Limites Du Pacte Autobiographique

 Jean-Marie Schaeffer, L’Art de l’âge moderne. L’esthétique et la philosophie de l’art du XVIIIe siècle à nos jours, Gallimard, 1992, p. 101. 1 Autofiction(s) sans cesse, dans la répétition d’un geste rigoureusement identique, la pratique et la limite picturale. Contestation de la représentation, de l’illusion, de l’image, l’œuvre renvoie à son propre processus (mode d’accrochage, lieu d’exposition, constituants techniques). Face à l’absolutisme des positions modernistes, minimalistes et conceptuelles

qu’il est un penseur philosophique et non un philosophe. Pour être penseur philosophique, il faut avoir une doctrine comme Sartre. Ce penseur a souvent aussi des disciples. Montaigne avec ses essais trouve une place importante dans l’œuvre autobiographique. Ce n’est pas le premier auteur a réaliser des autobiographies (le premier est Saint Augustin avec ses Confessions) mais il est considéré comme étant l’un des premiers. Puis ensuite il y a Les Confessions De Rousseau et Les mémoires de Chateaubriand

03-THELEME.QXDAnnie Ernaux: Pouvoir, langue et autobiographie Mar GARCÍA Universitat Autònoma de Barcelona Departament de Filologia Francesa i Romànica mariamar.garcia@uab.es RÉSUMÉ Les premiers récits d’Annie Ernaux —Les armoires vides (1974), Ce qu’ils disent ou rien (1977) et La femme gelée (1981)— sont présidés par l’émergence massive d’un sujet émotionnel en proie à un défi- cit ontologique qui, doublement marginalisé par son sexe et par sa condition sociale modeste, entretient un rapport conflictuel

des personnages et du lieu dans lequel ils évoluent : la Maison Vauquer dans le Père Goriot). II. Transposer le réel L’écrivain procède à une transposition du réel. - Les difficultés d’imiter le réel : dans l’autobiographie, malgré le pacte autobiographique noué avec le lecteur dès les premières pages, il y a une réelle difficulté de retranscrire avec exactitude le passé. Les souvenirs sont transposés. - Introduction d’un point de vue : les descriptions, l’action passent par le prisme du regard

l’autobiographie littéraire et de l’auto-analyse, il s’agit pour elle, dans une œuvre qui, sous de multiples aspects, se présente néanmoins avant tout comme « littéraire », de retracer tout au long de ses récits - qu’ils soient implicitement autobiographiques comme au début de l’entrée en écriture en 1974 (Les Armoires vides), ou explicitement à partir de La Femme gelée (1981) et surtout de La Place (1984) - sa trajectoire sociale, en essayant de faire un travail de sociologue, i.e. en fournissant

deux manières d'être, deux points de vue d'existence qu'il promène dans le dialogisme. Toujours dans le doute et l'idée vit au contact d'autrui. On a l'homme spontané , d'action qui est bête et limité et recherche une cause 1ère dans ce qui n'est qu'une cause 2nde. Ex: justice loi de la nature se limite à cela pour se tranquilliser. (polyphonie) il ne connait pas le doute tandis que pour l'homme de conscience: se venger c'est montrer l'importance d'autrui. Même s'il apparente cela à de la méchanceté

s’appuyant sur une certaine diversité de productions. Il s’adjuge une part de marché de 41,5% qui n’avait pas été atteinte depuis 1986, grâce à des comédies populaires telles que La Vérité si je mens 2 ou Le Placard, mais aussi des films de genres tels Le Pacte des loups ou Yamakasi, sans oublier Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain, film au succès exceptionnel, en France et dans le monde. Le lancement des blockbusters lancés à grand renfort de promotion connaît quelques défaillances. En 2002, en dépit

roman réaliste et prédit la fin de la littérature psychologique. Il revendique une littérature qui laisse voir l'homme tel qu'il est dans la vie de tous les jours : l'écrivain doit être transparent et ne rien masquer. Affirmation d'un projet autobiographique des pages 19 à 26 : Le contenu du livre sera " les épisodes les plus marquants de [sa] vie telle qu''[il] peut la concevoir en dehors de son plan organique.", c'est-à-dire une vie livrée au hasard. Son but est de rendre compte des "pétrifiantes

Frankenstein, récit rapporté/enchâssé, récit rétrospectif dimension autobiographique Problématique : Dans ce passage clé du roman, comment Frankenstein nous livre-t-il un portrait de lui-même en tant que créateur ? Récit de la soif de savoir qui pousse F à la création I. Un moment charnière du récit 1. Le récit enchâsséRécit 1ere personneDimension autobiographique, mémorielle, au récit de FrankensteinNarrateur s’adresse directement

poésie, la beauté alors que le mal représente plutôt la laideur. D’après moi, ce titre est significatif dans le sens ou le poète a pour projet de transformer la laideur en lui trouvant de la beauté. On peut aussi interpréter ce titre de manière autobiographique : le poète souffrant, usant de la poésie pour échapper au mal de vivre. L’auteur avait auparavant pensé au titre Les lesbiennes ou Les Limbes. Le livre est destiné à Théophile Gautier, comme le laisse supposer la préface des Fleurs du mal. Un