Ligne de bataille

plus grand nombre d’éléphants jamais aligné (80). Il les disposa en avant des troupes, pour une attaque frontale; les mercenaires celtes, ligures et maures étaient placés en première ligne, les puniques et les macédoines en deuxième ligne et l’infanterie de Carthage, avec les vétérans et les Italiens, en troisième ligne. […] Hannibal comptait sur l’expérience de ses vieux soldats pour l’emporter. Scipion n’avait rassemblé que 25 000 hommes environ, mais avec une importante cavalerie numide

septembre 1939, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne mais ne franchissent pas la frontière Allemande. Sur le front de l'Ouest les deux camps restent passifs : c'est la "drôle de guerre". Les armées Alliées restent derrière la Ligne Maginot. Cette situation n'améliore pas la moral des troupes Françaises qui ne souhaitent pas "mourir pour Dantzig". Cependant les Français et les Britanniques en profitent pour réarmer et moderniser leurs armées. Ils pensent s'appuyer sur les ressources

attendait. C’est au printemps 1915, que les canadiens ont été jugés assez forts pour aller au champ de bataille. Combattre durant la première guerre mondiale n’était certainement pas facile. C’était violent et dur sur le moral. Les soldats canadiens ont participer à plusieurs batailles dont la bataille de Passchendaele la bataille de la Somme, les régiments à la bataille de la Somme ,la bataille de la crête de Vimy et le Newfoundland Regiment à Gallipoli. On peut lire sur le site du gouvernement

de s’organiser en une nouvelle forme politique, la royauté. Clovis est donc roi d’un peuple germanique avec des particularismes Gallo-romain. Il a comme son père avant lui la charge de maître des milices ou praetor militiae de la Belgique Seconde (Ligne 2/3, lettre de Saint Remi). Saint Remi insiste sur le fait qu’il a hérité de cette charge par sa bonne conduite envers Rome. La fidélité à l’ancien ordre romain est un signe qui ne trompe pas sur le choix de l’évêque de Reims qui voit en Clovis, le

américains, les blessés, les morts, les fils, les pères, les maris, les frères, dont on était sans nouvelles » (l.15-18) et leur douleur devant cette « bataille qui faisait rage » (l.20) ; la présence du soldat américain en uniforme (l.34) ; enfin l’évocation du départ du soldat : « son régiment partait pour la Somme. (…) La Somme, c’était cette bataille sans merci où tombaient tous les hommes » (l.93-95), « les bataillons alliés, américains, étaient-ils encore sur Paris ? (…) les derniers contingents

L’opération Epsom est une offensive britannique de la Seconde Guerre mondiale qui se déroule entre le 26 et le 30 juin 1944 au cours de la bataille de Normandie. Le but de cette manœuvre est de déborder et de capturer la ville de Caen, alors occupée par les Allemands : c'est l'un des principaux objectifs alliés lors du débarquement de Normandie et dès le début de la bataille de Normandie. Précédée d'attaques destinées à garantir l'avancée des lignes, l'opération Epsom est lancée aux premières lueurs du

rappelle la résistance victorieuse des soldats français. -analyse de l’œuvre : Description de la bataille de Verdun : La bataille de Verdun a lieu en 1916, Verdun se situe alors sur le front à l'est de la France, les armées françaises et allemandes vont s'y livrer bataille pendant 300 jours. Ce monument évoquent de manière différente ce qu'a été la bataille de Verdun, c'est à dire une bataille Ces pays sont en guerre depuis début août 1914. Deux camps et leurs alliés respectifs s'affrontent

et être sûre que tous les élèves aient le même référentiel, je me suis attardée lors de la première séance sur ces différents aspects. Durant la phase de découverte j’ai donc prévu de développer les mots de vocabulaire tels que quadrillage, case, ligne, colonne, bande, et le codage. La phase de manipulation se fera en collectif à travers deux exercices au TBI. Les élèves travailleront les coordonnées de deux manières différentes : en marquant la case à l’endroit demandé, puis en repérant les lignes

ont pour capitale Toulouse. B) L' affrontement L'affrontement eu lieu pendant la bataille dite de Vouillé. Cette bataille a eu lieu près de Poitiers dans la plaine de Vouillé au printemps 507 opposant les Francs et les Wisigoths c'est à dire les peuples des rois Clovis et Alaric II. Ce qui est dit dans les lignes deux et trois du textes. Au terme de l'affrontement Alaric II et tué par Clovis, ligne quatre du texte : « Alaric avait régné vingt deux ans ». Clovis s'empare donc du royaume des

retour brutal au réel avec l’expression « en enfer » ligne 3 qui marque une rupture avec l’harmonie initiale. Le sarcasme est souligné par la subordonnée « telle qu’il n’y en eut jamais en enfer » qui indique qu’il s’agit d’une antiphrase. Le bel ordre du combat participe aussi de l’ironie. En effet, l’ordre quasiment protocolaire des opérations successives « les canons d’abord » lignes 3-4 « ensuite la mousqueterie » lignes 4-5 « la baïonnette » ligne 6 relève du sarcasme. La rigueur prêtée aux affrontements