Ligues Extreme Droite Entre Deux Guerre

ministérielle. La crise favorise également le développement des idées politique extrême. Deux partis politique profitent des mécontentements, le partis communiste français (à gauche) et les ligues d'extrêmes droites (idées fascistes). Des manifestations de rue dégénèrent souvent, comme la manifestation fasciste à Paris en 1934. II. La période du Front populaire (1936-38). Front populaire, alliance électoral entre plusieurs parties politiques pour gagner les élections législative de 1936. Cette

l’union en convainquant Blum. 27 juillet 1934 : PACTE D’UNIFICATION entre SFIO&PCF (en vue des élections) Les radicaux sont divisés - Daladier est pour (avec les jeunes) - Herriot est contre (avec les plus vieux) > les jeunes gagnent janvier 1936 : programme COMMUN mais MINIMALISTE (car l’union est large) Création du Front Pop Slogan : « Le pain, la paix, la liberté » mars 1936 : réunification syndicale entre CGT et CGTU (qui se haïssaient) pour former une seul CGT (codirigée

finance aucun culte ( aucune religion ). Nationalisme: Doctrine instituant la nation comme valeur suprême. En France à partir de la crise Boulangiste, le nationalisme qui était plutôt de gauche depuis la révolution devient une valeur de droite et même d'ectrême droite et un peu dérivée vers la xénophobie et le racisme. Ligue: Exemple: ligue des patriotes qui a soutenu Boulanger. Organisation qui cherche à faire pression sur le gouvernement par une action directe dans la rue. Anticléricalisme:

------------------------------------------------- La France pendant les années trente : entre crises et avancées sociales. ------------------------------------------------- La France sort d’une guerre longue et qui a provoquée de nombreux dégâts. Les pertes humaines ont été terribles, près de 1.5 millions de morts, et 3millions de blessés sans oublier les dégâts matériaux. La France a donc énormément de mal au niveau financier et social. Mais une grosse crise économique se prépare et chamboule

République de l’entre-deux-guerres, victorieuse et fragilisée L’année 1917 et la révolution russe : une nouvelle donne pour la vie politique et parlementaire en France - Depuis 1914,: les partis de droite et la SFIO (parti socialiste français donc de gauche) confondus s’étaient unis dans un gouvernement d’« Union sacrée » - 1917, paroxysme des difficultés dues à la guerre : souffrances, pénuries, mutineries, grèves, révolution russe.  Ces souffrances de guerre enhardissent l’opposition

éme siècle. Nous verrons dans un ordre chronologique l’interaction entre médias opinion publique et pouvoir pendant les crises démocratiques et les guerres ainsi que les périodes de suspension et d'exception de la liberté en France. Plan : l'affaire Dreyfus, les guerres (entre deux-guerres), période gaullienne 1) interaction entre les médias, l'opinion publique et la guerre (censure,propagande,contre propagande, dissidence, guerre des ondes) 2) la période gaullienne et les médias (télévision, »voix

la 1er guerre mondial En 1914 l'europe domine le monde ,usine et le banquier du monde, 28 juin 1914 à Sarajevo l'archiduc Ferdinand héritier du trône d’Autriche-Hongrie est assassiné par des terroriste serbe,cet événement provoque une guerre général 70 millions de soldats sont immobiliser en Europe mais aussi dans les colonies, l'empire de l'ottoman combat l'empire russe et accuse les arméniens de leurs défaites. le gouvernement de l'ottoman décide de les exterminer. Avril 1915 rafle en

que ces deux concepts ont été la cause du déchaînement des passions les plus contradictoires, et ont animé une grande part de l'Histoire de la France de la fin du XIXe siècle et du début du XXe. Comment ces deux idées propres évoluent-elles parallèlement et quels sont leurs rapports dans la période de 1870 à 1914 ? De 1870 à 1889, la déception succédant à la défaite de Sedan entraîne l'émergence de forts mouvements patriotiques ainsi que l'apparition d'un nationalisme institutionnel : les deux termes

royalisme prôné par Maurras n’est pas une fidélité sentimentale à la personne du Prétendant ou à sa dynastie (l’Action française suivit le courant royaliste majoritaire en faveur des Orléans, sans étudier la question de la légitimité) ou au principe du droit divin (auquel Maurras, agnostique, ne croit pas), contrairement aux royalistes traditionnels. C’est une construction rationnelle et cohérente, davantage un monarchisme qu’un royalisme. Pour lui, une restauration est possible par le biais d’un coup

attroupements, marches ou encore parade. Dans notre étude des manifestations nous nous intéresserons aux protestations politiques, et dans une moindre mesure aux manifestions rituelles Nous étudierons les manifestations dans les rues parisiennes entre la fin du XIXe siècle et tout le long du XXe. Mais pourquoi ces choix ? Premièrement car bien que Paris ne soit pas la France, elle fut la scène des plus importantes manifestations contestataires du pays. De plus la manifestation est un phénomène essentiellement