Liquide biologique

majorité des cas humains sont survenus à la suite d’une transmission d’une personne à l’autre. L’infection se produit par contact direct avec le sang, les liquides biologiques ou les sécrétions (selles, urines, salive) des sujets infectés. C’est aussi le cas si la peau d’un etre sain entrent en contact avec des objets contaminés par les liquides infectieux d’un malade, comme des vêtements et du linge de lit souillés, ou des aiguilles usagées. Plus d’une centaine d’agents de santé ont été exposés

OBSERVATIONS : Je ne portais pas de gants lors du soin. Certes je me suis frictionné les mains avec de la solution hydro alcoolique mais j’aurai dû porter des gants. Le port de gant protège le soignant du risque de contamination par le sang, les liquides biologiques et les secrétions du patient. J’ai utilisé un pot en plastique pour éliminer les déchets (auto piqueur et coton). J’aurai du éliminer l’autopiqueur dans un containeur (OPCT) pour objet piquant coupant tranchant. DIFFICULTES ET POINTS

concentration dans les secrétions sexuelles et sanguines. Ces voies sont les suivantes : 1. La voie sanguine : Par échange de seringues ou autres instruments pointus ("piquant" le VIH) ou tranchants souillés par du sang ou autre liquide biologique infecté. (Tatouage, drogue, excision, circoncision). Par transfusion de sang infecté. 2. De la mère à l’enfant pendant la grossesse, lors de l’accouchement et au cours de l’allaitement. Ce qui ne transmet pas le VIH/SIDA : Le VIH

Elles permettent de maîtriser le risque de transmission des agents infectieux véhiculés par le sang et les liquides biologiques. Elles s’inscrivent dans la lutte contre les infections nosocomiales et dans la démarche de qualité des soins. Elles sont réglementées par : Circulaire DGS/DH n° 98249 du 20041998 relative à la prévention des agents infectieux véhiculés par le sang ou liquides biologiques lors des soins en établissements de santé Recommandation n°52 dans « 100 recommandations pour prévention

avec un liquide bio logique, après tout contact avec l'environnement proche du patient, et avant de sortir de la chambre. Dans la situation de soins décrite précédemment on peut relever un problème durant la toilette. En effet lors de la toilette intime de Mr.R, l'aide soignante qui la réalisait a oublié de mettre des gants pour effectuer cette toilette et décalotta le patient sans gants. En décalottant le patient elle a donc été en contact accidentellement avec du liquide biologique, et lorsque

ne se fait pas par voie aérienne comme la grippe ou la rougeole. L'OMS explique qu'il se propage "par contact étroit de la peau lésée ou des muqueuses avec le sang, des sécrétions, des liquides biologiques, des organes de sujets infectés ou des surfaces et des matériaux qui ont été contaminés par ce type de liquide. En Afrique, la contamination a été constatée après la manipulation d'animaux infectés (chauves-souris frugivores, chimpanzés, gorilles, singes...) retrouvés morts ou malades dans la forêt

transmission : transmission contact, transmission gouttelette et transmission air). Connaissances : Les DASRI sont des Déchets d’Activités de Soins à Risque Infectieux. On trouve dans ces sacs des objets souillés par du sang ou des liquides biologiques ou présentant un risque infectieux. L’évaluation du risque infectieux est laissée à l’appréciation du professionnel de santé. Les Objets Piquants, Coupants, Tranchants (OPCT) sont placés dans un conteneur à aiguilles qui devra être à proximité

CIRCUIT DES PRELEVEMENTS BIOLOGIQUES DEFINITION D’UN PRELEVEMENT BIOLOGIQUE Action de soutirer un échantillon de substance organique qui peut être liquide, solide, physiologique ou pathologique, provenant de l’organisme humain en vue d’un examen direct au microscope où d’un examen indirect, qui nécessite des manipulations en cultures. Le but des prélèvements est de diagnostiquer une infection mise en évidence par la présence de micro-organismes ou de mesurer les réactions de l’organisme soumis

barrière cutanée. Cela permet de diminuer les risques de transmission croisée lors de contact direct. 2. Risque pour le soignant Le port des gants est avant tout une protection contre le risque infectieux si contact avec : Du sang Autres liquides biologiques Muqueuses Peau lésée du patient Ou Contact direct avec un patient infecté ou porteur de bactéries multi résistantes. Il existe cependant des précautions standard à respecter, qui ont pour but de protéger systématiquement tous les patients

Un hématome, une infection au niveau de la plaie ou une accumulation de lymphe dans la région opérée (lymphocèle). Des drains sont mis en place sur la plaie pour éviter un hématome ou une infection. Ils restent 2 ou 3 jours pour évacuer les liquides biologiques (sang, lymphe, etc.). Les hématomes et les infections de la paroi de l’abdomen guérissent le plus souvent rapidement. Des soins peuvent être réalisés par une infirmière à l’hôpital ou au domicile. Si un lymphocèle persiste, une ponction