Liste des souverains d'Urbino

Commentaire : Un portrait de Federico III da Montefeltro, duc d'Urbino Le peintre Pedro Berruguete réalisa vers 1476 un portrait de Federico III de Montefeltro, duc d'Urbino et de son fils Guidobaldo à l'huile sur un panneau de bois aux dimensions de 134 X 77 cm. Cette oeuvre est conservée à la Galleria nazionale della Marche dans le Palais ducal d'Urbino. Pedro Berruguete est le premier peintre castillan dont le séjour en Italie ait été attesté, séjour ayant duré une dizaine d'années

du Pape, et ami de Raphaël. Baldassare Castiglione vivra la guerre d'Italie, qui fut envahie par la France. Le tableau par lui-même Ce portrait a probablement été peint à Rome pendant l'hiver 1514-1515, lors de l'ambassade, dont le duc d'Urbino avait chargé Castiglione auprès du Pape. Le personnage est représenté assis dans un fauteuil, vu en buste. Son regard est orienté vers les spectateurs et ses mains sont jointes au premier plan. Il porte un béret. Ces détails sont un hommage à La

Composition Sur Raphaël un Homme de la renaissance Biographie de Raphaël : affaello Santi ou Sanzio, dit Raphaël, peintre italien de la Haute Renaissance, est le fils du peintre Giovanni Santi, peintre et poète officiel de la cour du duc d'Urbino, Frédéric III de Montefeltro, l'un des princes les plus célèbres et protecteur des arts de la Renaissance en Italie et de Màgia di Battista Ciarla. Il naît en 1483 à Urbino qui est alors un foyer artistique réputé à l’aube du xvie siècle1 D'après

production artistique Formation et carrière artistiques Aux XIV et XV siècles En 1323, Jean de Jandun maitre ès arts de l’université de Paris consacre dans une louange dédiée à Paris, un long passage à l’éloge de l’habileté de ses artisans et fait la liste des métiers de la ville. Les peintres sont cités à côté des boulangers, des enlumineurs, des scribes et des relieurs sans aucune considération d’ordre artistique. Ce sont de bons et d’habiles artisans comme les autres. L’organisation des métiers

quelques-unes de ses « Lettres »[12]. Sa sœur aînée, Marguerite, mariée au roi de Navarre, est également une fervente admiratrice des lettres et protège de nombreux écrivains comme Rabelais et Bonaventure Des Périers. Elle figure aussi dans la liste des lettrés de la cour, étant l’auteur de nombreux poèmes et essais tels La Navire, et Les Prisons. Elle publie également un volumineux recueil intitulé Les Marguerites de La Marguerite des princesses qui reprend l’ensemble de ses écrits. Mais son

insister plus ou moins sur tel ou tel aspect des thèmes proposés. NB : Les mots clefs apparaissent en caractères italiques dans les commentaires des programmes. Le choix a été fait de les présenter de façon contextualisée, plutôt que d’en fournir une liste. Les thèmes suivants sont étudiés : 1 - Un exemple de citoyenneté dans l’Antiquité : le citoyen à Athènes au Ve siècle avant J.-C. – un exemple de citoyenneté dans l’Antiquité : le citoyen à Athènes au Ve siècle avant J.-C. ; – une approche de la

libres, moins épiés, les Grenadins n’en étaient que plus durs à l’égard du sultan, même quand ils se trouvaient sous son toit, même quand ils étaient venus lui souhaiter longue vie, santé et victoires. Notre peuple est impitoyable pour les souverains qui ne le sont pas. « En cette journée d’automne, les feuilles jaunies étaient plus fidèlement attachées à leur arbre que les notables de Grenade à leur monarque. La ville était divisée, comme elle l’était depuis des années, entre le parti

engager. Car, pense-t-il, c’est le seul moyen d’accéder au bonheur véritable, au bien commun, à la justice et à la morale. Et pour y arriver, il faut, d’après Thomas Hobbes, un souverain, la seule personne avec qui la justice et la morale débutent dans la société[1]. Selon Nicolas Machiavel (1469 -1527), ce souverain doit être un hypocrite démagogue incarnant en lui l’homme et la bête. Le prince, comme le nomme Machiavel, doit user des lois et de la force pour guider mais également pour conserver

un rôle en Afrique, Martin de Vargas, le dernier gouverneur du Pégnon, ne nous est connu que par sa défense héroïque de cette place et par la mort cruelle qu’il subit à Alger pour avoir constamment refusé d’embrasser l’islamisme. Il ouvre la longue liste des martyrs chrétiens qui devaient souffrir ici pour leur foi sous là domination turque. MM. Sander Rang et Denis disent, dans leurs notes de la Fondation de la Régence d’Alger, qu’il était gouverneur du Pégnon depuis l’origine de cette forteresse

engager. Car, pense-t-il, c’est le seul moyen d’accéder au bonheur véritable, au bien commun, à la justice et à la morale. Et pour y arriver, il faut, d’après Thomas Hobbes, un souverain, la seule personne avec qui la justice et la morale débutent dans la société[4]. Selon Nicolas Machiavel (1469 -1527), ce souverain doit être un hypocrite démagogue incarnant en lui l’homme et la bête. Le prince, comme le nomme Machiavel, doit user des lois et de la force pour guider mais également pour conserver