Ligues Entre Deux Guerre

industrialisés ? http://aseedsorbonne.files.wordpress.com/2010/10/la-crise-de-1929.odt 3° Quelles mesures "  anti-crise "  ont été prises en France ?Quels résultats ? 4° Qu'appelle-t-on " LIGUES " ? Quelles sont les 2 principales Ligues de cette époque ? Compléter le tableau suivant sur ces 2 principales Ligues | Nom de la Ligue : | Nom de la Ligue : | Tendance politique | | | Principales idées | | | Types d'adhérents/membres |

L’illusoire victoire de la démocratie • En 1918, la France sort victorieuse de la guerre mais sa victoire militaire n’est qu’une illusion : en réalité, la France est ruinée et meurtrie. Les années 1920 – que les Français baptisent les « années folles » - doivent faire oublier les traumatismes de la guerre et elles le font si bien que les Français ne perçoivent même plus les faiblesses du pays. • Durant la période de l’entre-deux-guerres, de nombreux pays européens, incapables de résoudre leurs problèmes dans

L’Europe des années 30 : un continent déstabilisé Dans les années 30, les démocraties européennes sont déstabilisées par la crise économique, venue des États-Unis, et qui fragilise des espaces en reconstruction. De même fin de la guerre apparaît pour beaucoup comme inachevée. Celle que l’on nommait la « der des der » attise déjà de nouvelles rancœurs. Les affrontements politiques se radicalisent et les gouvernements paraissent impuissants face à de nouveaux périls : la montée des extrêmes

développement de l’antiparlementarisme (opposition du parlement et contestation de la république) de la part des ligues qui le pratique. Les ligues d’extrêmes droites sont antirépublicaines, antisémite, xénophobe, pour avoir un état fort et autoritaire, les ligues font peur aux gens et dénoncent les comportements des hommes politiques liés aux scandales. Le 6 février 1934, les ligues essayent de s’en prendre à l’état. La gauche qui interprète cet acte comme un coup d’état va organiser des contre-

un article du Paris-Soir daté du 7 février 1934 : « Ses images resteront gravées dans ma mémoire. Celle de ses policiers massés contre cette cuirasse humaine, tous enragés. Ils ont rompus les barrages, coupé les jarrets des chevaux et forcé les entrées du pont menant à l’Assemblée Nationale. Alors les gardes mobiles ont perdus la tête, ils ont tirés. » Ce passage de l’article de Joseph Kessel traduit de la violence de la manifestation du 6 février et nous permet d’évaluer l’importance de cette

alliances avec d'autres poleis pour survivre. Mais ces accords militaires de défense mutuelle, aussi nommée symmachies, étaient une source de constantes difficultés car chaque cité de la ligue pouvait commencer une guerre et ainsi entrainer toutes les autres avec elle. De plus, la tension entre l'intéret général de tous les membres et l'intéret particulier était permanente. Ainsi se posait toujours le problème de l'hégémonie dans ces associations d'états car l'une des cités de la ligue recevait officiellement

crise par plusieurs mesures au détriment de toute politique sociale, perdant ainsi la confiance populaire. Ce climat d'incertitude ainsi que la multiplication des affaires financières favorise alors la montée des ligues d'extrême droite. Antiparlementaires, racistes et antisémites, ces ligues appellent à manifester le 6 février 1934, le jour même de l'investiture de Daladier. La manifestation connaîtra la plus sévère répression de l'histoire des « mouvements de rue » depuis la « semaine sanglante »

toujours tourmentée par les crises économiques, sociales et la misère du peuple. Face à l’incapacité des gouvernements, une grande partie des Français se tournent vers les ligues d’extrême droite. A la suite de cela, d’importantes manifestations des ligues contre la république dégénèrent en émeutes. Le pays est au bord de la guerre civile. Mais la gauche ne reste pas inactive, ses partisans à leur tour vont manifester. Pendant plusieurs mois ils se battent pour la reconnaissance de leurs idées, pour

C’était une mince victoire en chiffre absolus, mais une large victoire politique et psychologique pour une gauche désunie depuis 1920. La formation du Front populaire en vue des élections législatives de 1936 était largement circonstanciée. Les ligues d’extrême droite manifestèrent le 6 février 1934 contre le régime (ce fut d’une extrême violence : 19 morts en plein Paris).La gauche y vit une réelle menace fasciste. Après les journées de 1934, un large mouvement anti-fasciste s’était

survient que vers la fin 1930-début 1931,ainsi elle n’a pas tout de suite rencontré les effets du crash boursier de Wall Street en 1929. La France connaît alors une crise de la production agricole mais aussi une crise de la production industrielle. Ces deux crises ont une conséquence directe sur l’investissement. Celui-ci se voit alors bloqué et cela entraîne une baisse de l’autofinancement. La France voit son budget déficitaire en 1931,de plus la politique de Tardieu pèse sur l’Etat. Cette crise arrive