Liturgie

Omniprésent dans tout le roman. Il est décrit comme un spectacle quand il se mêle à la blancheur de la neige. La contemplation pendant 2 heures du sang de l´oie souligne une fascination pour le sang. Neige –sang (rouge-blanc) = vin-hostie dans la liturgie. - L´initiation. L´initiation de Langlois débute par sa rencontre et la mort de M.V à partir desquelles il va prendre conscience des réalités qui se cachent sous les choses. La contemplation du sang des oies fait allusion à la quête du Graal.

post-carolingienne 1. Prédication et liturgie plus efficaces Les Carolingiens ont fait de la transformation de la liturgie un des aspects essentiels de leur “programme” (liturgie : culte public et officiel = organisation du temps public catholique, temps de la messe, rythmée et temps annuel avec comput pour fixer les grandes fêtes, Noël et Pâques). La liturgie était éclatée avant les carolingiens : ceux-ci ont voulu imposer partout la liturgie romaine, pour remplacer la liturgie gallicane en Gaule par exemple

et un temps faible. C’est un système qui s’est effondré puisque l’opposition voyelle longue voyelle brève s’est perdue dès le IV e siècle après JC. Le latin est devenu la langue véhiculaire du christianisme, qui associait le peuple à la liturgie. Les chants et la musique devaient éloigner les croyants de toute nostalgie des chants et danses du paganisme et apporter une instruction religieuse et morale donc devaient être faciles à retenir d’où la composition de mélodies très simples à la

elle rappelle à l'ordre et à l'obéissance les maçons sur les colonnes. Elle participe à l'obligation, la contrainte du rituel. Contrainte d'abord obscure et lourde parfois, puis point d'appui lorsque l'on découvre les bienfaits de l'abandon dans la liturgie. Enfin, quand le maçon n'est plus contraint par l'épée/rituel , mais fait peu à peu à force de pratique "corps avec", qu'il adhère, puis, est libéré grâce au rituel de son impulsivité, de sa vanité, de ses fantasmes de toute puissance, peut il espérer

en l’honneur du dieu Apollon. Ce vestige historique qui témoigne d’un des rôles du métier de citoyens dans la démocratie du V° av JC à Athènes .Il existe également des textes historiques tel que celui de Xénophon (doc 5 p 45) témoignant de ces liturgies. Mais au-delà de cet exemple, quels sont les autres rôles du métier de citoyens dans cette démocratie ? Dans une première partie, nous montrerons à l’aide de vestiges archéologiques et de textes historiques, le devoir du citoyen au niveau politique

législatif -Les citoyens rendent la justice (Héliée).# Pouvoir judiciaire (Ces lieux se trouvant sur l'Agora) -Tous les citoyens ont les mêmes droits. -Les citoyens les plus pauvres sont exemptés d’impôts. -Les plus riches doivent verser des liturgies (impôt) Depuis les réformes de Clisthène en -508/-507 avant J.-C., pour être citoyen il faut : être un homme libre; avoir un père athénien; être inscrit à l'âge de 18 ans sur les registres de son dème ; avoir fait son éphébie (service militaire

le droit de participer), l'isocratia (chaque citoyen a le même pouvoir que les autres) 2. l'égalité sociale : elle repose sur des indemnités (misthophorie) qui favorisent la participation à la vie politique, et les liturgies qui sont des dépenses privées obligatoires. Les liturgies agissent comme des impôts progressifs, les citoyens les plus riches contribuent plus que les citoyens les plus pauvres. 3. Le gouvernement du peuple : le peuple a tous les pouvoirs et participe directement à la prise

propres collecteurs d'impôts et soumettaient leurs différends à leurs juges, qui légiféraient selon le code wisigothique. La liberté d’exercer leur culte sous l’autorité de l’archevêque de Tolède. Leur liturgie, celle de saint Isidore de Séville, est connue sous le nom de rite mozarabe : cette liturgie en latin, officiellement abolie au XIe siècle, est aujourd'hui encore célébrée dans la chapelle mozarabe de la cathédrale de Tolède. De nombreux mozarabes parlaient l'arabe et beaucoup adoptèrent des

travers la poussière135 » avec empressement. Ainsi, le choix de ces mots par l’auteur pour désigner le service envers les veuves donne à celui-ci un caractère « prosaïque, concret, ‟terre à terre”136 », ce « qui le distingue de la lâtrie et de la liturgie, […]. Son usage en grec profane montre qu’il désigne le service personnel, orienté selon le besoin de celui qui est servi. Il veut dire servir à table, donner les moyens de vivre et servir d’une manière générale137. » Ceci invite à comprendre que

choeur) - douze, puis quinze -, ainsi que l'aulète (joueur de flûte) qui les accompagnait. Ils étaient également chargés de payer les costumes, le local pour les répétitions, la réception finale et plus généralement tous les frais qu'entraînait cette liturgie (obligation de service public). Les choeurs étaient attribués par l'archonte aux trois poètes dont il avait retenu la candidature. D'abord entraînés et dirigés par les auteurs eux-mêmes, ils ont été confiés vers la fin du Vè siècle à des chefs de