Linguistique Cognitive

Théorie Usage et Construction (TUC) unifie deux approches fondamentales de la linguistique cognitivo-fonctionnelle : la grammaire de construction et la théorie basée sur l’usage. Elle postule l’émergence progressive des structures langagières via l’utilisation de processus cognitifs généraux. C’est sur la base d’unités concrètes que l’enfant réalise des généralisations lui permettant d’aboutir à des constructions linguistiques plus abstraites. Si les hypothèses émises par ces deux approches commencent

Problématique La linguistique interactionnelle que nous développons étudie les énoncés en tant qu’ils s’inscrivent dans le discours en contexte interactionnel et dans la séquentialité de l’échange conversationnel. Elle tient compte du fait que les locuteurs utilisent la position séquentielle des énoncés — la position de leur énoncé tant par rapport à ce qui précède qu’à ce qui va suivre — pour configurer leurs énoncés, en particulier sous le rapport de l’implicite et de l’explicite et qu’ils disposent

soit le support (papier, écran…). Quatre processus sont généralement définis dans la littérature : (1) la planification, permettant la génération et l’organisation conceptuelle des contenus, (2) la formulation, assurant à la fois la traduction linguistique des contenus planifiés et leur exécution graphique, (3) la révision, pour évaluer et modifier la trace écrite et (4) la supervision, permettant le contrôle et la gestion des traitements réalisés par les 3 autres processus. Ces composantes ont d’abord

traitement des informations linguistiques Trouble expressif, spécifique du langage ! Entre 7 et 8% d’enfants Trouble qui génère essentiellement des difficultés au niveau de la syntaxe La surdité verbale : bonne audition, cependant pas de traitement ou segmentation et donc aucun sens Hypothèses étiologiques Neuropsychologique : anomalie de l’organisation cérébrale (Galaburda, Habib) et hypothèses génétiques Neuropsychologiques et linguistiques : troubles de l’input

modéle est une déscription, qui met l’ accent à la manière dont les caractéristiques du système orthographique d’ une langue ainsi que la capacité perceptive de l’ organisme forment les conditions de développement et d’ autoorganisation des fonctions cognitives d’ apariement et des processus orthographiques qui soutiennent la lecture et l’ écriture. Particulièrement, on va essayer de présenter le cheminement de cet apprentissage, qu’ il s’ agisse d’ un processus d’ apprentissage spontané ou intentionnel

CHAPITRE 1 Linguistique, Psychologie et Psycholinguistique Historique - Méthodes - Objets.I. L’historique.1. Le 18ème siècle. Au 18ème siècle, nous avons une prédominance des idées religieuses. Cette prédominance donne 2 phénomènes : une théorie appelée le fixisme et le fait que l’homme est considéré comme un être à part entière. Un homme a une âme. Le fixisme correspond au fait que toutes les espèces animales et végétales ont été créé telles qu’on peut les voir. Il va se créer la psychologie. Cette

contenu d’un écrit, d’un livre ; 4. parcourir rapidement un livre…lire des doigts, lire des yeux. Définition de la lecture/qu’est-ce que lire ? Selon Gérard Chauveau (courant de la psychologie cognitive culturelle)  G. Chauveau, Comment l’enfant devient lecteur ? Pour une psychologie cognitive et culturelle de la lecture, Retz, 1997  G. Chauveau et E. Rogovas-Chauveau, Les chemins de la lecture, Magnard, 1998  G. Chauveau, La conception interactive de la lecture, dans Mika, guide du maître

qu'un simple jeu linguistique, ou une figure de rhétorique parmi d'autres. Elle est bien davantage que cela : c'est un instrument majeur de pensée. Selon l'auteur, différents éléments viennent confirmer cette affirmation : « - le caractère systématique des correspondances linguistiques ; - l'usage de la métaphore comme guide tout à la fois de raisonnement et du comportement basé sur ce raisonnement ; - la possibilité de comprendre de nouvelles extensions [=des formu-lations linguistiques nouvelles] dans

pensée, cognition, temps, espace, souvenir, universalité, universel, prédisposition Linguistique L’ E S S E N T I E L  Les hommes parlent une multitude de langues qui ne transmettent pas les informations de la même façon. Les langues participeraient à différents aspects de la cognition humaine.  Depuis dix ans, les linguistes ont montré que des langues différentes transmettent des capacités cognitives différentes.  Les représentations spatiales et temporelles par exemple, mais aussi le

"Cognition et usage: prototypes et/ou champs métaphoriques. Le langage figuré en linguistique contrastive", in: Englebert, Annick / Pierrard, Michel / Rosier, Laurence / Raemdonck, Dan van (Hg.) Actes du XXIIe Congrès International de Linguistique et de Philologie Romanes (Bruxelles, 23-29 juillet 1998), Tübingen 2000, VII, 549-558. Prototypes et/ou champs métaphoriques – le langage figuré en linguistique contrastive (DIETMAR OSTHUS, Bonn) 1. Remarques méthodologiques Depuis quelques