dormant" B) Référence d'une banale réalité - caractère concret du poème qui met en place le poète dans son "lit" en train de rédiger. - expressions familières : "je suis fagoté", "enfler ma bedaine" - comparaisons comiques : poète transformé en "pâté de lièvre" (afin d'éloigner la peur de la mort) + rapprochement à Don Quichotte (fou qui se battait contre les moulins) Conclusion : Nous avons pu voir dans ce poème que Saint-Amant s'éloigne des thèmes baroques pour en faire la parodie. Il appartient donc

catalogue raisonné de l'œuvre peint 1907-1916, Ides et Calendes, 1979 et 2000, 378 pages (ISBN 978-2-8258-0094-2) * 1990 : William Rubin, Picasso et Braque. L'invention du cubisme, Flammarion (ISBN 978-2-08-011401-3) * 1995 : Élisabeth Lièvre-Crosson, Du cubisme au surréalisme, coll. « Les Essentiels » no 20, Milan (ISBN 978-2-84113-272-0) * 1996 : Léo Steinberg, Trois études sur Picasso, coll. Arts et Esthétiques no 9, Éditions Carré (ISBN 978-2-908393-44-6) * 2000 : Ingo F