Liquide biologique

personnes, prit les hommes au dépourvu car ils avaient oublié "ce fléau des Dieux". Elle arriva d’Asie par les routes de la soie maritimes et terrestres. Le virus se propage vite, car il peut être transmis non seulement par contact avec des liquides organiques (sperme, sang, excréments), mais aussi par la sueur (un phénomène très courant dans les pays chauds: serrer la main d'une personne infectée qui transpire vous met déjà à risque), de même que par le contact avec des surfaces contaminées

attaque directement le foie, provoquant une maladie grave, des lésions hépatiques et dans certains cas la mort. Comment l’attrape-t-on ?  Elle est extrêmement infectieuse et se transmet par les rapports sexuels ou le contact avec du sang ou des liquides organiques infectés (comme le sperme, les sécrétions vaginales et le lait maternel) de personnes atteint. Il se transmet par : • le contact sexuel (vaginal, anal ou buccogénital) avec une personne infectée ; • le partage d'aiguilles, de

l'hépatite B à un moment ou un autre de sa vie. En 2008, le taux d'hépatite B aiguë rapporté était de 0,74 cas par 100 000 habitants vivant au Canada. De quelle façon se transmet l'hépatite B ? Le virus de l'hépatite B est présent dans le sang et les liquides organiques (sperme, sécrétions vaginales et salive) d'une personne infectée. Le virus se transmet le plus souvent par les moyens suivants : rapports sexuels avec une personne infectée; partage d'aiguilles contaminées et d'autres articles associés

patient. Prévenir le médecin sénior responsable de l’unité, l’équipe d’hygiène, la direction de l’hôpital selon la procédure locale. Contacter le SAMU (tel : 15) pour classer le cas en lien avec l’ARS et l’InVS Ne réaliser aucun prélèvement biologique, y compris microbiologique, dans l’attente du classement du cas en possible ou exclu. Regrouper les déchets dans un fût de déchet de soins à risque infectieux Pas d’utilisation des toilettes par le patient Évaluer l’état clinique des accompagnants

gestes de soins différents chez un même patient Lors de contact avec le sang et/ou les liquides biologiques Lors de contact avec la peau lésée du patient Lors de la manipulation de tubes de prélèvements biologiques Lors de la manipulation de linge et matériel souillé Lors de tout soin en cas de lésions sur les mains du soignant Lors des actes entraînant des risques de projections de sang et/ou liquide biologique (ex. : aspiration, endoscopie,...) Sont à éliminer IMMEDIATEMENT et SANS AUTRE MANIPULATION

et sont impliqués dans 48% des accidents. 70 % de ces blessures et des expositions accidentelles au sang ne seraient pas déclarées. II. Définition Un accident d’exposition au sang: AES, se définit comme tout contact avec du sang, ou du liquide biologique contenant du sang, et comportant : soit une effraction cutanée ( piqûre, blessure..),soit la projection sur une muqueuse (bouche, œil), ou sur une peau lésée. En pratique, on redoute 3 types de virus : le virus de l’hépatite B, VHB le virus

fermés temporairement pouvoir être fermés définitivement avant leur enlèvement être de couleur dominante jaune porter la mention « masse brute à ne pas dépasser … kilogrammes » (pour emballages cartons, fûts et jerricans) porter l’étiquette de danger biologique porter la mention « Déchets d’Activités de Soins à Risques Infectieux » (sauf pour les sacs plastiques et les mini-collecteurs) posséder un repère horizontal indiquant la limite de remplissage être obligatoirement placés dans des grands récipients

sans identification et une gélose dans un bac avec la seule identification de staph aureus, récipient en plastique avec contenu liquide inconnu, g rand contenant de l’eau de javel commercial sur comptoir. Produit sans identification sur comptoir Il faut garder le laboratoire propre et éviter de conserver des substances chimiques indésirables, des échantillons biologiques et de l’équipement inutile dans le laboratoire. Il faut identifier le contenu des tous les récipients, bouteilles, béchers, tubes

pour limiter les risques d’AES ? I – Que sont les AES ? « C’est une mise en contact avec du sang ou un liquide biologique contenant du sang sur une effraction cutanée (piqure, coupure) soit une projection sur une muqueuse (œil, bouche) ou une peau lésée. Le risque de transmission d’agents infectieux lors d’AES concerne l’ensemble des germes véhiculés par le sang ou liquides biologiques comme le VIH, le VHB et le VHC.  L’acte qui provoque le plus d’AES est la piqûre sur le soignant avec une aiguille

le porte - porté par le soignant : il protège le patient, le champ opératoire ou le matériel - porté par le patient contagieux : il protège son entourage Par ailleurs, il protège celui qui le porte - contre un risque de projection de liquides biologiques, s’il comporte une couche « dite imperméable », associé à un écran ou des lunettes de protection : précautions standard - en général d’une infection transmissible par voie « gouttelettes» : précautions gouttelettes Testée de l’intérieur