Lire Les Confession De Victor Hugo

pour que réussisse cette entreprise humaine comme tant d’autres, persuadés qu’ils doivent agir « comme si quelque chose dépassait en valeur la vie humaine ». De grands romanciers du e siècle se sont engagés contre l’injustice sociale, comme Victor Hugo qui a créé les personnages emblématiques de Jean Valjean ou de Gavroche ou encore Zola qui raconte la lutte héroïque des mineurs du Nord contre le Capital qui les exploite, dans Germinal, à travers le militant et combatif Étienne Lantier. Pourtant

« laicus ». Le terme désigne toute personne qui n’est ni clerc, ni religieux mais qui est baptisé. Les clercs sont des jeunes rentrés dans une institution religieuse pour être alphabétisés, mais pas forcément pour devenir religieux. Ils apprenaient à lire et à écrire mais n’entraient pas nécessairement dans les ordres. Ils devenaient notaires par exemple. Au XIXe siècle apparaissent les mots « laïque » et « laïcité » qui ne désignent plus une réalité liée à des individus et à l’Eglise catholique, mais

Le romantisme va être naître à travers de quelques artistes qui ont été des élèves de David. Le romantisme est un mouvement intellectuel et artistique européen qui né au milieu du 18eme siècle en réaction au rationalisme des lumières fondé sur le culte de la raison. Cette pensée s’appuie sur des nouvelles idées philosophiques qui insistent sur l’importance de dialogue avec le monde de la sensibilité. Cette pensée va connaitre une accélération avec la révolution qui donne naissance au sentiment d’individualisme

noir" selon Jean Fabre. Le dernier tome des Mémoires a été détaché par Prévost lui-même dès 1753 : le grand public a retenu le nom abrégé de Manon Lescaut. L'Homme de qualité est alors auditeur du récit fait par Des Grieux. Mais il présente cette confession ce qui commande un certain type de lecture. Le drame est celui de Des Grieux, même si le 19è n'a retenu que Manon. Par sa brièveté, sa concentration, le choix des personnages, l'oeuvre s'apparente à la "nouvelle" et rappelle Challe. Elle abonde

Marais. Au Moyen 'Age, des moines assainirent Ie sol, des institutions religieuses s'y installèrent. Au XVlf siècle, la noblesse de robe édiflél des hOtels particuliers prestigieux dans cette zone champêtre. Une histoire de I'architecture civile peut se lire dans les rues. De I'HOtel de Sully (1624) à I'H6te1 de Soubise (1709), Ie baroque fait place au grand art classique. Le prince de Soubise commande en 1705 à Delamair la mise au goût du jour du vieil hOtel de Clisson dont on voit encore Ie porlail médiéval

son oeuvre même », que « l’art est la révolte au sens le plus élevé » [4]. Cela s’oppose à l’idée des décadents de la fin du siècle d’un art pour l’art et donne à Breton l’idée qu’art et vie doivent être liés. Il a en cela d’illustres prédécesseurs, Hugo pour n’en nommer qu’un, qui ont associé poésie et engagement. Ce n’est encore qu’à l’état d’intuition chez Breton, mais il sent que l’art peut être une arme révolutionnaire. Il fonde avec Fraenkel et un autre camarade, Etienne Boltanski, le premier

Dumas, père et fils, lui ont consacré quatre romans, tous marqués de la plus extravagante fantaisie : Joseph Balsamo, Mémoires d’un Médecin, Le Collier de la Reine, La Prise de la Bastille. Ces ouvrages fourmillent d’inexactitudes mais sont plaisants à lire. Parmi les hommages rendus à Cagliostro, il faut citer celui, combien émouvant, de Mozart dans son Opéra « La Flûte Enchantée », créé à Vienne le 30 septembre 1791. Le personnage central Sarastro, le grand prêtre vénéré de ses disciples, c’est Cagliostro

sentiments et caractères de cette culture. La nouvelle est un genre prisé car il préserve la tradition orale de cette communauté. Écrivains maghrébins et juifs-maghrébins se retrouvent autour d’une même volonté : s’exprimer en français. Les deux confessions religieuses utilisent le même genre littéraire car ils ont une même culture de l’oralité. Dans les années 30, avec la naissance du Néo-Destour, les écrivains tunisiens décident d’utiliser la langue de leur colonisateur afin d’exprimer leurs souffrances

général de l'unîvers dont les livres déroulent devant nous la fresque mouvante et variée. Tous, presque, y ont posé quelques touches. Même les plus sédentaires ont quitté une fois leur table de travail pour le bâton de route. Hugo est allé voir « « couler le Rhin entre allé les forêts et les burgs, et Taine est voir le Tibre rouler, parmi les « « ruines de la Ville Eternelle, son onde illustre et limoneuse. )> que ce soit un apport direct

de l'hôtel de Massiac, s'est constitué à l'initiative de planteurs de Saint-Domingue, et s'emploie à préserver les intérêts des colons en obtenant le soutien de personnalités comme Barnave et l'abbé Maury. Son représentant le plus actif est Pierre Victor Malouet, ancien gouverneur de Guyane sous le règne de Louis XV avant de s'installer à Saint-Domingue comme planteur ; député du tiers état de Riom, il s'oppose en août 1789 à la Déclaration des droits de l'homme. Leurs intérêts sont soutenus par le