Limites Du Fordisme

leadership Texte 4 : Henry Ford et le fordisme - connu pour avoir introduit dans les usines le travail à la chaine et en adaptant les principes de rationalisation de Taylor à l’industrie automobile (division et spécialisation pour après mettre à la chaîne, et divis.ion verticale entre la conception, la production et la vente) - un système de contrôle en amont (avant) qui repose sur la loi des débouchés de JBS - Les 3 principes du fordisme : travail à la chaine (division horizontale

L’organisation du travail Avec la révolution industrielle, la division du travail s’est développée (cf. Smith). La notion d’appareil productif ne se limite pas à sa dimension économique et technique (progrès technique, innovations, investissements, profits…), il faut aussi tenir compte de la dimension sociale de l’entreprise. Toute forme d’organisation du travail présente aujourd’hui 4 objectifs : * produire le plus possible * dans les délais les plus courts * avec le moins d’efforts

le cercle vertueux du taylorisme POLYCOPIE 2B Travail sur le fordisme : le prolongement du taylorisme Document 3 Pourquoi peut-on dire que le système fordiste s’inscrit dans la continuité du taylorisme : Le schéma met en évidence la division du travail en tâches simples et répétitives : division horizontale ; et aussi la division du travail entre la conception et l’exécution : division verticale. Quels sont les apports du fordisme par rapport au taylorisme : Théories des contraintes, mise en

|croissance | | | |A. Quels sont les réussites et les échecs du | |tayloro-fordisme ? | |B. De nouvelles formes d’organisation favorables | |à la croissance ? | |

1980 ont-elles conduit à la mise en place d’une nouvelle forme d’organisation du travail ? Ainsi, une nouvelle forme d’organisation du travail a pris place après la crise des années 1970, mais il demeure cependant des restes du taylorisme et du fordisme. La conjoncture économique des années 1980 est à l’origine d’une adaptation de la production et de l’organisation du travail. Le développement, notamment du transport aérien ou de l’informatique permettent aux échanges de dépasser les frontières :

c’est penser à l’envers ». Fin des économies d’échelles, ni de produits standardisés mais gains de productivités en produisant sans stock des produits différentiés. 2. LES DETERMINANTS STRUCTURELS OU L’ENVIRONNEMENT TOYOTISME. Un marché intérieur limité contrairement aux USA avec un vaste marché en extension. La productivité au Japon repose sur la capacité à répondre à des demandes courtes et variées. Celle-ci provoque la prise de pouvoir par les banquiers qui impose un principe d’adaptation de la

Le fordisme et le taylorisme sont-ils dépassés? Le travail peut être étudié sous deux angles, à savoir un angle économique et un angle sociologique. Le travail est en effet un facteur de production. Il est source de richesses, mais il a aussi un coût (le salaire). Par ailleurs, le travail est une activité humaine qui occupe approximativement le tiers d'une journée. Lorsque l'entreprise recherche une combinaison de facteurs de production la plus efficace et la plus économique, elle ne peut pas

du travail Taylorisme Fordisme Toyotisme Flexibilité Précarité Salariat Salaire Chômage Coût du travail Marché du travail 3) Les notions complémentaires Contrat de travail Qualification Marché interne/externe du travail Flexicurité Extension des marchés La notion de flexibilité 2) Schémas a) Les principes du taylorisme VERSION 1 VERSION 2 (Claire et Déborah) [pic] b) Le taylorisme-fordisme et la croissance économique

Fiche 20 I. 1 I.Du taylorisme-fordisme à la « nouvelle organisation du travail » 2 A. La division et l’organisation du travail : de Smith à Ford en passant par Taylor Pour être efficace le travail doit être organisé. Au XVIIIème siècle, Adam Smith, économiste écossais, 1723-1790, a cité l’exemple d’une manufacture d’épingles dans laquelle, à force d’organisation et de spécialisation des ouvriers, la production avait considérablement augmenté. Au début du XXème siècle

accroître la productivité. Il est caractérisé par une division des tâches, une parcellisation du travail et des salaires au rendement. La fordisme, lui, a été créé par le constructeur automobile Ford. En réalité, le fordisme est une continuité du taylorisme. Ford ne fait que le perfectionner avec la mécanisation et la standardisation. En somme, le taylorisme et le fordisme s’inscrivent dans la lignée de l’économiste Smith qui voit dans la division des tâches entre salariés la source essentielle de la productivité