Liste des gouverneurs du Languedoc

tentent des coups de force. Des églises sont occupées. La répression reprend de plus belle en septembre14. Le prince de Condé est arrêté sur l'ordre personnel du roi15. Certains évêques et présidents de parlement appellent l'armée royale à l'aide. En Languedoc, le comte de Villars met en fuite les ministres protestants et rend les églises au culte catholique3.A9ronnet286-15"16. Catherine de Médicis. Michel de L'Hospital. À la mort de François II en décembre 1560, Catherine de Médicis ouvre la Régence

à Narbonne et à Agen ; en 1651, sans doute à Vienne et à Carcassonne ; en 1652, à Grenoble et à Lyon. En 1653, elle quitte Lyon, pour aller jouer au château de la Grange des Prés, à Pézenas, résidence d'Armand de Bourbon, prince de Conti, gouverneur du Languedoc; puis à Montpellier, d'où en 1654 elle va à Lyon, et où elle revient à la fin de l'année pour les États. De Montpellier, en 1655, elle va à Lyon : c'est là que Molière fait jouer l'Étourdi. Il faisait aussi des farces, dont on a quelques titres : Le

après leur échec à Paris. Bénéficiant de protecteurs puissants (le duc d'Épernon, gouverneur de Guyenne, le comte d’Aubijoux, lieutenant général du roi en Languedoc qui introduit la troupe aux États du Languedoc, puis le prince de Conti, frère du grand Condé et neveu de Mazarin), les comédiens peuvent donner de brillantes représentations en privé chez ces grands seigneurs et en public pendant les fêtes des États du Languedoc (trois fois à Pézenas, quatre à Montpellier, deux à Carcassonne, une à Béziers)

élite que le roi nomme à des postes clés. Lorsqu’une tâche paraît essentielle au pouvoir royal, il la réserve à un commissaire. Parmi ces commissaires, il convient d’évoquer les gouverneurs mais aussi, et surtout, les intendants. I- Les gouverneurs Apparus au XIIIème siècle à des fins essentiellement militaires, les gouverneurs vont rapidement devenir les chefs de l’administration régionale. A l’origine, ce sont des militaires qui commandent les troupes opérant dans une province ou la garnison d’une

Alphonse François au lieu de Donatien Aldonse Louis. Le marquis utilise dans la plupart de ses actes officiels les prénoms qui lui étaient destinés, entretenant une confusion qui a des conséquences fâcheuses lors de sa demande de radiation sur la liste des émigrés. Le père de Sade est , par droit d’aînesse, le chef de la famille. Il a deux frères, Jean-Louis-Balthazar, commandeur de l’ordre de Malte, puis bailli et grand prieur de Toulouse, et Jacques-François, abbé commendataire d’Ébreuil. Quatre

s’occupent de la grande partie de l’administration, lorsqu’il y a un poste clé on l’attribut à un commissaire, ce sont les secrétaires d’état, les contrôleurs généraux (ministres des finances), garde des sceaux, ambassadeurs, les chefs des armées, les gouverneurs et tout ce qui est premier président de parlement et enfin les intendants. C- L’ébauche du fonctionnariat En droit le fonctionnaire n’existe pas mais on peut déjà dégager des stigmates du fonctionnariat notamment à titre d’administrateurs

Chapitre 2 : Les institutions de l’UE Conformément à l’article 13 du traité de l’UE qui énonce une liste des institutions ont trouve : - le Parlement européen - le conseil européen - la commission - le Conseil - la CJUE - La BCE - La Cour des comptes Ces institutions sont assistées par des organes principalement : - Le comité économique et social - Le comité des régions Section 1 : La commission européenne Les articles sont les 17 du TUE et

de plusieurs diocèses sous l’autorité d’un archevêque métropolitain. Le terme de province se trouvera aussi dans le cadre des États provinciaux, qui sont des réunions périodiques des trois ordres dans certaines provinces : Bretagne, bourgogne et Languedoc. Il ne faut pas oublier que sous l’ancien régime, les territoires sont toujours organisés autour d’un centre autour duquel s’organise le pouvoir. Ce pouvoir n’a aucune difficulté à se faire obéir à proximité de l’endroit où il réside. En revanche

développement des sports d'hiver, le tourisme a généré de nombreuses infrastructures et suscité de grands programmes d'aménagement, tant sur le littoral qu'à la montagne, au cours des décennies 1960 à 1980 : plan Neige de 1964, mission Racine pour le Languedoc-Roussillon, mission interministérielle d'aménagement de la Côte Aquitaine (MIACA), etc. De tels aménagements, objets de grands plans nationaux, ont considérablement modifié l'économie de ces territoires grâce aux infrastructures et aux équipements

et en dehors de l’allemand, non seulement le latin mais aussi l’italien et le slave, « pour ce qu’elles sont les langues les plus usuelles et nécessaires dans l’Empire ». Sur le moment, la Bulle réglait implicitement la question dynastique. La liste des sept princes retenus signifiait en effet clairement que les deux dynasties qui disputaient le trône aux Luxembourg (au pouvoir avec Charles IV), les Wittelsbach de Bavière d’un côté et les Habsbourg d’Autriche de l’autre, étaient exclues du jeu