Lisier

Bretagne. Ce phénomène écologique est le résultat d’élevages intensifs de porc qui ont été longtemps encouragés par l’Etat. Les animaux issus de ces élevages produisent un lisier particulièrement chargé en azote. Ce lisier est répandu dans les champs car les éleveurs possèdent de trop petite fosse pour stocker le purin. Ce lisier s’infiltre dans le sol par le phénomène du ruissèlement, puis rejoint le sous sol où se situe la nappe phréatique, il peut aussi être porté par de fortes précipitations au

et seulement 3% des cours d’eau français proviennent de sources naturelles d’eau potable. Il n’y a pas que les pesticides. Les eaux sont aussi polluées par des nitrates (3) qui proviennent pour la plupart des déjections animales (par exemple: le lisier de porc). Par ailleurs, près d’ 1/3 des eaux de surface seraient touchées par une invasion végétale comme par exemple la prolifération de certaines algues dans les eaux polluées. Il y a également des phosphates (4) contenus notamment dans les produits

4.3. Effluents gazeux 4.4. Autre(s) 5. Solutions envisageables pour limiter les impacts 5.1 Solutions globales pour les effluents solides 5.2 Solutions globales et particulières pour les effluents liquides 5.2.1 Biométhanisation du lisier 5.2.2 Epuration biologique 5.2.3 Porcs transgéniques 5.3 Solutions globales et particulières pour les effluents gazeux 5.3.1 Litière bio-maitrisée 5.3.2 Système laveur d’air 6. Conclusion 1. Introduction L’exploitation d’une porcherie

et donc à une forte production de méthane. Au contraire, si le fumier est raclé quotidiennement les conditions seront favorables à des phases successives d’aérobiose et d’anaérobiose et ce sera le protoxyde d’azote qui sera libéré. Le stockage du lisier (qui vient du système en caillebotis), libère exclusivement du méthane. Les solutions proposées sont donc de travailler avec des litières paille que l’on racle quotidiennement : c’est le système le moins libérateur de gaz à effet de serre mais il

provoquer des cancers. Les prédateurs aussi bien que l'homme sont les plus exposés à leurs effets neuro-toxiques. Autressources de pollution : les élevages, par exemple de porcs, qui produisent d'importantes quantités de lisier riche en polluants. Stocké à l'air libre, le lisier "fuit" dans les sols et contamine l'eau. En France, la présence de nitrates dans les eaux continentales provient à 66% de l'agriculture suites à ces épandage de doses massives d'engrais azotés. Le reste est issu des rejets

Depuis 1945, de nombreux bâtiments ont été construit, L’exploitation est passée de 25 à presque 90 hectares en environ 50 ans. 2010 2001 1981 1972 1962 Légende: La ferme de champ-blanc et ses évolutions depuis 1945 1er tracteur Fosse a lisier Élevage hors-sol Irrigation 25 8 55 68 88 PAC GAEC Superficie Petite exploitation traditionnelle Modernisation de la ferme Naissance de l’irrigation dans la ferme Mise en GAEC et construction de nouveaux bâtiments Travail en

les nitrates. D’après www.cnrs.fr/cw/dossiers/doseau/decouv/degradation/07_pollution.htm En France, la présence de nitrates dans les eaux continentales provient à 66 % de l’agriculture, suite à l’épandage de doses massives d’engrais azotés et de lisier (effluents d’élevage), les zones les plus atteintes étant les plaines alluviales qui récoltent les eaux des grands bassins versants et sont des lieux privilégiés d’agriculture intensive. Le reste est issu des rejets des collectivités locales (22 %)

• Lisier de porcs 65 kWh/t • Fumier de volailles 140 kWh/t • Déchets domestiques 285 kWh/t • Ensilage de maïs 450 kWh/t • Gras 540 kWh/t Les avantages de la biométhanisation Le système permet aussi de réduire la charge organique des boues et la presque totalité des agents pathogènes. Par conséquent, cela réduit grandement les mauvaises odeurs, ce qui améliore la qualité de vie du fermier et de ses voisins. Le procédé permet lors du traitement la décantation des solides dans le lisier et

d'assainissement autonomes (fosse septique ou mini-station d'épuration, qui restent encouragés dans les zones éloignées des réseaux d'égout) Le « retour à la terre » des excréments humains et animaux (d'élevage cf. fientes de poulets de batterie, lisiers émis par milliers de tonnes par les porcheries, fumiers bovins et équiens, etc.) par épandage de la matière organique ainsi récupérée (sous forme de boue d'épurationpelletable, liquide ou compostée) est parfois problématique en raison de risques liés

élevages intensif la situation est critiques. Dans une fermes par exemple si’il ya beacoup d’animaux et ont besoin d’evacuer leurs excrément ce qu’on appelle le lisier . Le lisier est utilisés comme angrés naturel on va l’etendre sur les terres agricoles car dans le lisier il y’a tout ce que les plantes a besoin pour vivre . Qaund le lisier est repandue dans les champs et donc il y’a une forte accumulation d’azotes donc ensuite les microbes situés dans les nitrates sont donc inflitres dans la nappes