Lion belgique

représentation du Lion chez la Fontaine Année Scolaire : 2013-2014 SOMMAIRE  TEXTE 1 : « Le lion abattu par l'homme » TEXTE 2 : « Le lion devenu vieux » TEXTE 3 : « Le lion, le loup et le renard » TEXTE 4 : « Le lion malade et le renard » TEXTE 5 : « Le lion s'en allant à la guerre » TEXTE 6 : « Le lion et le moucheron » TEXTE 7 : « Le lion et le rat » TEXTE 8 : « Le Lion » texte 1 : « Le lion abattu par l'homme »

Question Le corpus est constitué d’une fable de La Fontaine, « Le lion s’en allant à la guerre », ainsi que d’un article tiré des Caractères de La Bruyère, « Du Souverain » etenfin d’un extrait d’Antigone, de Jean Anouilh. À partir de ces trois extraits, les deux premiers datant du XVII° siècle et le dernier du XX°, la question se pose de savoir qu’elleconception du pouvoir y est décrite. Dans les trois exemples, on remarque une description du pouvoir absolu, pouvoir représenté métaphoriquement

La Cour du Lion de Jean de la Fontaine La Cour du Lion est une fable de La Fontaine, poète du XVIIème siècle qui a vécu à la cour de Louis XIV. Elle a été publiée en 1678 et appartient en livre VII fable 7. Cette fable est composée de 2 grandes parties : D’abord nous avons les animaux (singe, ours, lion et renard) des vers 1 à 32 puis nous avons la moralité qui est explicitée des vers 33 à 36 Dans ces parties nous allons retrouver plusieurs actes : - - - - v 1 à 14 on retrouve l’exposition

de La Fontaine, Livre VIII - Fable 9 Le Lion et le Rat Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi. De cette vérité deux Fables feront foi, Tant la chose en preuves abonde. Entre les pattes d'un Lion Un Rat sortit de terre assez à l'étourdie. Le Roi des animaux, en cette occasion, Montra ce qu'il était, et lui donna la vie. Ce bienfait ne fut pas perdu. Quelqu'un aurait-il jamais cru Qu'un Lion d'un Rat eût affaire ? Cependant il advint

roi, l’homme de la cour, qui préfère donner au roi ce qu’il demande, même si sa dignité est « salie ». De plus, les fables « La Génisse, La Chèvre, et la Brebis, en société avec le Lion » et « Le Loup et le Chien » ont une morale qui n’est pas écrite, mais qui se devine une fois le texte lu. Dans le poème « Le Lion et le Moucheron », la morale est simplement écrite à la fin. Enfin, en bas de chaque texte, il est bien indiqué « Jean de La Fontaine, Fables ». De cette manière, on ne peut se tromper

personnification: les animaux sont en fait des êtres humains; De plus, il ya des allégories, car les animaux s'adonnent à des activités humaines: lion-->roi, renard-->courtisan, l'âne-->le peuple et le loup--> l'avocat. En quoi la conduite de la Fable sert-elle la visée satirique du fabuliste? Dans cette fable, il ya différents animaux, à savoir le lion (symbole du roi, il est le roi des animaux donc au dessus de tous), le renard (symbole de la ruse, il est malin et jouera de cette qualité), l'âne

éloge de la ruse contre la force brutale et niaise, c'est une sorte de revanche de la bourgeoisie contre les féodaux qui la méprisaient. La société où Renart accomplit ses exploits est calquée sur la société féodale, avec le roi suzerain, Noble le lion ; les barons avides et brutaux, Grimbert le blaireau, Brun l'ours et Ysengrin le loup (ainsi que son épouse Hersent) ; Renart le bourgeois ; les gens d'Église, pédants et rapaces : Tiercelin le corbeau, Tibert le chat, Bernart l'âne et Musart le chameau ;

pédagogique et léger, le 2nd vise un public plus large et son contenu est plus axé vers la recherche de sagesse, par la critique des vices humains et des dysfonctionnements de la société d'Ancien Régime. C'est notamment le cas de la fable III du livre 8, le Lion, le Loup et le Renard, où le fabuliste raconte comment le Renard, d'abord menacé de mort par son collègue le Loup, parvient à renverser la donne grâce à un habile discours. [...] Le courtisan, est d’abord stigmatisé pour son hypocrisie et sa flatterie

« Fable ou Histoire », il le dépeint sous les traits d'un singe qui tente d'imiter son illustre prédécesseur. Le texte rappelle les fables de La Fontaine, notamment deux d'entre elles : « Le Loup devenu berger » (III, 3) ou « L'Âne vêtu de la peau du Lion » (V, 21). Annonce du plan : il s'agit bien d'un pastiche, qui respecte les règles du genre et comporte tous les ingrédients de la fable traditionnelle : un récit dramatisé (axe 1) et une leçon (axe 2). Mais le texte prend une dimension plus large :

frappés : On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni Loups ni Renards n'épiaient La douce et l'innocente proie. Les Tourterelles se fuyaient : Plus d'amour, partant plus de joie. Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis, Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune ; Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux, Peut-être il obtiendra la guérison commune. L'histoire nous apprend qu'en