Ligue d'extrême droite

une majorité électorale? Putsch militaire, révolution, guerre civile, le xxe siècle a excellé dans ces méthodes. En 1958, de Gaulle tente, lui, le coup d'Etat démocratique, considéré aujourd'hui comme un coup de génie par certains, FN en France ou Ligue lombarde en Italie, qui voudraient bien l'imiter. D'entrée, ce film remarquable redonne tout son sens à cet événement occulté (les lycéens apprennent que de Gaulle sauva la France, victime de l'incurie des gouvernements successifs de la IVe République)

également chez les allemands, qui sont scandalisés par la lourdeur des sanctions qui leur sont imposés «  dictat » de Versailles. L’Italie est aussi mécontente sur le sort de ces terres irrédentes, considère que leur statut de vainqueurs leurs donnent droits à ces territoires, à Versailles ont leur a accordé une partie de ces terres irrédentes, on ne leur a pas accordé la Dalmatie et le Fiume, les italiens ont très mal vécu de ne pas avoir ces territoires. Dans les trois cas un fort ressentiment de

nationale se réduit à un seul siège. Les centristes tels Valéry Giscard d'Estaing assortissent de réserves critiques leur soutien au pouvoir (le « oui, mais » de 1967). Les démocrates-chrétiens tels Jean Lecanuet restent hostiles. La droite extrême et l'extrême droite ne pardonnent pas au général le procès de Vichy ni l'« abandon » de l'Algérie française. Les gaullistes s'irritent du maintien à Matignon de Georges Pompidou, jugé trop conservateur. Quant à ce dernier, une sourde rivalité l'oppose depuis

Jérusalem en novembre 1977. Cette visite permit à Israël et à l’Egypte d’engager les longues négociations qui conduisent aux accords de Camp David. Le désaccord entre les deux peuples provenait essentiellement du fait que Sadate demandait le respect du droit à l’autodétermination des Palestiniens, ce que les Israéliens ne voulaient reconnaître. Après quelques temps, ils laissèrent tomber ce point. A Camp David, en 1978, Sadate et Begin (ministre de l’intérieur israélien) arrivèrent enfin à un accord

nationale se réduit à un seul siège. Les centristes tels Valéry Giscard d'Estaing assortissent de réserves critiques leur soutien au pouvoir (le « oui, mais » de 1967). Les démocrates-chrétiens tels Jean Lecanuet restent hostiles. La droite extrême et l'extrême droite ne pardonnent pas au général le procès de Vichy ni l'« abandon » de l'Algérie française. Les gaullistes s'irritent du maintien à Matignon de Georges Pompidou, jugé trop conservateur. Quant à ce dernier, une sourde rivalité l'oppose depuis

que la majorité de la France accepte la République, ce qui a été long. A/ Démocratie libérale : Le régime a été accepté très difficilement : pendant 10 ans, de 1870 à 1880, le régime a été menacé à la fois par l’extrême gauche et l’extrême droite. La IIIème République fut proclamé en 1870. Dès 1871, on assiste à un soulèvement des socialistes républicains parisiens, qui forme la Commune, très vite réprimée. En 1875, des lois constitutionnelles sont votées et mettent en place les Institutions

Introduction En 1918, suite à l’abdication de l’Empereur Guillaume II, la république de Weimar est proclamée. De nombreuses organisations d’extrêmes droites voient alors le jour, comme celle dirigée par Hitler, appelée Le Parti National Socialiste des Travailleurs Allemands (N.S.D.A.P), plus connu sous l’appellation du parti nazi. Hitler tente un coup d’état en 1923 mais il échoue et est par la suite emprisonné. Il rédige alors Mein Kampf, livre dans lequel il livre ses pensées. Selon lui

accueillis dans certains stades européens où des supporter leur lancent des bananes en poussant des cris. Acteurs de ce racisme : La plupart du racisme vient des « supporteurs » qui ne sont pas des fanatiques affiliés à des partis politique d’extrême droite. Ce qui semble encore plus grave, c’est qu’il y a des cas où ce ne sont pas les gens venant voir le football qui ont des propos racistes, mais parfois les acteurs du football tel que le démontre ces 3 cas : Paolo Di Canio : ce joueur de nationalité

 Laurent Mucchielli (1968 - ) sociologue et historien de formation, est chargé de recherche au CNRS et directeur du Centre de recherche sociologique sur le Droit et les institutions pénales au CNRS (2003) “L’islamophobie: une myopie intellectuelle ?” Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jean-marie_tremblay@uqac.ca Site web pédagogique : http://www.uqac.ca/jmt-sociologue/

certains. - Choc entre néo-urbains et anciens-urbains, pour certains voire turcs de l’est/ turcs de l’ouest selon un éditorialiste (contestable) - Provocation politique par certains groupes. Coup monté par des forces politiques marginales d’extrême droite (BBP) qui cherchent une audience. Denonciation du cosmopolitisme. - Friction sociale liée à la gentrification, installation de personnes à haut niveau de vie, créant des conflits en terme d’habitude de vie. Expulsions locatives par la hausse