Liste des ducs de Bourgogne

France, Bourgogne, Germanie (888-XIIe siècle)", Bührer-Thierry, Deswarte - analyse de l’introduction, de la première partie et du chapitre I de la partie II Introduction (Geneviève Bührer-Thierry, Thomas Deswarte) La question porte sur l’évolution des royaumes issus de l’empire carolingien, qui disparaît à la mort de Charles le Gros en 888. L’Italie est exclue de la question. La Germanie est en expansion vers l’Est, l’empire est rétabli en 962 par Otton Ier. Le royaume de Bourgogne est

publicitaire, offert avec l’achat de pneumatiques (Michelin). La France ne comptait alors que 2 400 conducteurs automobiles, à qui le guide fournissait des informations précieuses : une liste des rares garagistes (où l’on pouvait changer ses pneus), une liste de médecins, les plans de quelques villes et une liste des curiosités à voir en France. À partir de 1920, le guide n'est plus donné, mais vendu (7 francs). Des informations sur les restaurants, des grands axes routiers, sont fournies par les

linguistiques * 2 Charles comme nom de personne ou prénom o 2.1 Saints et Bienheureux Charles et prénoms associés o 2.2 Pape o 2.3 Empereur d'Occident o 2.4 Rois de France o 2.5 France, Bourgogne, Navarre o 2.6 Lorraine et Bar o 2.7 Autriche o 2.8 Empereurs du Saint-Empire o 2.9 Palatinat et Bavière o 2.10 Wurtemberg o 2.11 Bade o 2.12 Rois d'Angleterre ou du Royaume-Uni

d'être les vassaux des ducs, devinrent vite un problème supplémentaire pour la monarchie qui créa les vicomtes (vices-comtes, le pape créant les vicaires). La noblesse est donc à l'origine liée à une fonction, et il n'existe pas de hiérarchie généralement admise. Avec la fin de la féodalité se distinguaient la famille royale (roi, reine, enfants et petits-enfants de France) et les princes du sang. Peu importe le titre que ces derniers portaient : certains étaient comtes ou ducs, mais ils étaient surtout

avait eu des rois mais pas de dynastie. Quand HC est élu rex francorum, son élection n’est pas un élément majeur car il y a déjà eu des Robertiens sur le trône. On doit considérer que son accession au trône n’est pas l’aboutissement du pouvoir des ducs de France. Son père était plus puissant que lui (les Robertiens ont perdu de leur puissance). Forces centrifuges qui ont diminué le pouvoir de HC : Foulques, le Blésois. Ces seigneurs prennent appui sur leurs vassaux et sur les abbayes (Foulques)

plusieurs personnages se font reconnaitre comme roi dans plusieurs parties de l’empire. L’empire est en train d’éclater au profit de rois nouveaux. En francie occidentale, c’est le roi Eudes qui est élu, Rodolphe était le roi de Bourgogne Transjurane, partie du bourgogne situé à l’est de la Sonne, puis le roi Bérenger en Italie. 890 : Louis fils de Boson devient roi de Provence. Boson était le premier personnage à avoir cherché à se faire élire roi et a réussi en 779. 12aine de rois locaux qui se

le duché en 1048, et fonde la nouvelle capitale : Nancy. C'est à cette époque qu'apparaît le nom de Lorraine en langue française. Dès le Moyen Âge, le territoire se morcelle en de multiples principautés qui échappent plus ou moins à l'autorité des ducs. Le comté puis duché de Bar en est détaché, ainsi que des territoires importants dévolus auxévêques de Metz, Toul et Verdun, lesquels se constituent des temporels épiscopaux, où chacun d'eux exerce le pouvoir temporel, avec le rang de comte et de prince

et Eudes devient roi de France. Ancêtre des Capétiens, il porte la couronne 108 ans avant Hugues Capet. Ceci est l'aboutissement de la prise du pouvoir par la Noblesse. La monarchie héréditaire franque est devenue élective. Le roi qui nommait les ducs et comtes (fonctionnaires du royaume) est maintenant choisi par eux et parmi eux. Eudes continue l'œuvre de son pèreRobert le Fort, et bat les Normands à Montfaucon. La seconde vague d'invasion normande qui commença en 879 paraît s'achever en 892.

sous l'Ancien Régime [modifier] Parler d'Orléanisme sous l'Ancien Régime est anachronique dans le sens où la notion n'apparaît qu'en 1830. Cependant, pour certains historiens, l'orléanisme puise ses fondements dans les rapports qu'ont entretenus les ducs d'Orléans, premiers princes du Sang, et la haute aristocratie confrontée aux affaires du royaume depuis la Régence. Depuis la mort de Louis XIV en 1715, suivie de la Régence confiée à Philippe, duc d’Orléans, une coterie s’était organisée autour de

Bourbon. En premier lieu viennent les Enfants de France, c’est-à-dire les enfants et petits-enfants du souverain. Les fils de France sont les fils et petits-fils, dont l’aîné porte le titre de Dauphin. Le premier fils du Dauphin est titré duc de Bourgogne, première pairie laïque du royaume. Le frère du roi porte le nom de Monsieur. Sous Louis XIV, Philippe, titré d’abord duc d’Anjou, prit en 1660 à la mort de son oncle Gaston, frère de Louis XIII, le titre de duc d’Orléans et fonda la Maison d’Orléans