Limites Du Taylorisme Et Du Fordisme

du théoricien français du nom d’Henry Fayol (1841-1925) connu entre autre pour sa théorie de l’administration générale tiré de son ouvrage paru en 1916, administration générale et industrielle ses travaux ont influencer indirectement de Fordisme et le Taylorisme. Henry Fayol observe que les dirigeants d’entreprise ne sont pas suffisamment préparés à exercer leurs fonctions et s’efforce d’en définir le contenu au moyen de 5 verbes : Prévoir : (Planifier) Fixer les Buts, les objectifs, et les

salarié est une forme de servitude. L’ouvrier «libre» travaille parce qu’il n’a pas le choix s’il veut ne pas mourir de faim. L’ouvrier ne vend pas comme l’artisan le produit de son travail. D’un certain point de vue et pour un temps plus ou moins limité, il se vend lui-même. Se vendant, il ne s’appartient plus, puisque les moyens de travail appartiennent au capitaliste. En sorte que l’ouvrier ne s’affirme pas dans le travail, mais se nie, il n’y trouve pas son bien-être, mais son malheur. Il n'y

réunis. Dès lors, l'artisanat florissant de l'époque des pionniers doit céder progressivement la place à des industriels, qui réaliseront les lourds investissements nécessaires à la production de masse. B) Le début de l’ère industrielle : du Taylorisme au Fordisme 1) Taylor : précurseur d’un nouveau mode d’organisation du travail Avec les progrès enregistrés dans l’industrie, les entreprises évoluent progressivement au cours du 19ème siècle d’un mode de production artisanal à un mode de production

manipule la matière. L'homme a perdu tout contact avec sa création. D'après l'étude fait par G. Friedman dans son ouvrage Le Travail en Miettes, les ouvriers se démotivent du travail. Dû au développement et de la mécanisation, les ouvriers sont limités à exécuter des opérations minutieusement étudiées de manières répétés et parcellaires. Cela entraîne une dépossession pour l'ouvrier car il n'a plus de contact avec le matériau, il n'a plus à s'appliquer dans ce qu'il entreprend. Il perd son savoir-faire

l‘Europe, la France doit se reconstruire, au terme de cinq années de guerre avec pour modèle l’économie libérale, dans un monde occidental où les industries créent une véritable dynamique. Ce système industriel repose sur le taylorisme, pour la hausse de la productivité, et sur le fordisme (standardisation des biens de production), modèles états-uniens qui se diffusent à partir de 1945. En conséquence, la main-d’œuvre liée au secteur industriel va continuellement augmenter jusqu’aux années 1970. Les Trente

1.1.2 Les principes taylorisme : l'OST Le contexte de son analyse c'est l’Amérique des années 1900 avec une main d’œuvre abondante composée d'immigrants. Il a donc cherché un modèle dans lequel on pouvait utiliser cette main d’œuvre et faire augmenter la productivité. C'est son principe de science du travail et il a écrit un ouvrage « The principles of Scientific Management ». Il y a plusieurs idées dans son livre : _ « One best way » : parmi les méthodes et techniques utilisées dans chaque partie

Hypothèse de l'OST : l'homme n'aime pas le travail/ motivation salariale. Principes : spécialisation améliore le rendement/ parcellisation/ séparation des tâches de conception et d’exécution/ l'individualisation. Une mise en application : le fordisme : dvt du W à la chaîne/ application sociale (ouvriers Ford sont les mieux payés). Fayol : principes d'administrations d'une Ese. 6 fonctions dans l'Ese : fonction : technique de PO/ commerciale/ financière/ sécurité/ comptable/ administrative

Chapitre 2: source et limite de la croissance économique Les éléments qui aboutissent à la croissance économique et montrer en même temps les obstacles qu'elle peut rencontrer. I) La mobilisation des facteurs de productions A) La fonction de production Les économistes considèrent quelques fois que la production résulte principalement de la combinaison des facteurs de production. On distingue 3 types de facteurs: le capital(=moyens matériels de production), le travail et les facteurs naturels

les pays d’Europe occidentale se reconstruisent et relancent leur économie. Ses méthodes, appelées le Taylorisme et le Fordisme, ont été élaborées l’une par un ingénieur du nom de Frederick Winslow Taylor et l’autre par un chef d’entreprise Henry Ford. Elles consistent globalement au travail à la chaîne, augmentant donc la productivité de l’entreprise et par ailleurs ses profits. En outre, le Fordisme propose une augmentation du salaire et un crédit à ses ouvriers, afin de les encourager à consommer

|* Etat d’esprit et méthode FORD : W à la chaîne en adaptant à l’auto les principes de rationalisation de Taylor (W|* Portée et limites du modèle Fordiste de prod. 3 | | | |parcellisé -> mécanisé) La machine fini par dicter à l’homme son rythme de W et de production. Le mode de |effets complémentaires du Fordisme : | | | |production Fordiste a induit la croissance économique