Limites Du Taylorisme Et Du Fordisme

créatrice, exemple du fordisme aux NTIC, la fin du paradoxe de Solow aux Etats-Unis) ; les limites du déversement d’emploi ; l’investissement ne dépend pas seulement des profits mais aussi de la demande effective II les effets dur la demande : A le multiplicateur d’investissement : revenu ⇒ conso + S ⇒ production = revenu … ; S = I pas forcément réalisé ⇒ faiblesse de la demande effective ⇒ I public pour relancer l’activité B les conditions de la relance de l’investissement : les limites du multiplicateur

présentation de Smith, restée célèbre à travers l’étude du fonctionnement d’une manufacture d’épingles, préfigure ce que sera beaucoup plus tard l’organisation scientifique du travail (OST) avec ses deux modèles historiques que sont le taylorisme puis le fordisme. Dans les deux cas on retrouve une double logique organisationnelle déjà illustrée par Smith en 1776, celles de la division verticale et de la division horizontale du travail. Pour Smith, l’intérêt de la division du travail va au-delà

moitié du XXème siècle, une forte augmentation du nombre de savants et de leurs inventions se fit remarquer : c’est l’amorcement de la troisième révolution industrielle. De plus, la taylorisation, c’est-à-dire la standardisation de la production, le fordisme, à savoir le travail à la chaîne, et les modes de gestion déjà en place dans les grandes firmes américaines se sont étendus et généralisés. Cela permit d’augmenter encore la productivité, et poussa les entreprises à se concentrer et à accroître leurs

ayant de fortes probabilités de remonter → attirent les spéculateurs * D’où la modernisation des méthodes de production * Années 20 = diffusion du taylorisme + apparition du fordisme dans quelques secteurs * → gains de productivité considérables dans les années 20 (6 % par an) qui comble la pénurie d’actifs * Apparition fordisme dans le secteur de l’automobile, notamment avec Citroën * Dynamisme industriel qui correspond enfin à un renouvellement du patronat français *

décloisonnement des fonctions et des responsabilités; il allie efficacité de production à une certaine reconnaissance psychologique des travailleurs. On leur demande leur avis sur l'entreprise et ils se sentent donc plus importants Le Mac Donald’s et le fordisme Document 1 Cette image nous permet de constater qu’il y a un travail a la chaîne. En effet, la personne qui fait les hamburgers fait toujours les mêmes gestes. Document 2 Au MacDonald, les employés sont tous encadrés par un Swing Manager

performant par un système de prime. * Parcellisation : décomposer les phases successives de ce travail, chercher les gestes les plus efficaces, adapter les outils. * Fordisme Le mérite de FORD a été de mettre en application les idées de TAYLOR et cela dans 2 domaines qui ont contribué à la naissance du " Fordisme " : Le développement du travail à la chaîne : Idée de génie car ce n'est plus l'homme qui fixe la cadence mais le convoyeur, et chacun est contraint de suivre le rythme sous peine

n’est pas familiale mais par actions vendues sur le marché boursier. On va donc avoir une rupture entre travailleurs, actionnaires, entrepreneurs et innovateur alors que dans l’entreprise familiale tout est confondu. Cela va poser la question de la limite de ce processus de rationalisation : peut-on tout évaluer au sein de l’entreprise ? peut-on identifier clairement ce qui fait la plus-value de l’entreprise (VA). On aura donc de nouvelles formes d’entreprises et de nouvelles organisations comme l’OMC

réorganisation des entreprises : Le second bouleversement de la société est marqué par la croissance du nombre des ouvriers qui au milieu des années 60 représentent 38% de la population active des pays industrialisés. Surtout l’extension du Taylorisme et du Fordisme (travail à la chaine) ce qui a créer une forte productivité, ainsi les salaires ont donc augmentés, ce qui a augmenté le pouvoir d’achat. Des Nouvelles technologies : Pendant les années 50 une 3ème révolution industriel apparaît. En effet

maison n°1 d’SES Sujet : Montrer les avantages procurés par la division du travail et ses limites, que ce soit au niveau de l’entreprise, de la nation, ou entre les nations. La division du travail a été un grand pas en avant dans la satisfaction des besoins des Hommes. En effet, la division sociale du travail (spécialisation), et la division technique du travail, (procédés, exemple : taylorisme, fordisme…) ont permis d’améliorer la productivité (rapport entre une production et les moyens mis en

des résultats 5 I.1 De la taylorisation de type fordisme à la néo-taylorisation 6 I.2 Les modes de contrôle 7 I.2.1 Le contrôle des comportements 8 I.2.2 Le contrôle par les résultats 9 I.2.3 Le contrôle clanique, i.e. contrôle par la culture 9 I.3 Le contrôle de gestion comme outil de gestion du risque de comportement 10 I.4 Le contrôle de gestion des résultats comme mode d'organisation standardisée 11 II. Apports et limites de la standardisation aux organisations, notamment